Dance with the dead

Invité

Hayate venais de partir avec une vrai meute de créature pas encore pourrissantes aux fesses, il pensait sans doute nous sauver tout les deux en agissant comme un héros. Est qu'il connaitra un jour le résultat de ce qu'il viens de tenter, rien de sur. J'avais peur maintenant seule sur la banquette arrière de la voiture, je ne connais même pas vraiment ce gars... Yoru. Est ce que je peut avoir confiance en lui ? On devrais se débrouiller correctement avec la voiture et l'épicerie pas loin, c'est Haya qui va avoir des problèmes, il est tellement tête brulé quand je suis pas là pour le surveiller. Tout les voisins le savent, il peut faire plein de bêtises si on ne lui fixe pas de limites, je peut pas le laissé comme ca.

"Yoru... il va pas s'en sortir si je le laisse seul. Il fait tout le temps des bêtises... Tu sait."

On dirait que j'essaie de me trouver des excuses, un prétexte. Pour lui courir après, ca serai tellement stupide de ma part de quitter le véhicule maintenant, mais si je rentre à la maison et que personne ne m'y attend ? Et si j'étais déjà seule sans encore le savoir. Je peut pas le laissé partir comme ca, il n'a pas le droit de me laissé seule comme ca lui aussi, j'ai peut être plus que lui au monde.

"Je peut pas le laissé... Excuse moi..." Elle avait bafouillée tremblante à la décision qu'elle venais de prendre.

Ne se retournant même pas vers Yoru je quittais la voiture avec précipitation pour allez voir ou Hayate avait put se diriger en montant l'escalier, les zombies avait un peu déserter la zone pour le poursuivre. LA barre de fer qu'il avait lancé plus tôt est la juste devant moi, sale et dégoulinante mais je m'en emparer du seul coté propre restant, j'ai au moins cela pour retarder le moment de me faire bouffer de quelques secondes. Il était déjà hors de vue mais le flux des zombies en contrebats indiquait la direction qu'il avait dut prendre pour les attirer hors de l'autoroute.

Je descendait a mon tour l'escalier, lentement et en silence je voulait pas qu'ils se retourne maintenant vers moi. Je vais devoir prendre une rue parallèle pour le suivre, le problème c'est qu'il doit courir et moi je pourrais pas si je veut pas me faire manger toute crue. Je pris donc la ruelle suivant pour tomber nez à nez avec... la plus mal-odorante des poubelles que j'ai put croiser de ma vie. Mais elle avait un couvercle circulaire en fer, j'avais enfin trouver une défense... un bouclier en couvercle de poubelle. C'est tellement ridicule que ca me semblait une excellente idée.

Ainsi je me mit à poursuivre Hayate, un couvercle de poubelle dans une mains et une barre de fer sale dans l'autre.

Messages : 18 Date d'inscription : 23/02/2011

Alors comment j’en étais arrivé là je n’en savais strictement rien. Je n’avais pas mon katana, je n’avais rien de bien utile pour dégommer des espèces de zombies. Non mais hallucinais c’était quoi ce délire. Non mais j’étais pas dans un film d’horreur enfin quoique maintenant si je l’étais. C’était quoi cette blague à deux balles. Enfin à deux balles non ça m’étonnerais. Il fallait absolument que j’aille à la banque toute suite et maintenant et ainsi qu’au centre commercial. Pour le moment il fallait que je me débarrasse de ses choses toutes plus ignobles les unes que les autres. J’avais rarement peur mais je ne pus réprimé un frisson lorsque l’un d’eux passa à côté de moi. Comme s’ils ne voyaient rien, trop moche. Je me complaisait dans ma beauté à moi. J’ai vraiment la classe et je suis un mannequin à côté de ses guignols. Une fois qu’il était passé je couru à ma moto le plus vite possible merci au grand maître des arts martiaux de m’avoir fait faire le tour des bâtiment plus d’une fois. Je chevauche ma bécane et m’élance à toute vitesse direction le centre commercial. Non mais je rêve on est envahit. Je prend une barre de fer qui se trouvait là pour être un peu armé. J’essaye plus ou moins de tuer ces créatures impossible mais c’est à croire qu’elles sont immortelles. Bon je les assomme pour un petit moment et vais à la boutique de mon Shishou non pas sans difficulté je dois bien l’avouer. Personne n’était là, plus personne de vivante dans tout les cas. Je monte à l’étage du salon de thé et découvre plusieurs Katana. J’en prend un au hasard, mais rien ne vaut mon sabre. Je ne peux pas me contenter de celui là oui je sais ça paraît un peu bizarre alors qu’autour de moi il y a des centaines voir des millions de bestioles oui parce qu’on ne peux pas les appeler des humains que je veuille aller chercher le mien mais bon mon katana est unee partie de moi c‘est la prolongation de mon bras et la finalité est parfaite. J’attache le fourreau à ma taille et retourne à ma moto j’enfourne l’engin et vais à mon coffre. Heureusement que je gardait toujours la clé électronique sur moi parce qu’a mon avis il ne doit plus beaucoup rester d’employer de banque ou alors ils se sont enfermer dans la chambre forte et avec leur bol ils ont embarqué une collègue qui s’est fait mordre et tout le monde est contaminé. Je tranche plusieurs têtes au passage. Et arrive à mon précieux coffre je l’ouvre et prend mon bébé encore plus important que ma moto dans mes mains remet l’autre dans son fourreau et admire quelques minutes ma lame. Elle m’avait manquer. Je vais pour sortir de la banque quand je vois je suppose une jeune damoiselle en détresse. Plusieurs zombie autour d’elle. Elle était ridicule je dois bien l’avouer un couvercle de poubelle dans la main gauche et une barre métallique dans celle de droite bon on se défend comme on peu. Je sors de la bâtisse et vais la secourir. Le sang vol autour de nous. Et les têtes tombent à nos pieds. La jeune fille ferme les yeux à cette vue.

