Escapade forestière armé et dangereuse

Ah, le Japon, sa technologie, sa nourriture, son exotisme, ses forêts de bambou, on s'en fout. Préparez vous à suivre un soldat américain envoyé capturé le chef de contrebandiers qui ont repoussé les forces d'assaut régulière, son ordre de mission est simple, tué les contrebandiers, capturé leur chef et récupère le maximum de documents les concernant, après avoir été largué d'un transporteur et avoir marché silencieusement jusqu'au camp des contrebandiers qui semble ne pas vouloir se rendre sans se battre.

Nous y voilà, alors d'après ce que je vois, ils sont au moins 30, avec quoi comme arme, oulà : M16, AK-47, Steyr Aug, M4, etc, ils sont des sentinelles déployée en binôme et donne des rapports toutes les 5 minutes, ça va être dur de passer sans casse, ah le chef avec ses gardes du corps et oulà, élément imprévu, une civile parmi eux, vu sons son corps, ils vont pas tarder à en profiter.

Effectivement, élément imprévu pour notre soldat, une civile parmi eux qui peut servir de gillet par-balle ou de support de détente.

Alors, je dirais qu'elle a environ 20 ans, qu'elle prisonnière depuis pas longtemps car elle semble en bonne santé, hum, bon je vais créer une diversion pour éloigner le maximum d'hommes du camp, en espérant qui ne tueront pas l'otage. Bref en route.

Notre héros sans peur tire en l'air pour faire croire au contrebandiers qu'ils sont attaqués mais que d'un seul point, une dizaine de contrebandiers s'enfoncent dans la forêt passant devant le soldat camouflé, mais ceux qui sont restés se sont repliés dans leur base, avec une vingtaine d'homme, le chef et la prisonniére qui je me demande ce qu'elle est en train de faire ou pense.

Depuis le temps que je patiente dans ce quand miteux, je les entends rire et parler pendant qu’ils me dévisagent, qu’ils m’envisagent se demandant de quelles manières abjectes je pourrai les divertir…
Fallait toujours que ça soit moi l’abrutie de service qui se fasse prendre pour pouvoir capter les infos…et oui généralement les malfrats ne se privent pas de parler devant leur victime puisque de toute façon ils comptent toujours les tuer…Donc me voilà seule assise par terre à l’affût de la moindre information et maintenant failles qui me permettraient de pouvoir m’échapper…bien évidemment ça faisait un moment que j’avais détaché mes liens mais j’attendais…j’en voulais plus. Bon et puis faut avouer que moi pour l’instant j’avais seulement un misérable poignard et eux tout un magnifique attirail…Donc j’avais pas trop le choix mais Je voyais, pas très loin d’ailleurs sur une table voisine les armes qu’ils m’avaient confisqué. Pendant que leurs immondes yeux perfides se poser sur moi, j’imaginais de quelle façon je pourrais les torturer si j’en avais le temps par la suite.
Un homme, enfin il me semble que s’en était un mais l’énorme couche de graisse qui le recouvrait m’empêchait d’en avoir le cœur net, m’a regardé d’une façon tellement indécente que je me suis senti violer sur place en quelques secondes. Je l’ai donc regardé un moment avant de lui dire sur un ton enjoué et défiant :

Qu’est ce qu’il a le gros lard ?

