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 Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé]

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Hayate Totchimaru

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MessageSujet: Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé]   Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé] Icon_minitimeDim 4 Mar - 15:28

Une journée plutôt... Banale, oui, banale, comme je faisais après les cours, avec mon sac à dos contenant mes cours, journée où j'étais plutôt crevé, alors, j'avais décidé d'aller boire un truc frais, comme un soda par exemple... Et manger un pti truc, du style gaufre ou crêpe, mon petit péché mignon... Proposez-moi des crêpes et je ferais le nécessaire pour les avoir !... Ou presque, y a des limites !

Alors que je déambulais dans les magasins, je tombe sur un magasin de jouet d'enfant, en souriant. C'était là que je trouvais mes jouets d'enfance lorsque j'étais petit... Je regardais, par nostalgie en me baladant dans les rayons, de vieux jouets d'enfance... Me disant que, parfois, l'innocence d'un enfant peut se divertir de peu de choses... jusqu'à remarquer qu'un enfant sortait de l'arrière-boutique...

« ...? Qu'est-ce qu'il fait là ce petit ? »

En me dirigeant vers le petit, je remarque qu'il semblait apeuré, ou comme s'il avait vu quelque chose de terrible.

« Hey... Qu'est-ce que tu as ? Qu'est-ce qu'il c'est passer à l'intérieur ? »

Le jeune enfant, l'air terrorisé, me pointe l'arrière-boutique en silence, avant de prendre la fuite... Inquiet et curieux de savoir ce qui allait m'attendre, je sorts mon portable afin de m'éclairer, regardant dans ce qui ressemblais à des stocks, des jouets en forme de clown, de super-héros ou autre... Rien qu'à voir c'est faux-comédiens à la tête peinte de blanche avec un sourire rouge, ça me fait flippé... Que celui qui avait inventé les clowns soient châtiés pour cette création... Mais, tout ne faisait que commencé, j'entendis un homme demandé grâce, a quelqu'un... Je me dirige lentement vers l'endroit d'où venais ces bruits, puis, je restais dans l'angle d'une pile de carton, regardant la scène... Avec horreur...

J'étais en train d'assisté à une sorte de scène de torture, ou la personne, homme ou femme, je l'ignore, était en train de torturé le proprio, ce dernier hurlant avec un bâillon autour de la bouche pour ne pas faire de bruit, pendant que la personne le torturait avec toute sorte d'objet, que je ne pouvais pas voir... Puis, à la fin, après des minutes qui me semblais des heures, je vois le tueur enlever le bâillon pour mettre le canon d'un pistolet et, pendant que le proprio gémissait et implorais qu'il reste en vie, promettant de ne plus faire quoi que ce soit aux enfants... Le pauvre homme avait fini avec une balle dans la tête...

J'étais tellement effrayé que, au moment de la détonation, je recule pour partir... C'était sans compter sur un carton de jouet, contenant des clowns, qui tombe et qui produit un boucan, tous les jouets à l'intérieur ce mettant a fonctionné en même temps, me repérant a coup sûr, quitte à faire du bruit maintenant... Je cours, en faisant tomber d'autre carton derrière moi, afin de ralentir la course du tueur, puis, une fois sorti et éloigné du magasin, je reprends mon souffle et prend une allure normal... Ne me doutant pas que j'avais fait tomber mon portable... Même s'il y avait pas grand-chose d'importants dessus, une photo de moi ou autre, c'était quand même un oublie grave, espérant que sa ne cours pas à ma perte...


Dernière édition par Hayate Turner-Totchimaru le Jeu 28 Juin - 20:29, édité 1 fois
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Kate Turner

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MessageSujet: Re: Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé]   Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé] Icon_minitimeJeu 8 Mar - 21:24

