Réminiscence et rencontre fortuite. [Frey Sasha / Lin Taho]

"Fiou, enfin arriver a la mairie, pas trop tôt..."
Enfin, c'était le mot, après avoir erré pendant une journée en terrain dangereux, il grimpa le mur de la mairie, pour ensuite aller a la porte d'entré, qui était bloquer... il prit du recule pour observer, toute les fenêtre était barricadé... *Sa va pas me facilité la tache... allons voir la porte de derrière.* Il fit le tour de la mairie, non sans éclater un zombie qui trainer dans le coin, toute les fenêtre était barricadé, sauf la porte de secours, qui était vitrifier, mais heureusement, il n'y avais pas de meuble qui barricadé, il essaya d'ouvrir la porte... sans succès, elle ne j'ouvrais pas de l'extérieur, il vérifia qu'aucun zombie n'était dans le coin, puis brisa la vitre de la porte avec son bokken, pour ensuite passez la main et l'ouvrir, il vérifia qu'aucun zombie n'était présent, se qui le rassura, il referma la porte, non sans la barricadé avec un meuble, puis, il alla vers un bureau et s'assoie dessus, pouvant se reposé un peu, il regarda son bras, enveloppé dans un morceau de veste qui faisait un bandage de fortune, lorsqu'il regarda le-dit bandage, les souvenir de la journée d'avant lui revenez en tête...

Flash-back de dernier jour...

Âpres avoir laisser ces deux amis, il courue dans une petite ruelle, veillant a se que les zombie le suivait toujours, après quelque heures de course, il s'arrêta enfin, soufflant un peu, il regarda sa montre, il a servie de diversion pendant prêt de 2 a 3 heure... s'asseyant un peu sur un carton, posé la a l'abandon, il sortie de son sac de quoi manger, se qui lui redonna des force, après ce passage tranquille, il marcha dans les ruelles, il arriva vers une autre route, qu'il du quitter de suite, une marée de zombie était déjà présente, et c'était impossible de passer, même avec un véhicule, alors qu'il rebroussa chemin, un zombie arriva nez-a-nez devant lui... premier réflexe qu'il eu, assener un coup de bokken dans la jambe, puis dans la tête, grosse erreur... car le cadavre retomba sur une plaque grillager poser au sol, se qui alerta les zombie *Et merde !*, et se fut une nouvelle course contre la mort, enchainant ruelles après ruelles, devant parfois faire des détours, suite a un passage bloquer, jusqu'à arriver a une ruelle, ou il fût pris en sandwich des deux cotés *Non... pas maintenant...* il chercha a tout prit une issue, voyant un muret surélevé, il grimpa dessus et sauta de l'autre coté, soulager... enfin presque, il était arriver a un chantier en construction, jonché de matériel et de métal de part en part... ainsi que de joyeux homme de chantier, réhabilité en temps que zombie.

"bon.. mieux vos faire attention... pas faire de bruit..."

Il enjamba les métal, il évita aussi quelque zombie qui était sur le passage, jusqu'à ce qu'il fut encore frapper par la malchance, après avoir traversé la 'zone a risque' il ne fit pas attention a un morceau de métal sur une échafaudage, qui lui fit une entaille au bras gauche, il essaya de garder le silence, mais sans succès... il prit un marteau qui était la, et le lança quelque part qui heurta une poutre posé sur le sol et qui ameuta les zombie, oubliant le lycéen, partant du chantier, il déchira un morceau de sa veste pour se faire un bandage de fortune, après cette interlude, il repartie, passant par une route qui était cette fois vide, il continua jusqu'à ce qu'il remarqua que la nuit était tombé, il se trouva un petit coin, en vérifiant qu'il n'y avais pas de c'est cannibale, puis, épuisé par la journée, il s'endormit de suite, priant pour que ce ne soit pas sa dernière nuit...

Le lendemain, il fût content de voir qu'il était en vie, après avoir vérifié sa blessure, il se remis en chemin, qui, maintenant éclairé par le soleil, lui rappela qu'il était pas loin de la mairie...

"Bon, autant aller a la mairie, j'espère qu'il y auras des gens la bas..."

Âpres quelque minute de marche, il arriva a la mairie... non sans avoir évité quelque zombie au préalable...

"Fiou, enfin arriver a la mairie, pas trop tôt..."

Fin du Flash-back...

Il fût rappeler a la réalité par des bruit venant de l'étage supérieur, il quitta le bureau, avec son Bokken a la main, allant discrètement vers l'escalier, au moment ou les bruit se rapprocha, il heurta quelqu'un qui l'envoya balader d'un coup de poing sur le visage.

"arg... bordel..."
"Hayate… Tu es vivant ?"
"Nan en faite ch'ui un mort-vivant qui peu encore parler espèce de..."