Bon ok il est venue me mettre une droite…pendant que je léchais le sang sur ma lèvre, le visage rieur, un coup de feu se fit entendre.
J’étais assez perplexe je l’avoue, je me demandais qui cela pouvait bien être. Le boss m’avait pas prévenue qu’une autre équipe était sur le coup ou même que les renforts arrivaient et je n’en voulais pas d’ailleurs. C’est donc légèrement énervée pour pas dire énormément que j’ai vu cette bande de bouffon se précipiter dans la forêt comme des dératés. Les autres se sont repliés à l’intérieur et moi et mon esprit perfide en avions profité pour se saisir d’une de nos armes fidèles…je ne pouvais pas m’empêcher de sourire, dopée à l’excitation et l’adrénaline j’attendais que le chef ou un autre passe devant moi pour avoir le plaisir de lui loger une balle en pleins entre les deux yeux…la satisfaction de le voir expirer son dernier souffle dans mes mains, voir son sang couler entre mes doigts, voir la mort en face encore une fois. Alors j’attendais…patiemment, concentrée et imperturbable, peu importe qui était dehors.
Après ses secondes qui m’ont parue être des heures, le misérable et pitoyable gros tas de tout à l’heure et passé devant moi…grave erreur. Je savais que je n’avais que très peu de chance mais j’avais assez de balle pour en tuer la moitié si j’étais précise et surtout mais surtout si je courrais très vite…c’était probablement du suicide mais malheureusement si je ne faisais rien ça l’était aussi.
C’est comme ça que je me suis relevée rapidement, bondissant presque sur la table derrière le gros tas pour être à sa hauteur…bah oui il était grand et moi et mon mètre cinquante faisions pas trop les fiers…et que je lui ai placé gracieusement le canon de mon Beretta 96 sur la tempe, passant mon bras autour de son cou pour le maintenir immobile comme je le pouvais. Un immense sourire s’est alors dessiné sur mon visage. Un sourire sadique et un tontiné malsain traduisant la satisfaction et la jouissant extrême qui parcourait mon corps…

Alors mon gros tu fais moins ton malin maintenant hein… ?

Un rire m’échappa même pendant que mes yeux brillants de folie s’illuminaient en regardant ses amis qui me regardaient de leurs yeux stupéfaits.
Cependant mon plaisir fut de courte duré car … qu’allais-je bien pouvoir faire maintenant ?

[ - rouge : paroles de Kate ]

Retrouvons notre héros qui s'est approché de la porte de la base qui semble en assez mauvaise état

Les idiots, laisser la porte rouillé, bon alors, on y va

Il défonça la porte sans mal, voyant des contrebandiers surpris, il tira et ses tirs furent juste et mortel, mais gardant un en vie pour l'interroger, la balle dans le bras devrait l'empêcher d'attaquer.

Ok mon gars, dis moi où se trouve ton chef et vos documents administratifs, aller accouche

Le persuadant, il réussie à découvrir que le chef est avec la prisonnière au sous-sol et les documents au premier, puis il donna au contrebandier la fin qu'il doit donné au contrebandier, il récupère grenades et munitions, fonçant au sous-sol pour secourir la demoiselle en detresse

Que faire, aller récupéré les docs puis m'occuper de la fille ou l'inverse mh, autant avoir du support pour terminer cette mission.

Ayant une forte résistance, son entraînement fut utile, il ne montra aucune pitié, tirant sans manqué sa cible, car les contrebandiers tiraient comme des porc, vite et mal, chose aisé pour un soldat envoyé seul sur des missions Black-Ops, le problème, c'est les contrebandiers du débuts qui reviennent, après s'être débarrassé des ses adversaires, notre héros monta un piège

Vive le Vietnam, c'est dingue ce qu'on peut faire avec des fils, du scotch et des grenades .

Effectivement, c'est dingue, attachant les grenades au mur et reliant leur goupille pas des fils, vu que ces imbéciles de contrebandiers foncent dans le tas, il ne comprendront même pas ce qu'il aurait arrivé.

Parfait ma belle, maintenant je vais te sauver et tu devras m'aider que tu le veuille ou non.

Retrouvons maintenant notre nymphe de combat et assasineuse en pleine évasion parfaite