- Mais qu’est-ce que tu peux bien faire toute seule ici?

Je prend la barre de fer et lui met entre les mains le katana à qui se trouvait à ma taille.

- Ce sera mieux tu ne crois pas? Suis moi on va essayer de se mettre à l’abri on est pas vraiment en sécurité là. Il faudrait qu’on passe chez moi aussi pour récupérer quelques vivres. Je m’appelle Arashi Denpa quelle est ton nom jeune demoiselle?

Invité

La ruelle n'avais pas était si longue que cela a traverser, ca ne m'a pas vraiment pris beaucoup de temps, du moins c'est l'impression que j'ai en y repensant. Le problème majeur est que maintenant je suis devant un carrefour avec beaucoup trop de direction différentes a suivre, pas vraiment de choix plus malin qu'un autre je ne pouvait pas deviner ou Hayate était parti. Pas le choix je prend une rue un peau au hasard a vrai dire, elle as l'air plutôt dégagé, les rares choses qui trainent semble suivre les bruits venant du centre ville.
Je débouche a peine dans la rue suivante et la j'aperçois plus loin devant une banque une moto sur sa béquille, c'était ma chance de rattraper Hayate, les clé sont sur le démarreur. Seul gros problème le groupe de 4 ou 5 zombies entre moi et elle. J'ai pas le choix je doit le rattraper. Dans un cri sauvage et déformé sortant de ma gorge je cours vers le groupe de créature pour en percuter une du couvercle de la poubelle, m'ayant pas vraiment prévu dans cet angle d'approcher la chose tombe lourdement au sol tandis que je balance mon bras tenant la barre de fer en tout sens sans vraiment d'efficacité. La moto était encore loin au moins 20 mètres et je ne sais pas si j'allai pouvoir l'atteindre sans y laissé un membre en route.

C'est alors que j'entendis un bruit de course sur ma droite, les zombies pouvait aussi courir ? je suis foutu... Me retournant je m'étranglait en voyant le corps sans tête qui me faisait face alors que celle-ci n'avais pas encore toucher le sol après avoir était détaché d'un coup net de sabre.
On aurait dit que la mort elle même s'abattait tout autour de moi, un être vêtu de noir semblait danser a une vitesse hallucinant autour des cadavres qui m'encerclaient, un par un il s'immobilisait dans une gerbe sanguine alors que leur tête volaient, c'est... horrible, j'en ferme les yeux m'attendant a ce que cette mort faucheuse de tête s'occupe de mon cas me laissant quitter se monde.

Je venais de lâcher le couvercle qui s'écrasât au sol dans un fracas poisseux, la main encore nerveuse saisie de la barre de fer. La mort parlait maintenant, je ne saisissait pas ses paroles, je la senti tirer sur mon bras... enfin pas mon bras, cette ombre noire me désarme m'arrachant la barre de fer. J'ouvrais les yeux voulant voir la fin arriver en face. Et la choses était ... humaine... un homme... magnifique avec un sourire... animal lorsqu'il me mit un sabre a la place de la barre de fer.

- Ce sera mieux tu ne crois pas? Suis moi on va essayer de se mettre à l’abri on est pas vraiment en sécurité là. Il faudrait qu’on passe chez moi aussi pour récupérer quelques vivres. Je m’appelle Arashi Denpa quelle est ton nom jeune demoiselle?

La mort avait un nom ? je suis stupide c'est juste un humain... et il m'a sauvé.

" Ara... Arashi san ? "

Voila que je bafouillait son nom de manière fort impolie. J'espère qu'il ne m'en voudra pas,

" Hashimoto... Miyuki. Merci... je enfin... chez vous... mais je doit rattraper... mon ami... il est seul. "

Je en savais pas vraiment quoi faire, Haya m'avait laissé une chance de trouver un abris et j'allais la perdre en mourant ici, et Arashi-san m'en donnait une nouvelle en me sauvant ici. Que devais -je faire ? continuer a chercher Hayate ou alors suivre ce nouvel individu le temps de mieux me préparer pour affronter ce qui arrive.

Messages : 18 Date d'inscription : 23/02/2011

Je regardais la jeune fille dans les yeux et dans un ton rassurant je lui dit.

