Hep Taxi ! [Pv : Jiro Ishida]

Ce jour là, il devait être sept heure du matin quand je sortis du lit. Je ne pris pas la peine de déjeuner, buvant simplement un verre de Whisky devant la télévision. Rien de bien intéressant, encore une fois, ce matin. Une fois le verre vide, je pris une bonne douche et mis des vêtement propre. J'avais un rendez-vous avec l'équipe et le chef aujourd'hui vers treize heures trente en banlieue. Un short en jeans et un top noir ferraient largement l'affaire, comme toujours accompagné de mes Cutlass rangés dans leur étui à mon dos. Je pris tout mon temps, je décidai même de laver ma moto avant de partir. Je remplis un sceau d'eau dans la cuisine et allai dans mon garage. Avec beaucoup de soin, je la nettoyai avec minutie, elle devait être impeccable. Avant de partir, je vérifiai que tout était fermé et pris la route. Je n'étais pas prudente du tout, après tout, pourquoi rouler prudemment avec un engin si puissant entre les mains ? J'aimais la vitesse et prendre des risques. La voiture n'était pas pour moi, j'avais déjà tenté l'expérience. Ne pas sentir le vent contre sa peau ou ne pas se sentir fort sur la route me plaisait.
Quoiqu'il en soit, je roulai sans me soucier de l'heure, puisque sans moi, cette réunion ne pouvais commencer. Soudain, une voiture se mit sur mon chemin, je ralentis au maximum en sortant de la route. Ma moto glissa et je me retrouvai au sol cinq mètres plus loin en maudissant ce type. Je me relevai en boitant et en jurant. J'allai voir ma moto et me rendit compte qu'elle ne voulait plus démarrer. Enragée, je pris mon téléphone portable et appelai mon garagiste :
« Lou ? Ouais c'est moi... Ben il y a un en**** qui s'est mit sur ma route... Non.. Non... NON je te dis ! Ben je sais pas ce qui va pas, elle prend pas... Moi ça va, juste la rage là !... Ouais faut que tu viennes... Ben moi je vais prendre un taxi ou un truc dans le genre, j'ai un rendez-vous... Hum-hum.. . Tu la rentre à la maison après, et tu m'appelles. Oublie pas cette fois.. Oui bah la dernière fois tu as zappé... Ouais bon c'est rien... Euh je suis en banlieue, sur la route vers le cabinet... Tu verra, sur le côté gauche de la route.. Ok, merci Lou... Bye ! »
Je raccrochai et me laissa tomber au sol. J'avais le côté droit bien amoché avec la chute. Il faut dire qu'avec un short et un top, ça pardonne pas. Par chance, rien de cassé, j'étais brûlée. Je mis ma moto plus sur le côté pour ne pas risqué de provoquer un autre accident et sortis une veste fluorescente. Oh non, pas pour moi, mais pour mettre sur la moto pour que Lou l'a trouve plus facilement. J'avais mal à la jambe et au bras mais décidai de continuer d'avancer en faisait du stop. Pas un seul gars ne s'arrêta. Je devais certainement les faire fuir. Je ne pouvais plus marcher. Je m'arrêter un moment faisant signe au voiture de me prendre.
« Espèce de con****, une femme a un accident, il y en a même pas un qui s'arrête pour l'aider. Je vous jure.. Si un jour, je leur tombe dessus lors d'une mission. Ils y resteront !!! »
Je me remis en route, boitant de plus en plus. Une voiture s'arrêta, je me retournai et vis une femme sortir. Elle vint vers moi avec une bouteille d'eau.
« Vous allez bien madame ? J'ai vu une moto plus haut, c'est la votre ? »
« Oui m'dame. »
« Vous allez bien ? Vous voulez que j'appelle les ambulances ? »
« Merci m'dame, j'ai juste besoin d'un transport. »
« Malheureusement, je ne peux pas vous aider.. Avec mes enfants la voiture est pleine. Tenez une bouteille d'eau bien fraîche »
« Merci bien. C'est gentil. Vous êtes la première à s'arrêter pour m'aider. » répondis-je en buvant et versant le reste sur ma jambe « Est-ce que je peux en avoir une autre pour nettoyer mon bras ? »
Elle alla en chercher une autre et revint me l'a donnant en souriant. Je lui dit de reprendre la route en la remerciant encore pour l'eau. Elle hésita et se remit tout de même en marche avec ses enfants. Si je n'avais pas été de si mauvaise humeur, j'aurais sans doute pu la charmer. Mais là, la situation faisait que je n'étais pas au mieux. Je décidai d'attendre là sans bouger, la main levée vers le haut. Je ne sais pas combien de temps j'attendis là, l'eau sur ma jambe et mon bras ayant même séchée.
Soudain, un taxi passa devant moi, cela devait être le centième aujourd'hui, mais je vis qu'il s'arrêtait un peu plus loi. Je ne savais pas si c'était pour moi ou non alors je restais là, regardant si quelqu'un sortait pour me proposer de monter. Je vis les deux personnes discuter à l'intérieure et me dis que le client avait sûrement demandé de changer de trajet ce qui ne plaisait pas au taxi-man. Je reportai donc mon intention sur la route. Vérifiant que mes Cutlass étaient toujours en place, pour la cinquantième fois au moins, dans leur étui à mon dos. Avec le bruit des voitures, je n'entendis pas la personne venir dans mon dos. Soudain, un frisson glissa le long de ma colonne vertébrale. Je me retournai en pointant mon arme sur un homme de ma taille. Je me rendis vite compte qu'il ne me voulait aucun mal, je la rangeai en lui disant :
« Bon dieu... Vous êtes fou, encore un peu et je vous perse un troisième œil !!! Qu'est-ce que vous m'voulez ? J'ai pas que ça à faire... »

