Règle numéro cing : DÉTALLE COMME UN LAPIN !

'' Levez-vous les amis,
C'est le matin il est midi,
Eoh, debout les verres troués,
ils vont pas tarder à arrivé !
Debout bande d'empoté !! ''

je venais de démarrer ma journée après avoir shooter dans le lit de la chambre de Daisuke et Laura … On n'avait pas que ça à faire … Sans vouloir paraître offensant, le moins du monde, les deux absurdités avaient dormi toute la nuit et j'avais du m'assurer les tours de gardes avant de m'endormir vers 3,4h du matin, pour me lever deux heures plus tard, et aller prendre une douche … Mais voyons, pourquoi ne pas vous expliquez pendant que je laisse-là les couche tard lève tard ?
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Il devait être minuit ou un truc du genre quand, crevé je m'élance à l'encontre de la cuisine pour vider les ordures qu'une ordures totalement bourré avait laissé. Je suis assez vexant car en réalité, je ne peux supporter les personnes ivres, sûrement dû à certain passage de ma vie- Non, je me suis promis de pas déraper sur cette feuille de papier que je m'empresse de rédigé quand j'ai enfin compris que nous démarrions dans un nouveau monde et que nous devions ainsi donc, le démarrer avec des passages écrit.- Alors, nous en étions au passage où, je nettoyais la cuisine, et allais, calmement m'allonger sur le canap', arme sur moi, près à tiré, au cas où la porte aurait la mauvaise idée de s'ouvrir … Donc je surveillais la zone, tranquillement, repensant au bon moment avant que ça arrive, ma première sorti par exemple. C'était un soir qui … Han, vous vous en foutez, bon, ok pour faire simple, j'ai continué longtemps avant de m'endormir, point. Ouais pas vraiment exceptionnel j'suis pas un dieu de l'écriture ou de la narration des faits divers qui m'arrive.

J'commence à sortir de mon comas
de deux trois secondes un truc comme ça, j'ai qu'une envie sauter sous la douche,
mais un truc me bloque j'trouve ça louche …
je vérifie,
et j'entends des cris,
surement des zombies,
je prends mon fusil …

Si j'écris ça c'est que j'm'en suis sorti,
juste que dans la salle de bain il y avait une fenêtre avec un ennemi.
Une fois buté,
j'me suis douché.

Comment ça vous aimé pas quand je parle en vers,
Voulez-vous que je vous plombe si vous continuez à jouer avec mes nerfs ?

Allez, je continue normalement, puisque vous aimez pas … J'ai ensuite préparé un petit déjeuné rapide ( et ils ont intérêt de bouffé si ils tiennent à ne pas avoir un trou titanesque … Ahh, oui avant que j'oublie … Pendant que je faisais les nombreux tiroirs de la maison, j'ai eu l'honneur de trouver de quoi retirer de l'argent, un peu de liquide, un stylo et un cahier, un appareil photo et surtout, pour combler ce vide … un téléphone … Chose inutile, mais que je conserve on ne sait jamais.

Allez, je dois vous laisser, là, je dois les lever, je sens que du monde va pas tarder à venir …
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Voilà pourquoi je me sentais obligé de citer le passage de cette maison, le livre depuis lequel je vous parle depuis un bon bout de temps de ma survie viens là, et quand j'aurais du temps libre, je m'empresserais de vous apprendre des choses de l'ancien monde.

Bon, je suis descendu, j'ai réveillé les deux glandu, que dois-je faire maintenant ? Vérifier mon acoutrem- Ahh putain ! Sans faire gaffe j'ai remis les affaires d'hier, avec du sang sec étalé c'est pas fait pour m'arranger … j'suis partant pour une nouvelle douche. - Allez, m'voilà que je monte à l'étage, que j'prends des affaires qui m'appartiennent pas, que je taxe un tee-shirt avec un logo étrange dessus que je ne vous décrirez pas … Et je me lance à nouveau à l'assaut de la douche … Que ce qui ont l'impression que je suis un maniaque de ma propreté lève le doigt … Doigt que je m'empresse de baisser vu les toiles d'araignée qui pendent du plafond mmmh, délicieuse maison de monsieur tout le monde, ma barbe ouais !

Allez zou, moi j'ai déjà avalé ce petit-déjeuné de roi à eux d'en faire de même !

Et me voilà à claquer la porte de cette maison aussi doucement que possible pour que les deux hommes ne se réveillent pas un sourire aux lèvres. Je ne voulais pas être un poids pour eux dans surtout dans cet état. Non je n'avais pas le droit de les mettre en danger comme ça. un mini short et un débardeur sur le dos, mes chaussures de randonné aux pieds j'avais laissé l'image de petite fille gothique lolita de côté. Les cheveux attaché en une queue haute, dans mon sac il y avait de l'eau et des barres de céréales trouvé dans la maison, vue la marque ce devait être de bon sportifs et surtout un morceau de fer assez pointu et long, je leurs laissais toute armes qui pourraient leurs servir a survivre. Ah oui vous voulez comprendre pourquoi je pars aussi tôt ...

Pendant la nuit aussi douce et reposante soit-elle avec mon cher et tendre je n'avais aucunement conscience de mes gestes ni de mes paroles. Je n'ai aucuns souvenirs de ce qui a pu se passer. Mais j'avais entendu du bruit dehors, des appels au secours, des hurlements. Il venait d'y avoir encore des morts. Je devais avoir dormis peu de temps mais avec l'alcool que j'avais ingurgité j'avais fait un pur et dur coma. Je m'habillais rapidement sans réveiller mon ami qui dormait aussi bien qu'un bébé. J'avais été dans la salle de bain pour voir dans quel état était mon œil, je me payais une belle infection sur le haut de ma joue qui était toute gonflée. Moi qui croyait avoir bien cicatrisé bah c'était foutu. J'essayais de nettoyer tant bien que mal avant de descendre et préparer mes affaires. J'allais laisser tout de même un mot pour les garçons. J'écrivais du mieux que je pouvais.