- Et bien nous irons chez moi et après on ira trouvé votre ami si vous le souhaitez. Mais avant il faut vraiment qu’on aille chercher des vivres parce qu’a mon avis toute la ville est envahit par ces choses. Et j’ai pas vraiment envie de mourir parce que j’ai été dans une magasin pour me nourrir.

Je souris pour la rassuré un maximum et qu’elle ai confiance en moi. Je lui dit de monter sur ma moto et de bien prendre le katana avec elle. Et nous partons pour chez moi. Au fil des minutes qui défilent nous pouvons voir des bout de membre éparpillé par terre, des choses essayant de nous sauté dessus mais c’est peine perdue à l’allure ou nous allons. Puis enfin j’arrive devant ma maison. Il n’y a pas l’air d’avoir de trucs morbides aux alentours de ma maison. A mon avis ça doit venir du fait que je suis la seule maison du quartier et que personne n’habite à proximité. Bon tant mieux au moins on aura tout le loisir de prendre ce qu’il nous faut. Et je pourrais prendre ma voiture ce sera plus pratique que ma moto si on en venait à trouver d’autres survivants. Nous entrons tous les deux dans ma maison traditionnelle et je me dirige vers la pièce qui me sert de dojo. Je prend quelques katanas avec moi. Et ensuite vais cherche un grand sac de randonnées, je vais dans la cuisine et prend le maximum de nourriture en boites de conserve, gâteaux, nourriture lyophiliser, fruits secs. Je ne sais même pas pourquoi j’ai autant de nourriture comme ça. Je prend aussi la totalité de mon coffre fort. On sait jamais s’il faut qu’on paye une taxe ou quelque chose comme ça pour s’abriter. Enfin je dis à la jeune fille de me suivre nous allons dans le garage, j’ouvre le coffre de ma voiture de sport et met tout l’attirail dedans. Je ne voyais pas ce qu’on pouvait prendre d’autres, à vrai dire je n’avais jamais eu à faire à une situation comme celle là. Et je me dit que je devrais peut être prendre plusieurs bouteilles d’eau. Et j’embarque avec moi quatre packs de bouteilles d’un litre cinq. Je dis à Miyuki de monter dans la voiture.

- Bon voilà on a tout mais peux-tu me dire ou je devrais trouvé ce jeune homme. As-tu au moins une piste?

J’espérais qu’elle me répondrais vite parce que pas que je voulais m’éterniser ici mais pas trop quand même. Je démarrais la voiture ma porte de garage s’ouvrit et je sortis en marche arrière en trombe. Bon bah apparemment je venait de renverser un zombie bon après tout les flics ne viendront pas me faire un procès.

Invité

Je me suis laissé faire, je crois parce que je sais pas tellement comment agir dans une situation comme celle là, c'est difficile de se retrouver dans une situation que rien nous à préparer à vivre. Si j'ai bien conscience d'une chose c'est qu'il faut s'adapter pour survivre comme on le dit dans les cours de biologie sur la théorie de l'évolution de Darwin.

Enfin on arrivais chez lui , c'est loin d'être le quartier le plus "branché" de la ville, pas le genre ou j'aime aller en tout cas, mais bizarrement vu la taille du bâtiment il doit pas être des plus mal niveau social. Je l'aidais comme je pouvais a charger le véhicule en gardant un silence propre aux réflexion intense. Alors que je me débrouille pour que toutes les armes qu'il as emporter ne se balade pas de partout, un choc sourd retentit contre la carrosserie du véhicule, une créature de moins surement, je voulait pas vraiment y penser.

" Il a essayer d'éloigner les zombies d'une portion d'autoroute ou l'ont s'est arrêter, Il a donc dut peut être faire le tour pour retourner à l'épicerie ou on comptait se rendre pour se ravitailler. "

Écartant les katanas avec précaution j'espère ne pas avoir a les retoucher de si tôt. Je doit lui dire que je n'aime pas ses armes la, quitte a s'armer je compte bien le faire a ma manière.

" Arashi-san... je nait rien contre vos sabres... mais je suis pratiquante de tir à l'arc... Si on pouvais trouver cela, je pourrais sans doute plus vous épauler qu'avec.. vos lames. Je ne veut pas me vanter mais j'ai un bon niveau."

Je savais que vu la lenteur des cibles tant qu'elles ne nous repère pas, je pourrais facilement leur perforer le crâne a moins de 20 mètres, C'était même sans doute la meilleure solution, et une des plus silencieuse.

Messages : 18 Date d'inscription : 23/02/2011

A plus nous avançons jusqu’à la ville à plus les zombies étaient nombreux. Est-ce qu’un jour à l’école on nous avait parler de morts-vivants? Est-ce qu’en biologie on nous a dit ne serait ce qu’une fois qu’une morsure d’un être contaminé par on ne sait quel virus bactériologique ferait devenir une personne normalement constituée en une bestiole qui ne meurt pas ou seulement si on la touche à la tête et encore. Enfin le point positif dans tout ça c’était que c’est putain de zombies n’étaient pas intelligent. Et heureusement d’ailleurs. Tous ces êtres désarticulés passaient sous mes roues ou sur mon pare-brise. La jeune fille était plus ou moins gentille je ne pouvais le nier mais une épicerie c’est vaste y en a plein en ville.