Puis, je resta bloquer sur la voix, que je connaissait trop bien.

"Sasha...?"

Je ne compris pas tout de suite pourquoi elle me tira violemment en arrière. Je m’aperçu que le garçon en face de nous était blessé seulement lorsqu’elle lui demanda comment il s’était fait mal. Je regardais alors son bras bandé, il y avait donc des chances qu’il ait pu se faire mordre par un zombie et risquait donc de se transformer d’un moment à l’autre. Pourtant je n’arrivais pas à y croire, il semblait trop vivant pour qu’il lui soit arrivée une telle chose.

"Répond moi vite, je n'hésiterai pas à t'empaler sur place...."

Je regardais par-dessus l’épaule de Lin le garçon qu’elle menaçait de son pieu plein de sang des créatures répugnantes qui rodaient dehors. Je repassais devant la femme pour pousser l’arme qui menaçait mon camarade de classe et vins me placer entre les deux en prenant le risque de me faire mordre par Hayate si il était infecté en lui tournant le dos. Je me tenais donc en face de Lin qui ne pas s’attendre à ce genre de réactions de ma part et avait l’air surprise. J’avais peur qu’elle soit capable de m’embrocher comme elle l’avait fait avec son précédent adversaire mais espérait tout de même qu’elle soit assez clairvoyante pour ne pas me tuer. Je dis donc d’une voix qui se voulait la plus calme et le moins tremblante possible.

-Je ne pense pas qu’il ait été mordu, il à l’air trop en bonne santé pour cela et puis il se serait surement déjà transformé à l’heure qu’il est hors ce n’est pas le cas. Je pense qu’on peut le considérer homme inoffensif sur ce point de vue.

Bien sûr mon raisonnement un peu foireux était facilement démontable et je me doutais bien qu’elle allait facilement me prouver qu’au contraire il représentait un danger potentiel et devait donc être éliminé. Ce fus l’arrivée des zombies qui mis cette discussion en sursit. En effet plusieurs de ces morts-vivants avaient pénétrés dans le bâtiment, surement par la même entrée qu’Hayate, et se déplaçaient donc de leurs pas chancelants vers nous. Je pensais un instant à les affronter comme tout à l’heure mais me rendis compte qu’ils étaient trop nombreux et que je n’avais plus de statues en plâtre sous la main… Je me sentis alors tirée en arrière par la demoiselle qui, se laissant moins dominer par ses émotions que moi, avait rapidement réagit nous éloignais de ces affamés décrépis. Ne souhaitant pas perdre une personne que je connaissais d’avant la catastrophe, je l’agrippais par la première chose qui me passa sous la main et empoignais donc l’épaule de mon camarade avant de me laisser guider par Lin.

-Suis nous !

Je me doutais bien que c’était ce qu’il aurait fait de toute façon mais ne voulais pas prendre de risque. Je finis par lui lâcher la veste pour me concentrer sur ma course, Nous courûmes donc dans le long couloir avec pour seuls bruits nos respirations haletantes et les plaintes presque pitoyables de nos poursuivants à moitié décomposés. Ma cheville recommençait à me faire souffrir mais je cachais du mieux que je pouvais les grimaces de douleur qui animaient de temps à autre mon visage et me forçais à garder le rythme de course. Il ne fallait pas que les autres se rendent compte que j’avais mal pour ne pas qu’ils s’inquiètent et ralentissent la cadence pour moi, plus vite nous aurions retrouvé le militaire, plus vite nous pourrions nous reposer.

Lin finit par trouver une porte ouverte et nous nous précipitâmes dans un bureau qui était bien moins riche et spacieux que le premier mais toujours pourvu de meubles que nous poussâmes devant la porte pour ralentir les cannibales qui étaient à nos trousses. Il nous restait donc un petit moment de répit avant que notre protection ne soit détruite. J’en profitais donc pour faire le tour de la pièce en boitant légèrement. Il n’y avait rien de bien intéressant ici. Je regardais donc par la fenêtre ce qu’il y avait dans les alentours. Il semblait que la majorité des zombies se pressaient en dans le bâtiment et non pas devant l’une des multiples fenêtres à l’opposée l’endroit ou ils pouvaient rentrer dans la mairie.

Je regardais mes deux compagnons qui semblaient s’occuper dans leur coin en maintenant une distance de sécurité entre eux et leur fis signe de venir. Je leur montrais la sortie qui nous était offerte et ouvrais la fenêtre le plus silencieusement possible avant de les interroger du regard. Ils semblaient en accord pour fuir en passant par ici. En même temps il n’y avait pas beaucoup d’autres endroits par ou éviter les loques dégueulasses qui s’acharnaient contre la porte…

Je fis donc doucement glisser mon sac à terre avant d’enjamber la fenêtre et descendre à mon tour. Une fois au sol, je me retournais tout de suite vers mes compagnons pour leur faire signe de venir à leur tour.