" N'ayez pas peur, je reviens. Je suis juste retournée à l'endroit ou Daisu et moi nous nous sommes rencontré j'ai quelque chose à vérifier la-bas. Je suis armée, j'ai de quoi manger et boire, vous retrouvez les autres survivants dont l'autre garce. Nous devons trouver un endroit plus sur.

Laura."

( par manque d'inspi je prefere me retirer du rp pour le moment )

Invité

La sensation de quelque chose qui se déplace sur ma peau, puis plus rien… Un bruit étouffé, puis le silence reprend ses droits.. Et me voila qui émerge non sans quelque difficulté de cette nuit sans rêve, cherchant la chaleur du corps de Laura contre le mien, mais hélas sans aucun succès. Lorsque j’ouvrit les yeux la pièce était plongé dans la pénombre et je du rester un petit instant immobile le temps que mes pupilles dilaté s’habitue à l’obscurité ambiante et puisse tenter de percer se voile sombre qui m’entouré, cherchant avec insistance une chevelure rose dans la pièce mais tout semblait terne et imprimé en noir et blanc, sans aucune touche de couleur et de beauté.. Me redressant lentement, je passai mes doigt fin dans mes cheveux, une migraine apocalyptique me perforant la boite crânienne, résultat de la cuite monumentale que je m’étais pris la veille au soir, seul effondré dans la cuisine de cette maison inconnue pour nous mais où nous avions décidé de nous arrêter pour en faire notre refuge. Me levant du lit, cherchant à tâtons l’interrupteur de la lumière tout en faisant attention a ne pas faire trop de bruit et en cherchant toujours du regard la moindre trace de présence de cette fille qui compte tant pour moi.. Lorsque mes doigts se refermèrent sur la protubérance en plastique blanc de l’interrupteur, je l’enfonça et me retrouva obligé de fermer les yeux sous la puissance du flash lumineux qui se produisis, m’éblouissant au plus au point, avant que mes yeux se réhabituèrent a la lumière ambiante et que je soit enfin capable de retirer ma main de devant mon visage, et le triste constat se fit soudain beaucoup plus clair à mes yeux.. Elle n’était pas là, et ses affaires non plus… Je fut soudain pris de vertige et vomis sur le sol, avant de reteindre la lumière et de m’effondrer sur le lit, un sommeil salvateur reprenant vite le dessus sur ma conscience et m’empêchant de dévaler les escalier a la chercher de ma Laura…

- Levez-vous les amis,
C'est le matin il est midi,
Eoh, debout les verres troués,
ils vont pas tarder à arrivé !
Debout bande d'empoté !!

J’ouvrit un œil et fut de nouveau aveuglé, quoique moins tout a l’heure et leva le bras pour choper un coussin et l’envoyer sur la source du bruit, une seule idée en tête : le faire taire une fois pour toute ! Mais vu l’état de fatigue que je me tape au matin, le coussin décolla sur moins d’une mètre avant de se déposer gentiment sur le sol sans bruit, et ça n’empêcha pas Kino de donner un grand coup dans le lit, le faisant trembler de tout son long et achevant de me réveiller. Me levant lentement, je fit craquer mes articulation rouillé et enfila rapidement mon treillis avant de descendre torse nu pour chercher Laura, espérant que les idées que je m’étais faite durant la nuit, après la découvert de la disparition de ses affaires de la chambre et d’elle par la même occasion, ne soit que des fruits de mon imagination, mais lorsque je tomba sur une petit feuille de papier déposer sur une table à l’entrée, écrit a l’encre rose, je tomba au sol. Elle était belle et bien partie, et je n’arrivais même pas a comprendre ce qui se passé autour de moi tellement mon cerveau s’emballa a cette seule pensée.. Pourquoi ? Mais pourquoi merde ?? Qu’est-ce qui avait bien pu la convaincre de partir et de nous laisser pour repartir là où l’on c’était rencontré… elle compte retourner au lycée alors que c’est rempli de zombie et qu’il va lui falloir traverser une bonne partie de la ville seule avec toutes ces créatures qui trainent dehors ? Un haut-le-cœur me prit et je me releva, courant vers ce que je pensé être la salle a manger mais qui se trouva être au final la salle de bain, me rua vers la cuvette des WC et vomit de la bille, me déchirant l’estomac et me laissant un gout amer et horriblement dégueulasse.. Ce n’est que lorsque je me laissa retomber contre le mur blanc que je comprit que le bourdonnement que j’entendez depuis mon entrée dans la salle de bain ne venait pas de ma tête mais de la douche qui coulait toujours, et d’où le corps de Kino recouvert à la hâte d’une serviette jaune me toisait. Je n’articulai qu’une petite phrase pour tenter de dissipé la lueur d’incompréhension qui se lisait dans ses yeux

- Elle est partie…

Quel est contact est plus doux et chaleureux que celui d'une eau chaude ruisselante sur ton corps propre d'il y a quelques minutes. Ces quelques minutes de répits que tu t'accordes lorsque tu es sous une douche, c'est dans ces moments là que, sous les clapotements qui assourdisse toute la salle tu te laisse allez à tes sentiments et réflexion. C'est ce à quoi je m'étais adonné, tout ce que j'avais vécu jusqu'ici, mes trois jours de séquestrations, mon incrustation dans ce groupe ou ce couple, ils sont indéfinissable. Je me sentais déjà à pars avant, je crois que finalement ce sentiment s'est confirmé, je suis vraiment seul. Certes je suis dans un groupe de survie, mais si nous étions encore dans l'ancien temps, je suis certain de ne jamais avoir rencontré cet homme et Laura. Je me mis à pleurer tristement sous cette douche, il ne fallait pas le montrer devant les autres être stoïques et s'agripper à la petite dose de sang froid pour garder la tête commune du groupe froide … Je m'y essayais au mieux, mais des fois, on craque. Alors que j'étais tranquillement sous cette douche, le rideau me cachant la deuxième partie de la pièce, j'entendis des bruits de raclement de pied et des râles profonds …