Jiro tiqua brièvement d'être ainsi en ligne de mire d'un canon d'arme à feu, il ne s'attendait clairement pas à un accueil chaleureux ayant vu l'humeur d'Angie en approchant à pas mesuré. Ne trouvant qu'un sourire a répondra lorsque cette dernière rangea son arme, lui adressant la parole, un peu sèchement ? Pour le moins peu amicalement.

S'inclinant légèrement comme le veut le sens de l’Étiquette , Jiro se présenta.
<< Enchanté de vous rencontrer, je me nomme Monsieur Ishida. J’apprécie que vous vous soyez abstenue de modifier légèrement mon anatomie avec votre... ustensile. A la vue de votre... état, j'ai demander au chauffeur de s’arrêter, j'ai pensé que vous apprécierai d'avoir un déplacement motorisé plutôt que de continuer à boiter sur le bord de la chaussée.>>

Jiro aurait habituellement tendu le bras pour escorter n'importe qui dans ce cas là, mais l'aperçut du caractère d'Angie, lui faisait clairement comprendre qu'elle n'était pas du genre à s'appuyer sur quelqu'un pour ce qui devais venir de lui arriver peu de temps auparavant. En tenant compte du fait que le port d'arme n'est pas autoriser pour n'importe qui dans le pays et que les réflexes qui lui avait presque causé un "troisième œil", il est clair que cette personne devait faire partir d'une organisation militarisé réglementaire, mais tant la police que les force d'auto défense n'employait pas souvent d'étrangère, ce qui restait plutôt louche pour le coup.
Bref, il s'était déjà engager de proposer de la déposer, en espérant juste que le chauffeur n'avait pas vu les armes, il pourrais refuser de les reprendre tout les deux à bord de son véhicule et les planter ici.

<< Si je peut vous aider, pour ne pas trop forcer sur votre jambes, vous risqueriez d'abimer votre épithélium en forçant un mouvement de pas fluide. Il serai plus sage de garder la jambe bien raide, la restauration des tissus cutané n'en sera que plus rapide. >>

Finalement il s'était décider, Jiro lui tendit le bras affichant une expression totalement neutre, se doutant bien que les sourires ou les courbettes n'était clairement pas dans l'optique d'Angie, d'un comportement habituel. C'est occidentaux, ce qu'ils peuvent être barbare parfois.