Je regardais donc mes adversaires…et je calculais dans ma tête, essayant de trouver un moyen de m’en sortir. J’étais parti du principe que le chef des minables se préoccuperait de son ami que je tenais enjoue, mais visiblement ça le fit doucement sourire. J’ai compris que je n’avais pas vraiment choisis la bonne solution et que la j’étais mal… pour ne pas dire dans une merde internationale.
Je regardais rapidement autour moi, balayant du regard la salle et les hommes face à moi, qui avaient l’air de jubiler. Ça se bousculait dans ma tête mais j’étais prête à me battre encore. Puis, quelqu’un a touché le verrou, un des hommes été allé refermer la porte à clé derrière moi… ils ont peur que je recule. Alors je les ai regardé avec un sourire un peu plus grand, et un peu plus fou traduisant une assurance insolente. Je ne vais pas trembler devant ces pantins, ces minus, parce que moi je n’ai jamais appris à me battre contre des poupées. Je ne bougeais pas, je comptais simplement les chances qu’il me restait, mais cette place était sans issue je commençais à comprendre. J’avais l’impression d’être un gladiateur desperado envoyé en enfer pour une mission commando et j’étais entrain d’échouer… enfin rien n’était encore joué vous me direz, parce qu’au delà de mes faiblesses j’ai la force d’y croire encore.
J’allais probablement mourir aujourd’hui, j’avais certes connu de pires situation mais j’avais aussi eu l’occasion de les voir tirer … et s’était pas du grand art. Ils tiraient comme des bourrins et par conséquent se prendre une balle d’eux ferait certainement mal et ça ne serait pas non plus joli à voir. Heureusement que je n’accorde pas d’importance à ma vie sinon j’aurai probablement eu peur, ce qui était loin d’être le cas.
Le chef a rit puis m’a regardé dans les yeux avec un immense sourire dégueulasse…je pouvais compter ses dents avec la moitié des doigts d’une seule main. Il a ajouté sur un ton qui se voulait aussi insolent que mon regard, sauf que lui il avait l’air de sortir d’une mauvaise série policière ou on sait d’avance que le méchant va crever :

Le chef : Et qu’est ce que tu compte faire princesse ? hein ? tous nous tuer ?

J’ai fais un petit sourire et dis d’un ton ironique et presque défiant pour lui montrait que je ne connaissais pas le mot ‘peur’:

Oui c’était une éventualité en effet. Mais bon je préfèrerai que vous me laissiez partir sans que je ne sois contrainte de vous ôtez la vie … cela serait regrettable pour vous et sans intérêt pour moi.

J’ai ris un peu mais lui a perdu instantanément son sourire …quel manque total d’humour … En voyant que sa pitoyable tactique d’intimidation, totalement sur jouée et ridicule était veine, il a ajouté :

Le chef : Ecoutes poulette tu pose ton flingue ou ça va mal aller …compris ?

Après que mes yeux l’eurent considérés quelques temps j’ai soupiré légèrement en entendant le manceau de bêtise qu’il débitait à la seconde puis j’ai répondu de la même manière :

Et toi appelle moi encore une fois poulette et ça va mal aller…compris ?

J’ai fait un immense sourire vicieux comme à mon habitude et arrogant, lui se voulait plus menaçant mais c’était peine perdu :

Le chef : Espèce de-

Je ne lui ai pas laissé le temps de finir sa phrase il m’ennuyait trop et je lui ai tiré dans le bras.

Fallait pas me parler comme ça…tu vois bien le résultat. Pourtant je t’avais prévenue…

Pendant qu’il se tenait le bras en lâchant un hurlement de douleur j’ai poursuivi d’un air plus sérieux :

Bien maintenant vous ouvrez la porte compris ou je vous butte tous sans hésiter…

Ils sont tous restés perplexe, stupéfaits et immobiles se demandant se qu’ils devaient faire. Alors je me suis levée gardant enjoue l’homme, je comptais reculer jusqu’à la porte mais le chef s’était redressé et avait abattu son ami de sang froid, celui-ci s’écroula devant mes yeux surpris.
Il me tenait enjoue et moi aussi, je restais droite et fière gardant mon assurance et lui restait courbé sous la douleur et débile…qu’est ce que j’allais bien pourvoir faire cette fois ?

[ - rouge : paroles de Kate
- blanc : paroles PNJ ]

Profitant de la déambule général et des fusillades, on retrouve note soldats en train d'en faire une.