* Un Zombis ICI ?! J'aurais oublié de fermer la porte, une erreur pareille me serait arrivé ?! Pas question, mon arme ! Ahh PUrée de moine tibéTAIN me voilà dans un sacré pétrin ! Ma serviette fera l'affaire … *

Voilà que je me retrouve à enfiler une serviette à attraper une serviette à tirer le rideau de douche, et à peine vis-je le visage que je lâcha ma pseudo arme. Il me toisait dépité, une seule phrase réussi à sortir de la bouche de mon compagnon de survie …

Elle est partie…

Moins cliché tu meurs. Pour en confirmer ce que je pensais, ils étaient vraiment proche, trop peut-être dans ce monde. Il n'empêche que c'est à force de moyen plus ou moins forcé de tendresse et d'encouragement que je lui fis relâcher le papier qu'il le rendait de cette manière … Je savais la raison principal de ce soucis, maintenant, les détails m'intéresser …

" N'ayez pas peur, je reviens. Je suis juste retournée à l'endroit ou Daisu et moi nous nous sommes rencontré j'ai quelque chose à vérifier la-bas. Je suis armée, j'ai de quoi manger et boire, vous retrouvez les autres survivants dont l'autre garce. Nous devons trouver un endroit plus sur.

Laura."

C'est là que je relève les yeux et je le vois à nouveau là, une image s'installe en moins, un Daisu' déchu, un ivrogne accablé, un fardeau un boulet … Une chaire à canon, un kamikaze croyant qu'aller chercher sa bien aimé sera la meilleur des solutions ? Quel stupidité ! Il devra l'appeler pour la trouver ce qui signifie faire du bruit, LES attirer et la mettre en danger ! Mais quel con !

Je dois donc peser mes mots, lui dire avec calme … Je ne dois surtout pas le laisser croire que l'on va laisser tomber Laura … Je ne dois pas lui dire qu'on n'ira pas la chercher pour le moment … Je ne dois pas … ET PUIS MERDE !

« Daisu' ou qu'importe ton nom, je ne sais même pas si c'est vraiment ton nom, mais puisque tu te reconnais là-dedans écoute moi. On va diviser le plan en 3 étapes, dac ? Eh si tu es pas partant je te vois mal en état de partir actuellement et je ne suis pas suffisamment sadique pour vouloir ta mort, donc si tu m'écoutes pas tu sortiras pas d'ici. Première étapes : on va aller chercher les autres mecs, et '' l'autre garce'' ? Deuxième étapes : on les rapatries ici, et nous on se barre avec deux trois personnes sinon ça ne servira à rien. Enfin, pour finir on ira chercher ta douce … Et si tu te reprends pas c'est notre mort assuré, tu vas tout faire risquer. Si tu t'emballes et que tu hurles son nom, tu vas la tuer enfin, indirectement mais tu pourrais attirer l'attention des choses. Enfin, pour finir, on va se faire une putain de bouffe / discussion au retour de Laura ou on laissera les survivants ici et on se cherchera un nouvel abri, mais tu t'arrêtes maintenant, le comportement de dépressif c'était il y a quelques temps, maintenant nous sommes plus en état de pouvoir nous permettre de faire ce genre de chose, si tu te laisses aller ce sera ma vie que tu laisseras aller et celle de Laura.

Topo fini, tu prends la mission ? »

je sais pas pourquoi je voulais dire un truc stupide dans le genre mais il fallait le faire je ne sais pas pourquoi. Allez, je suis fatigué moi, raconter des trucs inutiles et peut-être sans raisons fondées n'est pas de tout repos.

alors tu en penses quoi ?

Invité

Le regardant, les yeux encore embué de larme, j’étais tout simplement incapable de dire quoi que se soit.. Si j’étais encore en état de choc ? Je ne serais répondre… J’avais l’air d’un gamin à qui on vient d’annoncer que son chiot est parti, alors que les parents veulent juste cacher que le père en rentrant bourré l’a écraser avec la voiture avant de le balancer dans le caniveau le plus proche pour éviter que le gamin ne mette la main dessus, ou plutôt pour ne pas le laisser devant la maison et attirer de charogne devant la maison, sa ne rend pas bien.. Mais bon maintenant un cadavre devant une porte c’est presque un luxe, l’horreur c’est dans avoir un centaine qui tambourine jour et nuit pour entré et te bouffer, te transformant en cadavre à mi-chemin entre la vie et la mort à ton tour ! Voila ce qui risque de nous attendre à la fin de se voyage pour échapper à la grande faucheuse qui devait certainement se faire chier à ne pas avoir assez de mort à compter.. Ben maintenant je pense qu’elle est servie même si il a fallu pour cela faire revenir les morts à la vie mais ce n’est qu’un détail, qu’une inconnue dans l’équation complexe de l’histoire humaine que personne ne sera jamais résoudre.. bref un beau merdier que personne ne comprend mais que tout le monde subit de plein fouet, et on peut dire que c’est mortel ! Et nous voila nous entrain de tenter d’échapper à cette logique macabre, un des membres de notre propre équation de survie ayant décidé de partir de son plein grès, chamboulant tout ce que je suis au point de me rendre nul, égal à ce que je n’aurais jamais voulu être.. un zéro ! Mais hélas on y peut rien, je me suis bourré la gueule hier soir, m’auto-condamnant à une descente au enfer lente et douloureuse, autant pour l’esprit que pour le corps.. Mais il faut que je m’échappe de ce cercle vicieux, surtout ne pas penser a allez boire pour oublier son départ, surtout ne pas vouloir ouvrir le frigo et vider une autre bière juste comme ça, surtout ne pas commencer à déprimer et à faire des actes insensé, car cela ne mènerais qu’à deux seul résultat possible, les deux aboutissant à une seule fin imaginable : soit j’attire sans le vouloir les mort vers nous deux, soit il me laisse seul.. dans les deux cas je suis voué a la mort ! Ce n’est pas comme cela que j’envisage de mourir.. je dirais même que je n’ai jamais envisagé de mourir ! Il faut que je vive, et pour cela il faut que je me relève, que je sois un autre, car ce que je suis maintenant n’est qu’une épave de ce que j’ai été ! Mais comment devenir un autre ? La transformation avait déjà débuté lors de ma coloration capillaire, à moi de l’achever et d’arrêter d’être le lycée d’avant, je doit devenir l’homme que je veux, celui qui survivra et qui la retrouvera, elle qui compte tant a mes yeux et pour qui je ferrais tout.. elle qui est le moteur de mon propre changement ! Ma décision est prise et irrévocable, je ne doit plus être moi-même, je doit profiter du chaos ambiant pour devenir celui que je veux, profiter du changement qui opère dans le monde pour changer moi-même !