Alors que j'avais espéré avoir un moment de détente, voila que l'autre folle pointe vers ma gorge une espèce de javelot ensanglanté, en me demandant comment je m'étais fait ma blessure au bras. Avant même que je puisse répondre, elle enchaina sur une autre phrase, résultant un peut sa nature :

"Répond moi vite, je n'hésiterai pas à t'empaler sur place..."

J'allais lui expliquer comment cette blessure m'était arrivée, lorsque Sasha trouva une théorie logique, un peu improbable j'avais envie de dire, mais vraie. Si c'était une morsure, je serais déjà une de ces chose depuis hier, lorsque j'allais poser deux, trois question a ces jeunes dames, un bruit nous alerta, l'arriver de la 'horde'... *Oh bordel... jamais un moment de paix.* J'allais en retenir quelque uns lorsque Sasha m'agrippa par la veste en me disant de les suivre, ce que je fis. Nous déambulâmes dans les couloirs, tentant de gagner une course contre la mort. En passant a coté d'une statue, je la fis tomber pour ralentir les zombies, nous arrivâmes dans un bureau abandonné que nous nous empressâmes de barricader, puis, évitant d'approcher de la folle, *autant faire attention a elle, au moindre mouvement louche, elle serais capable de m'embrocher* je m'occupais de mon coté, fouillant le coin pour trouver de quoi nous servir pour plus tard... Tout en observant autour de moi, je remarquais Sasha boitait *Elle est blessée ? On ne dirait pas une morsure...* lorsque Sasha nous fit signe de venir pour voir ladite sortie, elle menait dehors et heureusement pour nous, il n’y avait plus rien dehors... Après avoir regardé Sasha sortir, je laissais la folle descendre en deuxième puis la suivis. Une fois arrivé au niveau des deux filles je fermais la fenêtre et pus voir au bout de moins d'une minute les morts éclater la barricade puis s'en retourner à leur agonie gémissante et cannibale... Après les avoirs observés, je tournais mon attention sur les deux demoiselles :

"Bon... Maintenant qu'on est sorti, autant voir par ou on pourrait partir, et avec quoi... normalement y doit avoir des bagnoles dans le coin, celle dans la rue sont accidentées."

Puis, j’observais avec un regard en coin l'autre folle qui serra sa lance dans la main, prête a faire n'importe quoi avec, et surtout à m'empaler si je ne répondais pas à sa question de tout à l'heure, je décidais de lui adresser la parole en maintenant une distance de sécurité:

"Pour répondre a ta question de tout a l'heure, je me suis pas fait mordre, en les fuyant, je suis passé par un chantier, et me suis prit un morceau de métal dans le bras, si je m'était fait bouffer, à l'heure qu'il est, je serais un d'entre eux depuis au moins hier, voila, comme sa, tu n'a plus de raison de m'embrocher à moins qu'il y autre chose que tu puisse me reprocher, je pense que tu peu me considérer comme humain..." puis, après avoir retrouver un peu mon calme, je me présente a l'acolyte de Sasha "Au passage, mon nom est Hayate, mais je pense que tu as du t'en douter quand Sasha ma appelé"

Puis, en réajustant mon sac sur l'épaule, ainsi que mon bôkken, je les regardais attentivement, avant de leurs poser une question qui semblait bien inutile, mais j'osais quand même :

"Si sa ne vous dérange pas trop, je voudrais bien vous accompagner, une personne de plus augmentera nos chances de survie respective... alors...? Vous en pensez quoi ?"

J’acceptais la suggestion d’Hayate avec un grand sourire joyeux avant de regarder Lin qui semblait ne pas vraiment l’apprécier lui et sa proposition.

-Moi j’suis pas contre ! Si toutefois tu accepte de chercher un gens avec nous…

Comme ça au moins je préparais le terrain au cas où Lin serais tentée de dire non. J’attendais qu’elle donne son avis mais elle ne fit pour seule remarque qu’il était possible que je me fasse aider si jamais j’avais trop mal à la cheville. Je détournais la tête, gênée qu’on ce soit aperçu de cette faiblesse et grommelais que je n’avais pas besoin d’aide, que je pouvais très bien m’en sortir toute seule.