Prenez ça crevard

Toi, va dire au chef que c'est le BloodSlasher qui attaque, on a quasi aucune chance de le touer à nous 5, va chercher du renfort

Le jeune contrebandier en profite pour filer mais ses copains ne tenirent pas longtemps face au soldat, aprés s'être débarrassé des contrebandiers, il en garde un en vie pour l'interroger

Parfait mon gars, indique moi le chemin où vous retenez la prisonnière

Faut prendre l'esclier, mais tu es foutu, les autres parti en forêt sont arrivés

A ce moment précis, le piège explosa dans une immense détonation

Quel autres ?

Espèce de

Il na même pas eu le temps de finir qu'une balle de notre héros lui traversa la tête

Prendre l'escalier mais avec celui qui s'est barré et cette explosion, ils ont sûrement compris que j'étais dangereux, j'espére qu'il y aura du challenge

Descendant les escaliers, notre héros s’arrête devant l'armurie

Voyons voir, chargeur de Famas, je prend, balle de S&W 500, aussi, pour la prisonnière, vu que c'est une fille, je prend un glock, un MP 5 avec les balles qui vont avec, alors pour moi, ouh, un striker et ses balles, je prend, des grenades explosifs et aveuglantes aussi

Notre sort de l'armurie comme une femme qui sors des soldes

HE

Avançant silencieusement vers la porte suivante, elle est bloqué de l'intérieur

[color=red]Bon, je cale bien la grenade sur la clinge, j'attache un fil à la goupille, je m'éloigne et je tire[ /color]

Tirant sur la ficelle, la goupille et la porte vola en éclat.

J’étais donc dans la merde, une fois de plus. Enfin je savais que j’étais plus rapide et plus précise que l’autre idiot face à moi mais ils étaient quand même bien plus nombreux…
Si je le tuais ce que je préférai éviter pour ma mission, tout les autres me tomberaient dessus en même temps et sans réfléchir. Je n’aurai donc pas le temps d’en tuer, d’ouvrir la porte et de m’enfuir. Si je tuais un de ses amis j’aurais déjà plus de chance mais il me tirais forcement dessus, pas un tire mortel mais il me touerais la peau c’est certain. Alors qu’est ce que j’allais bien pouvoir faire cette fois encore ?
Je commençais à être lasse de cette situation et dans ces moment la, essoufflée j’avoue j’ai envie d’une fin sublime pour pouvoir m’écrouler dans les propres ruines de mon existence et de mon hôtel en compagnie de ma vodka, pour pouvoir m’enivrer et attendre les prochains ordres qui me mèneraient à la perte totale de mon âme une fois de plus.
Je savais que je pourrais en tuer une grande majorité mais que je serai forcément blessée et les risques étaient non négligeables.
Pourtant je n’allais pas mourir aujourd’hui, pas encore et vous savez pourquoi ? Tout simplement parce que je n’en n’avais pas envie. J’ai toujours dis que mourir m’était égale, et c’est le cas, mourir je m’en tamponne mais je veux choisir ma mort …et celle la ne me convenait pas : tuée par une bande d’abruti complètement limitée ça serait vexant tout de même, alors j’ai décidé que quoi qu’il arrive, même cassée ivre morte je continuerai à me battre cette fois et à braver la mer si profonde gouttant le sel et l’amertume, laissant mes idées noires se dévergonder.
Pendant que j’étais en pleine réflexion et que le nabot en face de moi riait comme un porc, me regardant de ses yeux perfides, même ses yeux lui donnaient un air de débile profond, la porte explosât… bien évidemment comme je n’étais pas loin de la porte, et vu mon gabarit, j’ai fais un magnifique vol plané atterrissant ainsi juste sur le gros tas de tout à l’heure… Voilà pourquoi je n’accorde pas d’importance à la chance : je n’en ai jamais eu… Sérieusement faire I belive i can fly sur bibindome moyen quoi…
Enfin dans la panique ça m’a quand même permis de tirer une joli balle entre les yeux de celui-ci et de récupérer ma deuxième arme.
Le chef me cherchait du regard, restant près de la porte au cas ou je m’enfuirai mais pas assez près pour risquer sa vie face au potentiel adversaire qui risquait de passer la porte. Je n’avais pas le choix et me suis donc calée dans un renfoncement du mur pour me protéger d’éventuel tire, si échange de tire il y avait, me penchant pour voir qui avait bien put faire exploser cette porte… il ne me restait plus qu’à attendre le moment propice pour m’échapper discrètement.
Ça devenait bien plus amusant et bien plus facile maintenant ! j’allais bientôt retrouver ma vodka, enfin !
Tout ça allait bientôt finir, la porte était ouverte et je n’étais pas loin d’elle il me suffirait de tuer quelque mollusques au passage et ça serait bon. Ensuite je n’aurai plus qu’à appeler mon boss et les renforts seraient arrivés pour tous les descendre pendant que moi je serais rentré tranquillement donner les informations que j’avais récupéré. Certes j’aurai préféré amener avec moi le chef des pas beaux mais vu comme c’était parti il valait mieux que je me contente de ce que j’avais. Mais malgré ça je repasse maître du jeu, mais je n’ai pas encore décidé des règles…