- Pas que je ne veux pas te décourager mais à quelle épicerie pourrait il être? Bon mais avant d’aller à l’épicerie allons dans un magasin chercher un arc et beaucoup de flèches.

Accéléra ma conduite, je ne suis pas sur que ça plaise à la jeune fille mais disons que je voulais trouver au plus vite ce gars pour qu’on puisse se mettre dans un abris le plus vite possible. Non pas que je n’aimais pas les zombies mais ce n’étaient pas vraiment mes amis et encore moins des connaissances. Nous arrivons devant un magasin de sport.

- Bon je te laisse courir jusqu’au magasin tu prends se dont tu as besoin et moi je m’occupe de ces trucs. À trois on sort. Un, deux, trois…

Nous sortons tous les deux au même moment assommant au passage ses monstres. Elle devait faire le tour et se fit presque mordre pas une de ces choses mais avant qu’il ne la touche sa tête avait touché le sol. Je commençais une dance, la dance de la mort si on voulait coller à la situation. A plus j’en tuait à plus ils étaient nombreux, on va tous crever avant la fin. Enfin je ne savait ou en était Miyuki mais mon objectif principal pour le moment était de dégommer le plus de zombies possible et ne pas rayé mon bébé au passage. Non ce n’était pas une hallucination à plus j’en tuait à plus ils se dirigeaient vers moi. Et plus je devait redoubler d’effort, heureusement que je me défend bien avec un katana dans la main parce que sinon je serais mort depuis belle lurette. Je ne savais pas combien de temps j’étais là à tuer sans arrêt mais une chose était sur La jeune fille n’était toujours pas là. Pas que je m’inquiétait mais si finalement je m’inquiéter je bondis sur l’un des zombies et je courus jusqu’à l’entrée du magasin. Je donnais des coups de sabre au passage pour les éliminer et pas me faire bouffer. J’entrais paniqué dans la grande bâtisse.

- MIYUKI, criais-je à plein poumons.

Mais malgré mes prières nous n’étions pas seuls dans le magasin mais bel et bien avec plein de zombies qui se tournèrent tous vers moi à mon cris. On était vraiment pas sortit de l’auberge. J’entendis un faible son venant d’un rayon et ou je me dirigeais. Et je vit Miyuki un arc à la main et des flèches dans le dos.

Invité

Arashi venait d'arrêter la voiture devant le magasin de sport ou j'avais mes habitudes, un hasard heureux ? Je connaissais bien les lieux au moins, j'espérais juste ne pas y croiser 'les habitués' dans un état autre que celui de client. Alors que je fait rapidement le tour du véhicule un des zombie me pris presque à la gorge, le réflexe de me baisser fut sans doute pour beaucoup dans l'esquive de la mort imminente, au moins ils n'avaient pas l'air très malin. Je ne me retournai même pas pour voir Mister Denpa faire voler les têtes une à une.

Enfin là devant l'entrée du magasin, un instant j'ai pensé que la porte pouvait être verrouillée, mais ce n'était pas le cas. J'entre alors avec prudence dans ce lieu familier, les trois caisses alignées à l'entrée sont inoccupée, bonne ou mauvaise nouvelle? Le choix des rayons s'étalait maintenant le long de la rangée centrale, apparemment il n'y as personne dans le magasin. J'atteins ainsi rapidement le rayon contenant les articles de tir à l'arc. Il y avait quelques modèle traditionnel mais cela ne se prêtent pas aux tirs rapides, je me rabats sur un modèle européen de compétition, le modèle est certes un peu plus lourd et bourré d'accessoires inutiles mais il me sera plus utile.

Je me rendit a peine compte que je retenais mon souffle, respirant ponctuellement par grande goulée alors que je me saisit du plus grand carquois du rayon et le bourre de flèches le plus possible. J'aurais aimé trouvé quelques flèches en carbone plutôt que les modèles classique de bois, plus grande durée de vie, et j'en aurais sans doute besoin mais ils n'en possédaient pas dans ce magasin. C'est alors que je me souvins que vers le fond du magasin proche des bureaux il y avait quelques articles pour le biathlon, skis et fusils de compétition. C'est sans doute une bonne idée si je peut ouvrir la vitrine d'en prendre un ou deux avec quelques boites de cartouche.

- Merde !

Je venais a peine de passer le coin que je tombait nez à nez avec un zombie silencieux qui semblait m'attendre. Le coup d'oeil rapide me permis de voir la porte du bureau presque arrachait et les reste... sans doute d'employer et de client qui devait s'y être retranché étalé un peu partout, et surtout chose beaucoup moins rassurante, une douzaine de zombie qui m'avais entendu jurer.