Relevant la tête, je l’observa de haut en bas, cherchant à déceler si il avait l’intention de changer lui aussi où si il compter rester le même.. Mais cette question est futile, je n’ai pas à le faire changer, c’est à lui de le faire, à lui et à lui seul ! Le laissant finir de parler, je compris qu’il était toujours avec moi, et qu’il n’allait pas me lâcher après ce qu’il avait vu de la déchéance dans la quel je pouvais tomber. Lorsque les dernière paroles quittèrent sa bouche, suivi de près par la question fatidique de savoir si j’étais toujours avec lui pour repartir chercher le groupe, les ramener ici et partir chercher Laura.. Et comment ! Je me raclai la gorge et dit avec un petit sourire en coin

- Oui.. On récupère les armes et on y go sa te va ?

Je n’attendis pas de réponse et sorti, retournant d’un pas sur dans la chambre pour récupérer ma casquette, mettre un t-shirt sans manche et choper ma machette, la tirant hors de son fourreau pour l’observer longuement, sa lame mat et constellé de trace rouge, signe de son utilisation contre nos amis les zombies, mais pourtant elle resté très belle à mes yeux.. je rapatria tout l’équipement que j’avais que Laura avait laissé dans le salon et déversa tout sur le sol, observant bien chaque armes, chaque objets, chaque babiole pour tenter de lui trouver une utilité. On ne va jamais tout pouvoir prendre, et il faudra bien faire un choix de ce qu’on prend et ce que l’on laisse, alors autant le faire tout de suite et ne pas se faire chier a prendre trop de munition alors que l’arme en elle-même est par exemple en trop mauvais états ! Des pas se firent entendre et un simple coup d’œil par-dessus mon épaule me permis de savoir que c’était juste Kino qui venait de sortir de sa chambre, enfin sécher et habiller. Je pris la parole a nouveau, expliquant d’une voix simple et un peu trop direct a mon gout

- Va falloir qu’on fasse un choix de ce qu’on prend et non.. Et quitte à faire autant voir pour « améliorer » nos armes. Enfin améliorer est pas forcement le bon mot.. Genre foutre le couteau de pèche a l’avant d’un pistolet qui marche encore pour pouvoir l’utiliser même si tu est trop près, sa te fait économiser des munitions.. enfin des conneries comme ça ! Tu veux m’aider ?

