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 Proposition n°2 du contexte

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MessageSujet: Proposition n°2 du contexte    Proposition n°2 du contexte  Icon_minitimeDim 15 Aoû - 23:07

Chers Parents,


Par où commencer ? La peur me tenaille les entrailles. Je peux à peine bouger, respirer. Chaque minute qui passe me fait frémir. Je les entends grogner, râler comme s’ils agonisaient mais… ça n’est pas le cas car ils sont morts. J’ai vu tant d’amis se faire dévorer sous mes yeux. Nao m’a supplié de l’aider mais… j’ai fui et me suis réfugiée dans cette pièce froide et sombre. Je n’ose pas allumer la lumière ni sortir de ma cachette. La faim se fait plus intense chaque jour. Ô chers parents comme j’aimerais être près de vous. Je vais vous conter le drame qui s’est produit il y a quelques jours. Il faut dire que j’ai pensé à une farce de mauvais goût au début… quelle idiote je suis…

La journée du 13 avril avait commencé comme une matinée ordinaire dans la magnifique et calme ville de Tokunosu. Personne ne se doutait qu’un drame allait arriver en cette belle journée ensoleillée. Mais tout a basculé dans l’horreur et le gore en ci peu de temps. Il y a eu des cris pour commencer. Puis la peur s’est propagée comme une nuée de sauterelles dans l’école mais… il était déjà trop tard. Le lycée venait de sombrer dans un véritable film d’horreur … la ville, le Japon et le monde aussi je pense à mon grand regret. Le monde est contaminé par une maladie qui transforme les humains en morts-vivants. Les zombies ont commencé à se multiplier rapidement.


Nous courions sans savoir où aller. Tant de mes camarade se sont fait dévorer, les zombies les disloquaient, tirant sur les membres de leurs pauvres victimes comme si elles n’étaient que des poupées de chiffon. Leurs visages déformaient par la peur, leurs yeux exorbités et leur lente agonie me déchirait le cœur, mais aurais-je dû risquer ma vie pour eux ? J’entends encore le bruit des os se brisant, les hurlements de mes camarades, le sang tombant lourdement sur le sol, les crânes des monstres se faisant fracasser par quelques fous qui ne feraient surement pas long feu.


J’ai couru, tenant Nao par la main pour ne pas la perdre. Me pardonnerez-vous chers parents ? Un non-vivant se tenait devant nous. Ma sœur, vôtre enfant, me parla… ce fut le déclencheur je crois. Ils ne sont pas rapides, ça non, mais nombreux. Nous fûmes vite encerclés et Nao fut mordue par une jeune fille. J’eu ce réflexe idiot de lui lâcher la main. Avant de tourner les talons je vis les larmes dans ses yeux mais, je continuais de courir sans elle. La poitrine en feu je finis par me cacher dans un placard du labo de chimie. Chaque nuit je l’entends crier mon prénom, me supplier de l’aider… Mes parents, mes chers petits parents… pardonnez-moi je vous en prie humblement.


Retenez bien mes derniers mots… Chaque personne mordue se transforme en mort-vivant… si quelqu’un se fait avoir tuez le de suite, sans hésitation. Le jeu de la vie vient de modifier ses règles, les petits soucis quotidiens n’ont plus aucune importance, il nous faut lutter, se battre et surtout… survivre. Qu’allons-nous devenir ? Qui survivra ? Contre les morsures armez-vous de battes de base-ball, de piquets et tout ce qui permet de broyer les crânes des infâmes créatures…

La lutte pour la survie commence… Et il n’y a pas d’antidote ! Le mot d’ordre : SURVIVEZ COÛTE QUE COÛTE ! Moi je cesse de lutter, je préfère disparaitre en étant ce que je suis que de devenir ce qu’ils sont. Je les entends derrière la porte du placard, leurs pieds trainant sur le sol, leur détresse s’élevant de leur gorge en une longue plainte.

Adieu chers parents… je sais que jamais vous ne lirez ces mots mais, à toi qui lis,Invité, saches que ta fin apaisera pour quelques secondes leurs faims.