Cependant la gêne fut très vite mise de coté lorsque j’entendis le bruit de la voiture dont Lin avait pris les clefs. Je ne m’y connaissais pas très bien en véhicules mais celui-ci me semblait assez précieux et je me doutais qu’il devait y avoir pas mal de choses sous sa carrosserie blanche lustrée. Je les suivis donc pour voir ma compatriote se mettre à l’avant et mon camarade dans le siège derrière elle. Il ne comptait pas prendre la place de devant ? Je me mis donc à la place du mort, à coté de la conductrice et attachais ma ceinture en priant pour qu’il ne se passe pas comme la dernière fois. J’entendis alors avec soulagement Lin accepter Hayate dans notre groupe de recherches avant de se concentrer sur notre objectif.

-Je ne sais pas réellement ou c’est mais je devrais savoir te guider normalement.

Je cachais bien sur que je n’avais jamais été dans les alentours de la mairie et que, par conséquent, je ne connaissais pas le trajet jusqu’à l’immeuble ou nous étions cachés avec le militaire il y a peu. Je la laissais mettre la musique et démarrer en écrasant ce qui se trouvait sur son passage, c'est-à-dire d’anciens êtres vivants qui perdaient maintenant des bouts de partout. Je tentais de ne pas m’en préoccuper, de me concentrer non pas sur mon propre état mais sur l’itinéraire que je devais donner. Je ponctuais donc notre route « meurtrière » d’un « à gauche » ou « à droite » tout en regardant les alentours le plus attentivement possibles pour retrouver chaque chose que mon cerveau aurait pu enregistrer lors de mon précédent trajet. Mais à pied et en voiture tout était différent et je peinais à reconnaitre quoi que ce soit, je pouvais juste contempler avec effarement et peine le désastre qui se déroulait partout autour de nous. La musique à fond me donna soudain envie de sortir en courant pour trouver un endroit calme ce qui, je me doutais bien, était impossible et je dus me contenter de progressivement baisser le volume de la radio tout en donnant des indications au chauffeur à mes cotés.
Je me rendais pourtant bien compte que je les menais nulle part, mes indications devaient paraitre de plus en plus hésitantes tant je commençais à m’affoler, certaine de m’être trompée. Au moment je j’allais abandonner complètement, certains endroit me donnèrent une impression de déjà vu et je repris progressivement confiance en moi tandis que le chemin réapparaissait doucement dans mon esprit et que s’effaçaient un peu les horreurs sanguinolentes des monstres dont les rangs grossissaient toujours et qui tentaient de nous rattraper. Tout me sembla alors tellement simple, dans peu nous serions tous les quatre dans cet appartement, nous pourrions nous y cacher le temps que les morts mouvants s’éloignent de notre position avant de trouver un endroit ou les humains étaient encore conscients qu’ils n’avaient pas besoin d’être anthropophages pour se nourrir. Peut être il nous faudrait attendre un peu avant de pouvoir reprendre une vie à peu près semblable à celle que nous avions avant la catastrophe mais il y avait de fortes chances que tous ensembles nous nous en sortions.
C’est alors que la voiture s’arrêta brusquement devant… un mur. Je ne pus alors que contempler l’énorme bêtise que j’avais faite. Par habitude je ne les avais non pas conduit dans le petit appartement délabré mais dans le cul de sac dans lequel j’avais l’habitude de venir dans mon « ancienne vie », le même ou nous avions été coincé avec Kaori il y avait maintenant trois jours. Mais cette fois-ci il n’y aurait pas de militaire aux cheveux blancs pour nous venir en aide.
Je regardais tout de même dans le rétroviseur, mes yeux passèrent un instant sur Hayate que j’évitais de regarder de honte, déjà que je sentais que Lin allait pester contre moi il y avait de forte chance qu’il le fasse lui aussi, peut être même qu’ils ne voudraient plus de moi après ce que je venais de faire. Je sursautais cependant en voyant des cheveux blanc coupés en brosse qui s’approchait de nous d’un pas chancelant. Je ne pus m’empêcher de sourire, j’étais certaine que c’était lui et qu’il était une fois de plus venu me chercher pour nous protéger tous. Sans faire attention aux autres, je me dégageais du sac que j’avais mis à mes pieds pour le trajet et sortais de la voiture sans écouter les reproches de mes deux compatriotes.
C’est à ce moment là que je me rendis compte que je j’avais eu tord.
Non pas que celui qui était en face de moi n’était pas Nathanael Mephisto Crow mais juste qu’il n’était simplement plus comme avant. Il redressa son visage vers dans ma direction, me fixant de ses orbites vides en poussant un râle qui fut repris par les congénères qui le suivaient et que je n’avais pas remarqué tant mon attention avait été focalisée sur cet homme.

Maintenant je me rendais compte à quel point j’avais fait n’importe quoi depuis le début. Trop centrée sur mon envie de le revoir, je n’avais fait attention à rien et tous allaient mourir par ma faute. J’étais totalement désorientée et me contentais donc de fixer les corps autrefois vivants que arrivaient maintenant de leur pas incertains vers nous, vers moi.

La suite