Je ne pouvais pas lui en vouloir, lui qui a dû voir passer tant de visage du bout de sa machette, elle du bout de son canon. C'est deux personnes étaient complémentaires, dans un rpg ce serait la team du CàC avec le DPS de porté, c'était une équipe, voir plus peut-être même un couple. Moi dans l'histoire j'étais quoi, un fardeaux ? Non. J'avais sauvé la vie à ce mec qui la redonnerait volontiers, pour elle. Elle, celle qui avait voulu l'assassiné quand je l'en avais empêché, et tout ça pourquoi ? Je ne sais pas mais j'avais pas petite idée avec le termes qu'avait employé Laura '' Cette garce '' ce n'est pas le termes que l'on donne à une amie, même pas à une rivale, même à son ennemie on trouve mieux, ce n'était rien de plus qu'une dévergondé qui avait profité de Daisuke, et sûrement à son grand mécontentement, vu l'amour qu'il porte à Laura. Elle avait voulu l'assassiner ? Quoi de plus normal, sûrement l'avait-elle chopé sur le vif, et ne comprenant pas la situation à quitter le ''groupe'' que nous retournons voir dans l'espoir de les voir vivants pour la main d'œuvre. Non, en réalité, j'étais juste le fruit du hasard, l'heureux hasard une suite d'événements qui ont fait que j'ai croisé cette chevelure rose à ce moment là, je ne crois pas aux destins, aux coïncidences. Non, en faite j'ai juste eu de la chance, rien de plus que de la chance, pour la voir à ce moment là. Qui a été le plus chanceux ? Moi ou Daisuke ? Je ne sais pas. Je pense que c'est lui, car sans mon arrivé, il aurait pu y passer, le tir était bien visé. Pourquoi je ne lui dirait pas tout ? Eh bien, je pense que c'est à l'assassin de justifier ses tentatives de meurtres … Voilà, mais si Daisuke est la victime, il a au moins une chose qui fait qu'il est toujours en vie, une chose que je ne sais même pas si je l'ai, une chose qui fait qu'il est lui même quelqu'un, un survivant : Il à un but. Il veut avoir quelque chose et serait près à se battre à corps perdu pour l'obtenir … Laura, je ne l'ai connu que trop peu éveillé pour la connaître, mais je sens que leurs but sont relié. En faite j'en suis persuadé. Leur but c'est l'amour de l'un et de l'autre. Retirer le but de quelqu'un c'est le tuer en quelque sorte, il en devient fou. '' La garce '' à volé le but de Laura, voilà pourquoi elle à voulu tué Daisuke. Elle a sûrement dû croire que Daisuke avait pris son pied à ce moment là. Ahh, si seulement elle savait que Daisuke, lui à pour but de l'aimer. Un but peut-être stupide, il peut-être inutile, courageux, héroïque ou juste égoïste … Encore faut-il se le trouver. Le miens, je ne l'ai pas encore trouvé, on se le découvre pendant le combat, lors d'une bataille ou lors d'une compétition. Le but, se découvre quand on se pose la question fatidique '' Pourquoi je me bats ? '' Si on trouve cette réponse, alors on est sûr de ce qu'on recherche, son but. Je crois, que malgré tout il est dans un cercle vicieux, pourquoi je veux survivre ? Ma réponse serait donc : Pour survivre. Mais alors une deuxième question se pose : Pourquoi tu aurais le droit de survivre à la place de tel ou tel autres personnes qui eux, ont des buts ? Dans ce cas là, je ne trouve pas de réponse, en réalité, je suis vivant parce que je ne veux pas être l'un des leurs, mais pourquoi je me bats alors ? Peut-être parce que j'y prends un plaisir fou, une sorte de vengeance, en réalité, j'ai survécu parce que je ne suis qu'un chanceux, je n'ai rien fait d'autre que avoir volé la chance des autres, je migre de groupe en groupe changeant sans cesse de but, quand je le découvre … Là, en ce moment ce qui m'importe le plus c'est de sauver ce mec de l'emprise de la dépression, retrouver sa dulcinée, si c'est encore possible, car il serait vraiment idiot de ma part, de lui laisser croire que elle sera forcément en vie. Car, malgré nos idéaux, différents, nous avons tous le même but, s'accrocher à ce qu'on aime ou ce qu'on ne veut pas perdre. Moi c'est plus général que ça, je ne veux pas perdre La compagnie, et ce depuis bien avant ''leurs'' arrivé [ par manque de budget, l'équipe qui a tapé se rp, se sont vu l'interdiction de s'acheter la licence pour utiliser le terme ''Zombie''. Excusez nous pour se léger désagrément. ] en réalité tout ça à commencé à partir du collège quand j'ai vu que les goûts des jeunes de mon âge était largement différent que les miens. Que ce soit du point de vu vestimentaire, culturel, musical, littéraire ( pour les peux qui lisait ), mais aussi du point de vu des occupations. En fait, c'était tellement différent que je me suis dirigé vers un nouveau moyen de croiser du monde avec qui discuter. Internet, c'était un petit passe-temps que de trouver une communauté avec qui je pouvais discuter, débattre et m'amuser. Mais le lycée approcha et les goûts des jeunes de mon âge changèrent, mes activité ( notamment internet ) déclinèrent et je pu enfin, avoir de la compagnie. Hors, il fallu que après m'être habitué à ce mode de vie, à ces personnes et à tout ça que le monde lui-même changea. Les laissant arriver, la nature réel de l'homme apparu, un égoïste qui était prêt à tout pour voler la survie d'autrui ou pour les plus fou, devenir un psychopathe en furie et ce laisser berner par toute cette anarchie dans le seul but de se créer son propre monde. En réalité, ces deux personnes ont une chose en commun : elles n'ont pas de but. Nous en revenons donc à ce que nous disions, si un homme n'a pas de but, il est inutile. Voyez comme vous avez lu ces lignes voyez la haine que vous avez ressentie quand vous avez lu, et bien, si je vous dis que je n'ai pas de but, hors que celle de la survie, comme ces hommes égoïste, me verriez vous avec cette haine ? Si oui, je vous demande s'il vous plaît de vous poser la question fatidique et d'être honnête avec vous même avez vous vraiment un but pour survivre ? Si le monde n'a pas changé quand vous lisez ses lignes, alors je vous conseille, de vite vous en trouver un, car sans but, il est dur de s'accrocher au monde dans lequel nous vivons maintenant. Le choc est d'autant plus rude quand on passe d'un monde à un autre en quelques jours seulement. Bonne survie, pour le moment … Je dois aller voir Daisuke pour le moment.

Je fermai le bouquin sur lequel je rédigeais quelques notes et m'engageai dans la chambre fraîchement habillé dans un style des plus basiques, un baggy camouflage urbain, un débardeur blanc et ma batte sur mon épaule quand je vis Daisuke de dos.

Va falloir qu’on fasse un choix de ce qu’on prend et non.. Et quitte à faire autant voir pour « améliorer » nos armes. Enfin améliorer est pas forcement le bon mot.. Genre foutre le couteau de pèche a l’avant d’un pistolet qui marche encore pour pouvoir l’utiliser même si tu est trop près, sa te fait économiser des munitions.. enfin des conneries comme ça ! Tu veux m’aider ?

Heu, l'amélioration, tu sais ça peut attendre un peu … y a une grande surface pas loin … En plus pour les armes, ont aura le droit à un plus large choix de combinaison lors que les survivants nous aurons donné leurs armes …

Je pris un sac fourra tout et continua

de plus, le tri sera plus utile quand on ira au super marché. On laisse tout là, vu que l'on doit trouver un autre endroit pour les survivants, et il me semble qu'ici sera le mieux, et on prend les volontaires pour aller sauver Laura, tu comprends?

j'avais perçu son ton, dur et direct, mais je ne voulais pas relever sur ça, il avait ses raisons, même si j'aurais bien aimé les entendre, peut-être que en chemin …

Allez, viens, je n'aime pas voyager de nuit donc si tu pouvais te grouiller

je l'envie honnêtement pensai-je en sortant de la pièce, il a un but lui.
Quand daisuke fut enfin sorti de la maison, et par mesure de sécurité, je referma la porte par le même moyen, avec les barrettes aux détails près que je tourna la ''clé'' dans l'autre sens … Enfin je repris ma batte et me retourna vers Daisuke

Je pense que l'on devrait se séparer, je te rejoindrai peut-être au lycée, mais tu pourrais me dire vers où sont les survivants ?