J'ai explosé la porte, bien entendu, ce sont certes des idiots mais comme tous le monde quand un porte explose, il tire une rafale, je me mis à couvert de justesse, je dégoupille une grenade aveuglante, après l'explosion, ils ont tirés n'importe comment, peu importe le danger, j'ai plongé et j'ai tiré, ils étaient 15, pour moi ce fus chose aisé, mais quand je me suis aperçus que le chef était mort, je fus surpris, ce n'est pas moi qui l'ai tuée, je vise le coeur, pas la tête, un tiers de ma mission est échoué, après que le reste des contrebandiers moururent, je vis dans un renfoncement la prisonnière qui réveilla en moi des sentiments qui je croyais effacé à jamais mais je repris vite le contrôle de moi, la mettant en joue, j'entendis des paroles et des pas des contrebandiers qui sont plus nombreux que prévu, je lui donnas le Glock et le MP5 puis je la mis sur mon épaule et je commençais à remonter au premier pour les documents mais sur le chemin je commençais à les tuées car je voulais me débarrasser de ces gêneurs, les balles sifflant, le bruit des douilles et les cris de colère et de douleurs se turent au bout de 10 minutes d'un assourdissant feu d'artifice, le problème c'est qu'il en revenait, vraiment beaucoup plus nombreux que prévu, je la remis sur mon épaule et la cala bien pour qu'elle ne se dégage pas, les fusillades furent de plus en plus nombreuse et violente, je finis par me prendre une balle dans le bras, mais elle est ressorti donc blessure superficiel mais je devais faire attention, je me soignas et repris la route avec la prisonnière, nous arrivâmes devant la salle des documents administratifs, j'ouvris la porte, effectivement c'était la salle des documents, j'ouvris les casiers, mais un homme rentra avec son arme, il nous dire des nous tourné en donnant nos armes avec les mains en l'air, je me tournis et quand je vis son visage, mon sang ne fit qu'un tour, ce visage faisait partie des vingt qui ont détruit ma vie, d'un geste vif, j'étais sur lui mais avec un autre balle dans le même bras, je le désarma, le plaquant au sol en lui disant avec mon S&W 500 sur la tempe

Alors, ça fait quoi de voir la mort en face hein
Non pitié, je vous dirais tous, ne me tuez pas pitié
AH ah ah, de la pitié, en a tu eu autant il y a dix-huit ans
De quoi parlez vous?
Il y a dix-huit ans, au Mexique à Corrorado Mendez, tu ne te souviens pas
Non pas toi, tu es censé être mort
Le destin en a voulu autrement, salut Satan de ma part
Lorsque j'appuyas sur la détente, sa tête explosa, enfin, un visage de moins, plus que dix-huit a effacer, je retournas aux documents et pris qui pour moi paraissait les plus importants et repris la route vers la sortie avec un bras blessé et une fille qui m'a fait découvrir que j'avais encore des sentiments.

» Rang, Arme et Arivée !