Ce même homme s'inclina, comme le veux la coutume de ce pays, en se présentant à moi sous le nom d'Ishida. Il avait demandé au taxi-man de s'arrêter pour m'aider. J'étais sans doute obligée de le remercier, après tout ça partait d'une très bonne intention. Malheureusement, ce bon samaritain était tombée un très mauvais jour. Je pensai même un instant qu'il allait sans doute regretté et changer d'avis en voyant mon humeur. Je lui répondis en me mettant totalement face à lui :
«Anderson. Je suis censée vous remercier n'est-ce pas ? Donc, merci. »
A peine ma phrase terminée qu'il me sortis un charabia sur mes blessures. Mais de quoi il pouvait bien se mêler lui ? J'en avais vu d'autre lors de mon service. C'est vrai que ce n'était pas agréable, mais pas de quoi en faire tout une histoire non plus. Je le regardai agacée et lui répondis, toujours de très bonne humeur :
« Vous êtes très gentil de me proposer de partager avec vous votre taxi, mais je ne pense pas vous avoir demander un quelconque conseil sur mon état de santé. Alors si vous pourriez simplement vous mêler de vos affaires, ça m'arrangerait énormément. Sans quoi, je risquerais de le prendre seule ce taxi. »
Comme pour accompagné ses paroles, il avait tendu le bras. A quoi il pensait ? Croyait-il sincèrement que j'allais m'appuyer sur lui pour marcher ? C'était très mal me connaître. Même de très bonne humeur et à moitié morte, ça ne serait jamais arrivé. Je lui fit un signe que ça n'était pas la peine de se fatiguer et me dirigeai vers le taxi. Je traînais ma jambe et tenais mon bras contre moi avec l'autre main. J'entrai dans le taxi et dit au chauffeur, ne le regardant même pas :
« Vous avez bien une boite de secours dans votre épave ? »
« Oui madame. »
« Très bien, où est-elle ? »
« Sous mon siège madame »
Je me penchai donc en grimaçant et sortis la boite. J'avais complètement oublié la présence de ce Ishida. Il devait avoir rejoint le véhicule puisque nous nous mirent en route. Je sortis le désinfectant, ainsi que des bandages. J'en mis un autour de mon bras et utilisai un autre pour en faire une atèle. Pour ma jambe, j'attendais d'être au bureau pour m'en charger. Il y avait toujours une infirmière au cas où. Rien que d'y penser, mon visage afficha un sourire vrai pour la première fois depuis l'accident. Je pris aussi des anti-douleurs et remis la boite à sa place. Je dis au chauffeur qu'il pouvait aller en chercher une au nom d'Anderson à la police et qu'on lui remplacerait. Je me retournai enfin vers l'homme qui m'avait aidé et lui demandai, avec toujours autant de chaleur :
« Vous allez où comme ça ? Pour moi savoir où descendre... »
J'aurais aimé avoir un bon verre de Whisky pour me consoler. Je détestais voyager en voiture, je n'avais jamais aimé ça. J'ouvris la fenêtre en grand et collai mon dos contre la portière, vérifiant qu'elle était verrouillée. L'homme était de l'autre côté de la banquette. Je pris le temps de la détailler, attendant sa réponse. Il faisait ma taille et ne semblais pas plus vieux que moi. Il avait des cheveux foncé, typique de la région, qui étonnamment ondulaient légèrement sur les pointes. Il portait des lunettes et semblait très bien élevé. Il se tenait droit et était bien habillé. Était-il homme d'affaires ? Médecin ? Avocat ? Je n'en avais aucune idée et m'en souciais très peu. Mon seul but était de rejoindre la section et ce le plus rapidement possible. Je devais certainement être en retard. Je composai donc le numéro de mon chef, mais tombai sur le répondeur. Je laissai un message bref et précis de la situation.
« Anderson, accident, en route pour le bureau, arrive bientôt »

Jiro ne pouvais trouver l'amabilité des étrangers que passablement... inexistante au vu des réponses au quelle il eut droit. Maintenant revenu s'assoir tranquillement dans le taxi à côté d'Angie, il s'abstient de la regarder s'appliquer les bandages, se doutant que vu la référence à la police un peu plus tôt, il avait a faire a une personne d'action probablement sans aucune connaissance, anatomique ou médicale.

<< Je me rend dans les quartiers résidentiel proche du lycée, environ vingts minutes d'ici. Est ce sur votre route ? Ça ne me gène pas de faire un détour, vous semblez être attendue.>>

Portant un costume confortable sans être pour autant sorti du dernier magasin tendance, Jiro patientais tranquillement en regardant par la fenêtre extérieur, on dirait que le traffic se densifiait, le chauffeur roulait presque au pas maintenant les autres véhicules sur la voie rapide empêchant l'avancer.

<< Finalement c'est peut être pas la bonne heure, c'est plus calme que cela habituellement, il y as peut être eut un accident un peu plus haut. >>

Jiro ouvrit la portière de son côté pour regarder debout de dehors si on vois quelque chose. La seule chose visible était en effet un léger dégagement de fumée au loin, caractéristique de véhicule s'étant percuter ou d'hydrocarbure fumant sur la chaussée.