Invité

L’observant, je souffla un grand coup et tourna la tête vers le soleil qui était toujours a son zénith.. Il ne devait pas être plus de 13h je pense ! Cela va faire combien de temps que j’ai perdu ma notion de durée et d’espace.. Cela va faire 4 jour qu’on se balade dans cette ville qui risque tout les jours de devenir notre cimetière à nous et à tous ceux que l’on connais.. 4 jours qu’on va de maison en maison sans endroit fixe où s’installer, ça fait bizarre quand même ! J’ai presque l’impression que ça vraiment beaucoup plus longtemps, que tout ça dure depuis peut être même des mois complet ! 4 petits jours d’un cauchemar pur et simple dans une simple vie, c’est vrais que ça ne fait vraiment pas beaucoup mais pourtant… Le soleil réchauffant ma peau encore endoloris par tous ses exercices que je lui inflige depuis leurs arrivées dans nos petites vies bien tranquilles, mon fusil à pompe toujours sanglé dans mon dos, ma machette dans son fourreau à ma cuisse et les cartouches dans ma poche de treillis, un grand sourire sur mon visage. Je ne pris même pas la peine de me retourner, continuant de fixer le soleil en fermant mes yeux douloureux

- Ils se trouvent dans un appartement dans le centre ville, au dessus d’une superette mais l’endroit exact….

Plongeant ma main dans ma poche, je sortis le talkie-walkie que m’avais donné Jashin et lui tendis, la fréquence toujours réglé sur la même que les leurs dans l’appartement, les piles toutes neuves et tout en état de marche

- Utilise ça pour les retrouver, dit leurs que c’est moi qui te l’ai filé et que je continu a chercher Laura…

J’hésita à ajouter un « bonne chance » mais je me retient.. il parait que ça porte malheur ! Levant mon pied du trottoir et je m’élança sur la route vers la direction que je pensais être la bonne pour me rendre au lycée, laissant Kino derrière moi avec sa batte de base-ball en guise d’arme… en espérant qu’il arrivera à survivre le plus longtemps possible !

Il était 9 heures. Daisuke sûrement une fois de plus en proie à l’alcool se protégeai les yeux d’un soleil imaginaire, dirigeant son visage vers le zénith, alors qu’il se trouvait en réalité quasiment à l’aurore. Essayait-il de prendre un air classe avant le vrai départ ? Je ne sais pas, le simple fait de devoir l’abandonné me laisser un coup sur le cœur mais j’étais obligé, car en réalité je ne devais pas trop m’attacher à quelqu’un qui allait m’abandonner, me laisser et ne peut-être jamais revenir. Il fallait que je parte, que je ne revienne sous aucun prétexte dans cette maison pour éviter tout problème avec de la nostalgie inutile dans ce monde rongé. Je fus rapidement arrêté dans mes pensées vagabondes quand le sujet qui me préoccupé prit la parole

- Ils se trouvent dans un appartement dans le centre-ville, au-dessus d’une Superette mais l’endroit exact….

Dans un regard un peu surpris j’essayais de comprendre de quoi il me parlait, sûrement le lieu des survivants, le réveil ne m’allait pas des masses et j’avais plus qu’intérêt de me réveiller. Cette pseudo fatigue commençai à m’agacer m’empêchant de comprendre tout, d’être calme et reposer, je voulais quelque chose mais je ne savais pas quoi, si il s’agissait là d’un but comme je l’avais pensé précédemment j’étais sérieusement embêter, car jusque-là, je ne savais pas qu’est-ce qui me faisait survivre. Une nouvelle fois mon ancien partenaire de survie m’adressa la parole

- Utilise ça pour les retrouver, dit leurs que c’est moi qui te l’ai filé et que je continu à chercher Laura…
Il me présenta un talkie-walkie que j’attrapai précipitamment n’en ayant jamais vu un réellement. Avant qu’il ne parte je préfère l’avertir de qui il va chercher en réalité.

Ecoute, je suis heureux pour toi, tu vas retrouver ta bien aimé, mais ta rose n’est pas aussi pur que tu ne le penses. Elle a voulu t’ôter la vie hier avant qu’elle ne tombe dans les pommes, je l’en ai empêché je te conseille de faire gaffe quand tu seras là-bas. Je ne pourrais pas te sauver la vie une deuxième fois.

Et il partit, c’était la dernière fois peut-être que je verrai ce treillis, voguer au grès des jambes qu’il contient, dans cette océan d’urbanisation. C’était aussi la dernière fois que je verrai son fusil à pompe sanglé dans son dos se balancer à la rythmique de la course du Roméo que j’eu croisé un jour, après trois jours de survie c’étaient les premiers que j’avais connu la preuve que l’amour peut passer dans des étapes difficiles, des époques impossibles avec des êtres dont l’amour est invincible. Moi, le corps toujours endolori par mes épreuves, je m’agrippai à ma chère batte de base-ball, j’avais deux trois personnes à sauver, le sac sur le dos je tournai le dos à mon abris d’un soir et je me dirigeai déjà vers la Superette, la seule du coin qui pouvait avoir un appartement au-dessus. C’était à la base une Superette classique mais elle fût rapidement réaménagé comme un centre de défense on dirait. Allons-y, peut-être que je pourrais trouver un but en sauvant ces survivants.

J’entamai ma descente aux enfers en empruntant peu à peu les villes qui menaient au centre-ville. Plus on s’en approche, plus il est dur d’avancer en ‘‘ les ’’ évitant. C’est au détour d’une des petites ruelles que j’en vis un qui me tombait dessus. Ni une ni deux, je me précipite en avant engageant une belle roulade qui finit dans une poubelle, domicile d’un chat semblerait-il après que j’ai entendu un miaulement de mécontentement à mon égard, ce que trois zombies entendent à leur plus grande joie, non dissimulé d’ailleurs, vu qu’ils viennent à mon encontre.