Je faisait maintenant rapidement demi tour, je ne peut pas tirer convenablement dans un lieux aussi étroit il faut que je sorte le plus vite possible, j'ai perdu trop de temps ici, merde merde merde, ils sont derrière moi et ... je long comme une idiote le mur du magasin, ils vont me couper la route !
Je me mit donc dans le premier rayon qui venait prenant d'arc en main et encochant une flèche, les attendant en espérant que les six mètres de champs libres face à moi suffirai. Les deux premiers zombies passèrent le bout du rayon alors que j'entendis hurler mon prénom.

- MIYUKI.

- Par ici ! répondis je la voix tordue.

Un bruit de course s'amplifia me révélant un Arashi Denpa sabre à la main juste de l'autre côté des zombies. J'ai pas le choix je doit l'aider. La première flèche parti pour se loger pleinement dans la cuisse du zombie le plus proche, il s'en moquait complètement mais sa mobilité n'était plus la même, ca l'avait au moins ralentit. Tirer dans les jambes ne sert pas a grand chose... je devrais m'en souvenir...

Messages : 18 Date d'inscription : 23/02/2011

J’entendis enfin Myuki me répondre, je courus jusqu’à elle et plusieurs Zombies étaient présents. Bordel mais ils sont partout ceux là. C’est à se demander s’il y a des personne en vie enfin pas comme ces trucs là. Je vis la jeune demoiselle tirer une flèche dans la jambe d’un des monstres plus ou moins répugnants. Bon pour ne pas changer je manie mon sabre à la perfection pour dégommer toutes ces bestioles. Aider plus ou moins par Miyuki qui je la comprend ne veux pas vraiment tirer sur quelque chose de vivant. Je la rejoins et lui demande si elle a finit et si elle avait trouver ce qu’elle était venue chercher. Après avoir laisser une multitude de morceau de chair dans le magasin et plusieurs flaques d’hémoglobine au sol. C’était répugnant et cette odeur métallique emplissait mes narines comme un mauvais parfums. Ce n’était pas une vision des plus joyeuses. Miyuki avait finalement laisser libre court à son côté meurtrier et elle n’hésitait plus vraiment des masses. Nous sortons enfin de cet enfer.

- C’est bon on peut y aller maintenant mais allons voir si on ne trouve pas ton ami. Mais c’est à toi de me guider sur ce coup là.

Bon je ne m’aventurait pratiquement jamais dans a ville, je n’allais que dans les magasins seulement ceux dont j’avais besoin des produits. Alors la ville je ne pouvais pas dire que je la connaissait par cœur et encore moins les petites ruelles des quartiers comme celui là. Et je ne devais pas non plus négligé que cette putain de ville était infesté par des morts vivants, des zombies, des monstres répugnants assoiffés de sang et affamé de chair humaine. Nous étions dans la voiture maintenant et je prenais bien soin d’écraser ces foutus acariâtres sous mes roues. À mon avis ma conduite ne plaît pas vraiment à ma passagère.

- Désolé je vais peut être réduire l’allure.

J’appuie sur la pédale de frein et rétrograde. Mais à peine ma vitesse réduite une demi dizaine de ces choses se ruaient vers la voiture.

- Bon bah finalement non on ne va pas réduire la vitesse.

Et je repars de plus belle en appuyant cette fois ci sur la pédale de l’accélérateur. Et disait des mots plutôt rassurant enfin pour moi ils étaient rassurant mais la jeune fille était toujours crispé à son arc. Bon en même temps elle venait de tuer pour la première fois, des zombies avaient envahie cette putain de ville, et en plus je conduisait comme un fou furieux. C’était dure à avaler comme situation en une seule journée.

- C’est une journée plutôt mouvementé aujourd’hui.

J’avais utilisé un ton plus ou moins humoristique, mais je ne pense pas que ça avait trouvait l’effet escompter.

Invité

- Mouvementée...

Le mot a défaut de coller complètement à la situation, était sans doute le plus approprié pour qualifié la conduite du jeune homme qui m'escorte. Les chocs réguliers sur le véhicule m'engourdissent un peu les sens, comme si je peut dormir dans un moment pareil, j'espère que ca ne va pas trop abimer la peinture du véhicule. comme puis je penser à la peinture du véhicule alors qu'il s'agit de gens que l'on renverse et écrase ? C'est comme si quelque chose commence a changer au fond de moi.

- Merci d'être venu me chercher au fond du magasin, je n'aurait pas put m'en sortir seule. J'espère pouvoir vous rendre la pareille... Enfin pas que j'espère que vous soyez acculé dans une position comme celle là... enfin... désolée.
Voila que je me met a bafouiller des excuses sur une situation hypothétique même pas probable. Le monde change c'est sur, je vais devoir changer avec lui ou finir avec l'ancien mode de vie, car c'est bien un changement de mode de vie qui nous arrive en pleine figure. On l'a vu en cours de biologie sur les théorie de l'évolution de Darwin, ou tu t'adapte ou tu disparait avec ton ancien milieu.

- Je vais vous guider jusqu'au magasin ou on devais se retrouver, j'espère qu'ils y seront, on ne sera pas trop de quatre pour.... survivre.