<< On dirait que ça as dut cogné il y a un peu de fumée au loin. >>

A ce moment la, on pouvais entendre des cris commençant a monter au loin, comme si l'air semblait porter le frisson d'une vague de folie déferlant sur le monde. Des silhouettes commençait a se rapprocher du taxi, des gens courait vers nous comme fuyant. Jiro se pencha vers l'intérieur du taxi.

<< On dirait que des gens viennent par ici en courant, comme si ils fuyez quelque chose, c'est peut être un camion de produit chimique qui est renverser et ça fume sacrément.>>

Le premier fuyard passe le long du taxi en hurlant des choses comme " C'est pas possible ! " " Ils sont en train de les bouffer ! " " Dieu aide moi ! Le jugement arrive " Entendant des choses aussi bizarre Jiro grimaça légèrement en regardant vers Angie.

Je regardais par la fenêtre les voitures nous dépasser en me disant qu'avec ma moto, il n'y aurait ce soucis d'attente et de manque de place. L'homme à mes côtés me répondit, me disant qu'il se rendait dans les quartiers résidentiels, mais qu'il voulait bien me déposer où je voulais. M'étant quelque peu calmée je lui répondis de manière beaucoup moins agressive.
« C'est très gentil de votre part. Je dois me rendre au poste de police, vous serez très aimable de me déposer non loin. Merci beaucoup. »
Je continuais de regarder le trafic qui se densifiait de plus en plus. Bientôt, il nous étais complètement impossible de faire un mètre. Je décidai de rester calme malgré tout demandant au chauffeur ce qu'il pouvait bien se passer. Évidemment, il n'en savait absolument rien.
« Finalement c'est peut être pas la bonne heure, c'est plus calme que cela habituellement, il y as peut être eut un accident un peu plus haut. »
« Il ne manquait plus que ça à vrai dire... Un accident, ce n'est pas mon secteur »
Je m'installai plus confortablement, attendant patiemment que cela se décoince. Mon homologue masculin décida de sortir du véhicule pour se renseigner sur la situation. Apparemment, il y avait bien un incident, un peu plus loin sur la route.
Soudain des cris se firent entendre. Je passai la tête par la fenêtre ouverte me demandant ce qu'il pouvait bien se passer. Un simple accident pouvait rarement causé une tel panique auprès des habitants.
« On dirait que des gens viennent par ici en courant, comme si ils fuyez quelque chose, c'est peut être un camion de produit chimique qui est renverser et ça fume sacrément. »
« Vous pensez ? Il faut contacter quelqu'un de compétent dans ce cas.. Je vais aller faire un état des lieux »
Je sortis du taxi et là je vis des gens venir en courant, hurlant, complètement terrifiés. Ils criaient des choses incompréhensibles. Je captai une bribe qui me fit directement réagir :
« Ils sont en train de les bouffer ! »
Je sortis mes cutlass et me mis en route le plus rapidement possible, me débarrassant de mon bandages sur le chemin. Je courais en évitant les personnes venant vers moi, certains me criant de ne pas y aller. Une fois sur place, je m'arrêtai net. Deux ou trois personnes étaient en train de dévorer, oui dévorer, d'autres qui avaient tenté de s'enfuir. Je m'approchai armes en main pointé sur eux et leur intimais l'ordre d'arrêter. Ils étaient dos à moi, ils me firent face.
« Mais c'est quoi cette merde !! Restez où vous êtes, j'hésiterai pas à faire feu »
Ils avançaient en grognant le visage déformer et le teint morne. Je leur dit de nouveau d'arrêter, comme ils ne le firent pas, je leur tirai dans la jambe. Ils tombèrent au sol mais se mirent debout, n'ayant pas le choix en voyant qu'ils se rapprochaient, je tirai dans le coeur. Baissant la tête en les voyant au sol je fis un pas pour aller voir les blessés. Alors que je passai à côté de l'un d'autre eux, il me prit par la cheville et voulu me mordre. Instinctivement, je lui tirai quatre ou cinq balles dans la tête. Je ne pouvais pas y croire, comment pouvaient-il encore bouger alors que je venais de les tuer ? Les autres se levèrent, je vis les victimes faire de même. Je ne savais pas quoi faire, je regardai au loin et vit monsieur Ishida.
« Restez où vous êtes !!! » Je me mis à courir vers lui tuant une autre personne sur mon chemin d'une balle dans la tête. Une fois à sa hauteur je lui dis :
« Il faut s'en aller... Prévenir les autorités, ce qui se passe ici est incroyable... Je ne sais pas comment expliquer ça.. Une balle dans le coeur ne leur fait rien ! »
Ces gens étaient plutôt lent, ce qui pouvait nous permettre de courir. Lorsque cet homme m'avait pris au niveau de la cheville, j'avais eu l'impression que celle-ci se faisait écraser entre deux véhicules. Le corps à corps ne semblait donc pas le meilleur des moyens.
« Que faisons nous ? Monsieur Ishida ? »