Foutu chat, tu n’aurais pas pu te taire ?!

* Je n’y crois pas en plus je me fais remonter les bretelles par un miauleur de poubelle. *
Enragé de m’être fait repéré ainsi, j’attrape le chat, le jette au visage d’un zombie, et fuis. C’est alors que l’un d’eux sorti d’une maison de la ruelle, et n'ayant pas le temps pour une cascade folichonne je me jette sur lui et lui décoche un coup à faire pâlir le meilleur joueur de base-ball. Un petit sourire me revint, c’est plus fort que moi j’adore ça ! Je prends mon pied nom de Dieux ! Je me retourne vers le zombie qui avait failli m’avoir, l’adrénaline m’empêchant de rester rationnel, je cours vers lui me jette sous ses jambes décomposé et me relève lui assénant un uppercut avec le manche de ma batte de base-ball. Yeah ! Ça c’est comme ça que l’on vit et on devra s’y faire rien à faire des normes, c’est fini ça ! Certainement que c’est un peu direct mais ça voulait tout dire. Ce n’est plus le même monde que celui qu’on a connu maintenant il faut apprendre à vivre dans celui-ci. La survie étant la seule loi qui régit ici pour le moment, même si il m’arrive de craquer, j’espère que je comprendrai ce qu’il se passe et pourquoi. Un jour, si cela existe encore, j’espère pouvoir trouver une terre ou ce Mal n’aura pas mis les pieds. J’arrivai à la place alors que l’heure d’une pharmacie engageait les 10 heures du matin.

* Allez, c’est parti mais il ne faut pas que je m’attende à croiser de la vie là-bas, mieux vaut-être prudent. L’étape la plus dur ne sera pas de ramener tout le monde mais bel et bien d’y aller. *

En effet, la place dans une autre époque du monde était en réalité une place ouverte comme il en existe de nombreuse à Tokonosu , sur les bordures des allées un mini parc avait été aménagé pour ‘‘Aéré’’ l’endroit. C’était de la pelouse comme on en connaissait dans tous les parcs où il fait bon vivre, certain arbres plus imposant que d’autres était près de banc disposé sur le trottoir aux motifs carrelés en zigzag. Des barrières empêchaient l’accès aux zones vertes, elles étaient là dans l’unique but de nous faire oublier pendant un temps l’urbanisation, la ville et cette monotonie qu’évoque chaque grande ville qui existe sur Terre. Mais maintenant ce n’était que la preuve que le monde avait changé, des vélos encastré dans les grilles, les bancs, soit cassé soit tachée de sang, n’avaient plus leurs splendeurs d’antan et le pavé, si clair qui offrait simplicité au décor et bienveillance n’était plus que une toile aux couleurs écarlates du sang qu’avait régurgité les quelques survivants avant de de rejoindre leurs rangs. D’ailleurs en parlant d’eux, ils avaient peu à peu repeuplé le parc, lui donnant un aspect morbide et presque vomitif … Je me sentais mal à l’aise et plus je m’avançais plus je me sentais observé par les yeux laiteux (Enfin, pour ceux qui en avaient encore) jusqu’au moment où l’un de se retourna vers moi, j’avais marché sur une planche de bois déjà fragilisé, et l’avait cassé. J’étais repéré et vu la horde qui m’entourait je devais vite m’éclipser … V’là que je me retrouve adossé à un mur à éviter trois zombis, je ne pouvais pas être dans une situation plus critique. J’avais juste une chance, j’étais adossé à la Superette et une fenêtre était à une courte échelle de là. Une idée d’illuminé me traversa l’esprit, une chose folle qui me déchargea un quota d’adrénaline quasiment aussi fort que celui qui m’avait envie peu de temps avant contre l’autre que j’avais tué consciemment. Je sifflai le zombie le plus proche, pour qu’il me fonce dessus et, m’appuyant sur le mur je sautai sur son dos, et pris une impulsion pour me projeter vers la fenêtre que j’attrapai au rebord. Merci les cours de gym et les tractions forcées sinon je n’aurais pas pu … Alors que je me hisser vers la fenêtre un terrible doute m’envahie. Avec le sifflement que j’avais produit, une réaction aurait dû avoir lieu dans la Superette, hors s’en était vide de vie. Je restai dans l’entrebâillure de la fenêtre recherchant un moyen de me rassurer sur le peu que j’avais vu de la Superette. C’était une petite salle, comportant un placard et une sorte de vestiaire les seules sorties était la fenêtre et la porte en bois qui commençait à rendre l’âme vu la moisissure qui se formait au centre. Les murs étaient composés de deux couleurs séparées à mi-hauteur. C’était un bleu métallique et un blanc laiteux. Cette salle évoquait en moi un certain malaise face à la nudité de cet endroit. Cette salle était impersonnelle et même si elle appartenait à l’équipe de travail, à en voir l’utilité des lieux avec les vestiaires, cette salle était peut-être un peu nue et manquait de décoration. Par certain endroit la peinture qui s’écaillait donnait une impression malsaine au lieu, comme dans les vieux métros sales. Ça me faisait penser à l’époque où je vivais chez ma mère et que j’avais honte de recevoir du monde pour le manque d’entretien de ma baraque … Maintenant, enfin plus maintenant, je vis chez moi et j’étais heureux car je pouvais enfin assumé pleinement l’état des lieux que j’avais entièrement refait. Et dire que les amis de Daisuke avait passé sûrement plusieurs jours ici … C’était désolant. La peur au ventre de me retrouver dans un lieu clos m’envahie, car je n’aurais aucun moyen de fuir, autant l’entrée c’est avéré amusante et aisé, autant comme sortie, je n’avais pas vu autre chose que les fenêtres et la porte. Retirons la porte des propositions, des zombies trainent à l’extérieur en trop grand nombre pour se risquer à passer à plusieurs dans les rangs ennemis.