Voila que je me hasarde à sourire a cet inconnu qui m'a pris en charge. Peut-on vraiment accorder confiance en quelqu'un aussi rapidement que cela ?
Cela nous pris pas plus de 15 minutes pour stationner devant l'épicerie de quartier, la devanture n'avait pas était fracturer apparemment, il fallait juste faire le tour et actionner le mécanisme du boitier extérieur pour ouvrir le rideau de service.

- Je pense qu'on peut y aller, ca à l'air... calme.

Je prend mon arc sans oublier le carquois sur mon dos regardant autour de nous sans voir de menace immédiate.

- On va juste faire le tour et actionner le mécanisme d'ouverture de l'entrée de service. J'espère... qu'ils seront la...

Messages : 18 Date d'inscription : 23/02/2011

Une fois que nous étions dans la voiture. Elle me remercia de lui avoir apporter mon aide au fin fond du magasin.

- Je t’en pris, je n’allais pas te laisser te faire mordre par l’unes de ces créatures. Lui dis je le sourire aux lèvres

Puis elle me dit qu’elle allait me guider j’écoutais donc attentivement les conseils de la jeune fille, gauche, droite, droite et j’en passe. Bien sur je ne manquais pas d’écraser plusieurs morts vivants. Infâmes créatures diaphanes et toutes aussi horrible les unes que les autres. Je culpabilisais quand même parce que après tout c’était des humains avant que tout cela n’arrive. Mais comment ont-t-il été infecté? Au fur et à mesure que le temps passait je me posais cette question, comment des humains en si grand nombres ont pu être infecté comme ça en si peu de temps. C’était assez bizarre, quelle arme bactériologique avait-t-on inventé encore, ou que sais-je encore, tous les tests secrètement garder par l’état ou encore par les militaires, nous n’étions à l’abri de rien. Ce que je me disais c’était surtout si d’autres personnes avaient survécu enfin non nul doute que d’autre avait survécu mais je voulais savoir si il n’avait pas mis en place un point de ralliement pour toutes personnes qui auraient survécu à ce drame, à cette tragédie de mauvais goût. Nous étions les acteurs d’un jeu macabre, qui n’était autre que la vrai vie. La jeune fille me souris et j’en fis de même. Après tout maintenant on n’était presqu’obligé de donné sa confiance aux autres, enfin du moins aux survivants qui dans ma tête n’avait rien à voir avec ces putains de bestioles qui commençait à me courir sur le haricot. On ne peut pas être tranquille cinq minutes non ce n’est pas possible. Nous arrivons enfin après un petit quart d’heure de voiture. Le quartier avait l’air plutôt calme. Myuki confirma à voix haute ce que je pensais tout bas.

- Je pense qu'on peut y aller, ça à l'air... calme.

Elle m’emmène devant un local visiblement fermé. Bon ok on était pas dans la merde. C’était bien la première fois que j’étais aussi surpris. Enfin du moins surpris par les événements. D’habitude j’ai toujours des coups d’avances dans ma vie. Mais alors là j’y allais carrément au feeling, avec mon katana et un jeune fille à mes côtés. Apparemment elle connaissait très bien ce commerce puisqu’elle me dit qu’il faut qu’on fasse le tour. Je la suit… J’avais un drôle de pressentiment... Et je n’aimais pas ça.

- Restes sur tes gardes Myuki.

Invité

- Ça va aller maintenant. Mes deux amis doivent m'attendre, ils ont surement dut sécurisé la boutique, et vous serez pas de trop pour nous aider une fois qu'on sera bien installé.

Un fois arrivé devant la boite de sécurité, la jeune fille vit qu'elle était intacte et fermée, une angoisse l’étreins alors qu'elle tendit la main pour en ouvrir le couvercle. Celui-ci ne résista pas, il n'était pas verrouillé. Un long soupir de soulagement lui échappât, ça voulait surement dire qu'ils sont déjà dedans a préparer notre futur quartier général provisoire.

- Je pense pas qu'on est vraiment besoin de rester trop sur nos gardes une fois la dedans... sinon on va se fatiguer trop vite, et je voudrais pas qu'on soit fatigué au mauvais moment. Enfin avec mes amis ça ira mieux.

Miyuki empoigna d'une main décidée le levier de verrouillage du volet roulant et le tira vers le bas d'un coup sec. Sans attendre se dernier se mis a rouler dans un grincement sinistre, un petit peu d'appréhension mais l'intérieur était noir, il n'y avait rien d'éclairé.

- Ils doivent être dans le bureau ou le magasin... la réserve est pas éclairée.

Le doute commençait a s'insinuer dans l'esprit de miyuki, elle traversant la réserve en a peine quelques pas pour ouvrir la porte du bureau, lui aussi désert. C'est en tremblant qu'elle ouvrit la porte a côté donnant sur l'arrière de la caisse du magasin, qui est lui aussi tout aussi sombre. Personne n'est la, elle est la première arrivée après avoir fait tant de détour, c'est pas possible, elle n'est jamais la plus rapide, toujours en retard dès qu'on lui donne une horaire à respecter et pourtant personne ne l'attend aujourd'hui.