Jiro Ishida regardait ce qu'il venais de se passer les yeux grand ouvert par la surprise d'une situation inattendue. Le cannibalisme n'était plus pratiquer dans le pays depuis plusieurs siècles et encore a l'époque il était très rare même pendant les grandes famine historique. Elle venait de leur tirer dessus plusieurs fois et aucun d'entre eux ne semblait y accorder la moindre attention, c'est quasi impossible pour n’importe qui. Revenant rapidement vers moi, Angie repris son souffle pour me lâcher subitement :

« Il faut s'en aller... Prévenir les autorités, ce qui se passe ici est incroyable... Je ne sais pas comment expliquer ça.. Une balle dans le coeur ne leur fait rien ! »

C'est précisément ce que j'avais vu, ces gens n'avait aucune réaction normale, pour qu'une balle dans le cœur n'est pas d'effet, on arrivait carrément dans le scénario des films d'épouvante les plus classique.

« Que faisons nous ? Monsieur Ishida ? »

C'est inattendue de la part d'une personne armée, probablement membre de quelques section bizarre de la police vu quelle voulait être déposer au commissariat. Elle me demande mon avis, la situation doit carrément dépasser tout ce qu'elle à put voir par le passé, remarque je n'ai jamais vu des cas de cannibalisme sauvage tel que celui-ci uniquement chez certains micro-parasite, ce qui est très loin de l'être humain.

<< Je crois... ils ont réagis quand vous les avez interpeller... mais la... ils ont pas l'air de bien se déplacer... >>

En effet un des cannibales immortel semblait vouloir avancer contre l'avant d'une voiture sans penser a en faire le tour. Soit il est dans une transe qui le rend idiot, soit il ne la vois même pas.

<< On dirait qu'ils se fient au bruit... Pas a la vue, je pense qu'on devrais d'abord s'éloigner du bruit. Ils n'ont l'air rapide en fait... Ils doivent être drogué... ou je sais pas. Mais vous en avez tuer un... en plein cœur et il s'en moque... Non ça peut pas être comme un film d'horreur à la con! >>

C'est pas tellement que je perdais mon calme mais l'idée ne voulait tout simplement pas s'imposer à moi, a moins que ce ne soit moi qui chasse l'idée la plus évidente sous prétexte qu'il n'y as aucun argument scientifique permettant de s'y accrocher.

<< On part dans la zone résidentielle, en journée ça doit être moins peuplé. On sera plus au calme, et je connais le chemin à bien jusqu'au commissariat central. Je vous y emmène, la maison de mes parents et sur le chemin, on pourra voir si ils en parlent à la télé. >>

Jiro se retourna pour voir que le chauffeur n'avait pas demander son reste et filer quand il avait du voir ce qu'il se passait en face, il faut juste rationalisé, j'allais ouvrir le coffre du Taxi, délaissant ma valise qui ne contenait que quelques vêtements, c'était pas vraiment le plus important et je me saisit de la manivelle, et du plus gros tournevis présent dans l'outillage de dépannage du véhicule.

<< Je suis prêt on y va. Non avant cela...>>

Je pris la place du chauffeur cherchant une station de radio émettant des informations, je la trouvais rapidement me rappelant encore des fréquences du coin. Les journalistes semblait se disputer sur la nature du problème, apparemment ce qu'on venait de voir affectait une bonne partie du nord de la ville.

<< Merde... >>

Un des journaliste sans doute plus illuminé que les autres lâcha le mot "Apocalypse", sans doute il est chrétien, les morts rejetant leur propre tombe puis on lui répondit que les "Zombies" n'était qu'un mite que ça devais être un attentat terroriste virologique.

<< On se tire de là, ça sent pas bon...>>

Je lui désignait le côté de la route vers les bâtiments, espérant qu'on pourrais éviter le problème la bas.