* Pff je pense comme un stratège de guerre … Les rangs ennemis, et puis quoi encore.*

C’est alors qu’une vague de doute m’envahie. Alors que je pensais à la percé que j’avais réussi je me rappelai de ce que j’avais fait … Ce que j’avais fait dans la petite ruelle, pour la première fois depuis que tout a commencé j’avais, j’avais pris mon pied ! J’ai aimé le fait de pouvoir taper sur ‘‘eux’’ même si on ne peut les définir de façon exacte, ils ont été des êtres humains. Je revoyais encore la scène la décharge d’adrénaline, excité jusqu’à la moelle j’étais comme fou, je ne voulais pas fuir, j’en avais agressé un dans le seul but de me défouler, pourquoi ? Serais-je devenu fou en si peu de temps ? Trop de question c’était posé d’un coup. J’avais fait une grosse erreur. Comme sous le choc d’une révélation, j’hésitai et m’adossa au mur lâchant ma batte de base-ball … Produisant un bruit non négligeable. Mais Bon Dieu, quand vais-je réalisé que cette putain de batte fait un bruit abominable ?! Inutile d’être détective pour savoir comment était le groupe de survivant, ils seraient monté depuis le temps … Et pour éviter de voir une boucherie je ramassai ma batte … et me dirigeai vers les escaliers derrière la porte des vestiaires … Les zombies étaient dans la pièce principale au milieu de vivre et … au milieu des sacs, un frai cadavre qui n’avait pas voulu se relevé agrippait un fusil vide, hélas … Mais on se trimballe pas avec un fusil sans munitions de rechange, les sacs devait contenir autre chose … C’était décidé, alors que je voulais m’éviter de voir le carnage, je devais y aller … hélas, il y avait trop de zombie … 5 exactement et peut-être un 6 ème si je me grouillais pas … J’imaginai le désastre qu’a dû être la scène … Le premier mordu à dû être le mec à la carabine, la tête faisait un angle improbable et inimaginable si on tient à la vie … Il avait dû mordre le second, un zombie qui tient une batte dans sa main encore ensanglanté sûrement est-ce lui qui a tué le mec à la carabine … Mais, je fût interrompu dans mes pensées par un flash … Armée, après trois jours de survie, ils connaissaient les règles élémentaires de survie, si il y a bien un problème c’est COMMENT ils ont fait pour être mordu dans un abri … Un raclement dans mon dos me donna la réponse, un zombi le bras manquant et le corps sévèrement amoché me tomba dessus, je l’évitai e reculant, et trébucha sur le seuil de la porte des vestiaires. Le zombie, lui finit sa course en bas des escaliers la nuque brisée, et moi pour éviter de tomber connement je me rattrape au porte manteau, et m’agrippai au seul objet qui y pendait : Le deuxième talkie-walkie Une idée folle me traversa l’esprit quand je m’en saisi. Je retournai dans les vestiaires, me mis dans un coin avec un accès direct vers la porte et après avoir installé les deux talkie-walkie côte à côté afin de produire le bruit strident des interférences attendis que les morts-vivants arrivent. Ce fût le cas très peu de temps après … 4 des zombies étaient venu à la fête le dernier était soit bloqué soit mort … dans tous les cas un jeu d’enfant après tout ce que j’avais enduré. Je passai sur la pointe des pieds, essayant de d’éviter de produire le moindre son gênant … C’est alors que je fis face au retardataire, il avait un petit handicap avec la jambe qu’il avait et se forçait à ramper … Quel dommage, Je m’emparai de ma batte et donna un coup puissant sur le sommet du crâne … Il s’arrêta de bouger, et les interférences trop fortes me donna une couverture … Mais mieux valait rester sur ses gardes, si les zombies peuvent rentrer ici ça peut être dangereux. Je retournai en bas, et regardai les sacs, 3 grands sacs étaient là, chacun contenez vivre, munitions et 1 talkie-walkie … Je m’emparai de l’arme du cadavre, pris 1 petite bouteille et 1 sandwich embarqua toute les munitions après avoir rechargé la carabine, et fourguai mon propre contenu de sac (un cahier, un stylo et un téléphone et de l’argent) dans le grand sac. Je pris deux talkie-walkie au cas où j’aurais besoin d’un autre de ses stratèges, les mis sur off et les enfonça dans le sac à toute vitesse. C’était plus gros qu’un sac de sport … Un moment de nostalgie me prit quand je remarquai qu’il ressemblait à mon ancien sac de cours … Je repassai dans les vestiaires sur la pointe des pieds et me jetai sur le panneau de la Superette attaché au mur [ Heu, genre les trucs des Motels avec les néons et tout ^^’, Et pis si ça plait pas, chiote ! ] Pour m’y attrapé j’avais pris appui sur le rebord de la fenêtre et en dernière pensé à mon prof de gym avait fait une traction pour me hisser dessus … Une fois dessus, et comme un funambule je me jetai sur l’autre toit, et d’une roulade agile me réceptionnai sur le gravier du toit plat … Je courus de l’autre côté descendit l’échelle et parti en courant dans la ville, il fallait que je m’éloigne un peu du centre-ville.

[ V’là, bonne chance pour tes prochains rp ! Smile

]

» Mwahaha Regle numéro une : BARRE TOI EN COURANT !
» Règle numéro deux : TROUVE TOI UNE PLANQUE !!!
» Règle numéro 3 : BARRICADE TOI !!! [Laura/Daisu]
» Règle numéro 4 : Trouve un nid douillet ! [ Pv DaisuxLaura] [ possibilité H]
» Un bar comme tout les autres et pourtant ...