- Ils sont.... pas la... Ya personne. Je.. On ... on doit barricader les sorties en les attendant, ils vont arriver pendant qu'on fait ça puis sinon ils seront pas loin on pourra les voir a partir du toit, on peut y monter, l'agent d'entretien de la climatisation y va bien lui. Doit y avoir la trappe, je sais pas ou... ils vont venir oui.

L’inquiétude reprenais le dessus, la peur panique avait disparut, peut être elle commençait a s'adapter à la folie de se monde, au lieu d'un grand vide, des dizaines de plans lui venait en tête, comment bloquer la porte avec les rayonnages mobiles, gonfler des sacs plastiques et les déposer sur le sol, si un des ... zombies marche dessus on l'entendra éclater, et si il n'y as pas de sac, placer des flaques d'eau savonneuse un peu partout, on les entendras tomber de toute façon aussi. Miyuki retourna dans le bureau se laissant aller dans le seul fauteuil de la pièce.

Messages : 18 Date d'inscription : 23/02/2011

Je laissais la jeune fille entrer dans la petite épicerie de quartier bien que j’étais presque sûr qu’il n’y avait personne. Je m’étais vite rendu compte que ces putains de monstres assoiffés de sang était aveugle seul le bruit les guidaient mais une fois qu’ils avaient une victime il était sûr et certain que la personne n’y survivrait pas. La jeune fille n’était en aucun cas rassuré par le manque de bruit et le manque de lumière. J’essayais tant bien que mal de la rassuré mais étant en règle général un solitaire ce n’était pas mon fort alors je préférais garder le silence. Une fois dans la boutique quelle n’était pas ma surprise que je vit bien que ses espoirs étaient vains. Nous étions pas dans la merde mais alors jusqu’au cou. Elle voulait rester là mais je ne pensais pas que ce soit une très bonne idée, parce que même si nous faisions vœux de silence nous ne pourrons rester toute notre vie ici. Mais en attendant il fallait que l’on se repose peut être qu’avec un peu de chance ses amis arriveraient. Donc je m’empressais de condamné les entrées et les sorties sauf une qu’elle me supplia de ne pas condamné. Et je l’aidais à chercher la trappe qui pourrait nous faire monter à l’étage où je suppose devait être un appartement je priais même pour que ce soit le cas. Je regarde devant moi et aperçois justement un loquet qui à mon avis devais débloquer la serrure pour ouvrir le plafond. Bonne pioche dirais-je si je jouais au jeu des 7 familles. Un escalier tomba du toit et nous montions lentement une à une les marches. Je souris et découvre une petit appartement mais personne n’est à l’intérieur malheureusement pour Miyuki mais heureusement pour nous que personne n’est là même ces affreux monstres. Je me dirige jusqu’à une fenêtre et elle me suivit lentement je pensais qu’elle n’était pas bien je ne souris pas lance mon regard sur l’extérieur et manque de bol plusieurs morts-vivants rôdaient dans la rue, je suspendis le cri qu’allait pousser la jeune fille à l’aide de ma main quand nous vîmes qu’une personne vivante se faisait littéralement manger dévorer par ces trucs sans âmes.

- Chut! Ils sont aveugles mais ont une ouïe hyper développée. Alors s’il te plaît va te coucher et dors je monterais la garde et ne t’inquiète pas je te tiens au courant si quelqu’un essaye d’entrer dans cette épicerie.

Elle acquiesça et partie dans une pièce qui je supposais devait être une chambre. Je décida de faire à manger il était vrai que je commençais d’avoir faim. Alors préparer un repas était devenue une priorité pour taire mon estomac et aussi penser à autre chose. Je ne me gênais pas pour prendre les ingrédients qui se trouvaient dans les placards après tout qui les réclamerait? Pas grand monde à mon humble avis. Une omelette ferait l’affaire, j’en fis une bonne portion pour que Miyuki puisse se rassasié un fois levé. Et alors que je mangeais je cherchais à tout prix un moyen de nous sortir de ce pétrin. Était ce une faute presque mortel du gouvernement, de l’armée ou tout simplement une pandémie aussi destructrice qu’insurmontable, seul les plus forts resteraient en vie et je faisais partie de ces gens et j’espérais que Miyuki en face partie. Je ne pensais pas que la lycéenne ne serait pas forte mais en ce moment nous étions tous deux fatigués et pouvoir encaisser le coup était dur même pour moi je devais bien l’avouer. Notre but principal en ce moment était de survivre parmi les morts-vivants.

Un grand Pardon pour le temps que j'ai pu mettre pour te répondre excuse moi!

Invité

Monter à l'étage et regarder par la fenêtre n'était pas la chose la plus rassurante à faire, il y avait des autres proche dans la rues et sans doute beaucoup plus hors de vue, mais ce qu'on ne vois pas ne nous effraie pas, du moins le plus souvent. Mon regard fatigué glissa lentement le long de la rue, pour voir une personne cernée par les monstres avec comme seule arme,ce qu'on dirait être une planche ? ou un bout de bois. Plus il se débat, et plus les choses approchent de lui jusqu’à ce qu'il... se fasse mordre, il en fut immobilisé. Horrifié ma main se leva vers ma bouche prête a pousser un cri, c'est... un voisin.. je le connais... La main d'Arashi fut plus rapide que la mienne pour venir étouffer le cri que j'allais pousser.

- Chut! Ils sont aveugles mais ont une ouïe hyper développée. Alors s’il te plaît va te coucher et dors je monterais la garde et ne t’inquiète pas je te tiens au courant si quelqu’un essaye d’entrer dans cette épicerie.

Il as raison, je devrais essayer de me reposer un peu, c'est en silence que j'ai rejoins la pièce juste à coté. Chichement meublée, un futon plié dans un coin, une petite table et quelques placard aux portes pas parfaitement refermé, l'antre du célibataire si on en croyait le petit tas de linge en boule dans un coin. Il y avait une autre porte dans la pièce, Miyuki s'avança vers celle-ci pour découvrir une petite salle de bain. C'était pas une mauvaise idée du tout de prendre un peu de temps pour s'occuper de soit. La douche permettrais sans doute d'évacuer un peu de fatigue.

La jeune fille pénétra dans la salle de bain et referma la porte en silence, un soupir lui échappa alors qu'elle prenais grand soin de trouver un shampoing anti-pelliculaire, elle n'en avait pas vraiment besoin mais on fait avec ce qu'on as sous la main. Laissant ses chaussures devant la porte, Miyuki retira son uniforme le pliant avec soin, elle n'avais rien d'autre a se mettre de toute façon, encore un problème auquel elle n'avait pas pensée. Se penchant vers l'intérieur de la douche, elle laissé l'eau couler un moment, juste assez pour atteindre la bonne température, rapidement de légère volute de vapeur emplirent la petite pièce. Un sourire traversa enfin son visage alors que ses sous vêtements rejoignirent l'uniforme au bord du lavabo, enfin elle pouvais se glisser sous les jets d'eau chaude, les mains appuyées contre le carrelage mural, le visage levé vers la pluie qui lui permettrai d'évacuer fatigué et tension musculaire. Ressentir simplement le clapotis de l'eau chaude contre son visage lui fit échappé un long soupir d'aise alors que son corps fin et cambré semblait ne jamais vouloir quitter cette position.
Se décidant enfin elle pris le shampoing et se servis environ une noix du liquide moussant, elle pris le temps de bien savonner ses long cheveux rabattus sur l'avant alors que l'eau continu de se déverser sur son dos. La vapeur avait maintenant bien envahi toute la pièce alors qu'elle laissé ses cheveux se rincer sous le jet d'eau, une autre dose de shampoing suffit amplement pour parcourir les courbes de son corps, les mains glissant avec lenteur le long de sa peau satinée.
Le temps n'avais plus de prise sur Miyuki alors qu'elle se glissait avec délectation sous l'eau, laissant s'échapper le savon le long de son corps, le calme et la caresse de l'eau la rendit presque somnolente, désireuse d'oublier la folie qui dehors s'emparais de la ville un peu plus à chaque instant.

Messages : 18 Date d'inscription : 23/02/2011

Devenue raisonnable la jeune fille se laissa convaincre d’aller se coucher pour essayer de décompresser de la journée passée. Ce qui était sur pour moi je ne risquais pas de dormir sur mes deux oreilles. La chose la plus importante pour le moment était de se taire, ne pas ouvrir sa gueule, éviter même de respirer. Le spectacle qui s’offrait à moi était horrible, des personnes normal se faisait littéralement dévoré par ces créatures avide de chair fraîche. C’était plus ou moins répugnant mais le pire je crois venais du fait que je les voyais être dévoré et que quelque minutes plus tard le mort se relevait à la suite de sa mort. S’était effrayant. Aujourd’hui il fallait passer outre tout ce qui nous servirait de repère et notre but était de trouver le plus rapidement possible des personnes qui essayait de survivre et qui ne criaient pas au moindre danger sentit. Si je devais trouver quelqu’un en priorité c’était Akuma je me disais qu’il avait de la chance d’être muet à l’heure qu’il est. Il serait resté silencieux. Mais pour le moment je me disais que cela faisait bien longtemps que l’eau de la douche coulait et je n’entendais plus du tout Miyuki. Je m’avançais distraitement vers la salle de bains et y pénétra légèrement. Un autre spectacle beaucoup plus réjouissant se jouait devant moi, Miyuki nue laissant parcourir l’eau sur sa peau tannée. J’aurais bien été me doucher avec elle. Mais ne nous arrêtons pas sur ce détail je prends une serviette dans l’un des placards, la jeune fille n’avait pas l’air de m’avoir vu et encore moins entendu. Je m’approche du robinet pour en éteindre l’eau et lui passe la serviette sur les épaules.

- Miyuki ce n’est pas bon de rester trop longtemps sous la douche tu risquerais de perdre connaissance. Va te coucher. Je surveille ce qui se passe.

» The Classroom and The Dead
» Dead Road Race
» Acte 1: Sweet Lullaby of the dead