Je regarde le monde qui défile dans la galerie de ce centre commercial. Les gens n’étaient ni vraiment heureux, ni vraiment tristes, ni vraiment occupés, ni vraiment libres… Ils tournent, dansent, s’agitent comme des poupées de chiffons, insouciant et inconscient de tout ce qui les entoure.
C’était si minable de les voir : faire comme tout le monde, entrer dans la ronde, et surtout pas de vagues car sur cette terre personne ne s’évade…si ridicule de savoir à quoi ils pensent : savoir dire tant pis, avoir juste envie, rester dans son lit, mais moi tout ça m’est interdit. Je les entends rire comme je râle, et je les vois danser comme je succombe, je pensais pas qu’on puisse autant s’amuser autour d’une tombe...cette tombe qu’est la mienne car je respire mais je sais que je ne vis pas. Je me demande si ce monde est sérieux ? Je les observais en silence, c’est dans ses moment la qu’on voit combien tout est éphémère.
Je me suis dirigée vers cette petite boutique de jouet pour enfant, vers ce lieu de pure innocence pour le salir de mes mains comme toujours, et devenir une nouvelle fois un objet qui fait peur. Quand je suis entrée dans la boutique, censée être fermée il n’y avait bien sur personne. Pourtant j’entendais une voix… une toute petite voix étouffée, de petite fille ? De petit garçon ? Je ne le savais pas encore mais ce qui est sur, c’est qu’il s’agissait d’un enfant et il répétait l’air apeurée ‘ non je ne veux pas’ ravalant même quelques sanglots. Je n’ai pas cherché à comprendre, c’était si évident…

J’ai avancé vers la porte de l’arrière boutique et j’ai crocheté la serrure, parce que tirer dedans aurait été trop bruyant nous sommes d’accord…je suis blonde certes mais faut pas pousser. Je suis entrée, tout était noir et calme à part les voix qui raisonnaient… je savais déjà ce qui m’attendais en bas de ces grands escaliers. A cette pensée, la colère ronflante comme une escadrille dominait déjà mon moral. J’ai commencé à descendre silencieusement après avoir pris soin de bien refermer derrière moi, la folie me guettant à chacun de mes pas. Je commençais à devenir ce que je fuis, envoutée par des idées folles et la, tout se bouscule dans ma tête jusqu’à ce que j’arrive devant cet homme…un homme ? Non, il ne mérite même pas ce nom car ce qui se déroule sous mes yeux pleins de haines, et un des crimes les plus horribles qui puisse exister sur cette terre : essayer de supprimer les traces, la moindre trace de ce qui reste de candeur, s’en prendre à la pureté et à l’innocence même de ce monde : un enfant. Les seuls êtres qui ne sont pas corrompues par le monde abject dans lequel nous vivons.
Oui je sais il y a comme un gout de haine quand je parle de la vie mais en même temps avec ce que je vois et ce que je fais, ça fait un moment que le monde à ses douleurs qui ne me touchent plus.

C’était un petit garçon qui se tenait devant moi, il ne devait pas avoir plus de huit ans et son pantalon était baissé. Il était en compagnie d’un monstre d’une soixantaine d’année, pantalon et caleçon baissé aussi. Pas la peine de vous faire un dessin vous avez certainement compris...
Alors que le garçon me regardait avec des yeux suppliant, le monstre s’est tourné pour voir de qui il s’agissait brandissant son membre devant moi… Je suis tout d’abord restée très calme, ouais ça peut surprendre mais pourtant je suis d’abord restée calme… pour ne pas effrayer plus l’enfant. J’ai sorti mon arme lentement pour la pointer sur l’homme, sans lui laissé le temps de bouger ou même de se rhabiller. Il avait l’air surpris, inquiet et bafouiller des excuses du genre ‘ c’est pas ce que vous croyez ‘ …bien plus que minable… Vu la situation j’en ai déduis qu’il n’avait pas eu le temps de faire quoi que ce soit à l’enfant, à part le traumatiser jusqu’à la fin de sa vie. Pour en être sure j’ai souris au garçon et lui ai demandé d’une voix rassurante mais posée :

Il ne t’a pas touché ?

Il s’est contenté d’hocher négativement la tête, soulagée je l’avoue j’ai poursuivis sans changer d’intonation et en lui faisant signe de s’approcher, ce qu’il a fait non sans crainte vu que j’étais armée :

Remet ton pantalon… et écoutes moi attentivement d’accord.

Je lui ai souris en posant chaleureusement une main sur son épaule, pendant qu’il se rhabillait et que moi je tenais le monstre enjoue, en faisant bien attention à ce qu’il ne bouge pas.

Tu vois les escaliers la bas ? Tu vas les monter en courant très très vite sans te retourner d’accord ? Après tu vas bien refermer la porte derrière toi et celle du magasin aussi. Puis, tu vas chercher ta maman pour tout lui expliquer d’accord ?

Il a hoché la tête l’air très concentré sur ce que je disais, je lui ai fait un grand sourire :

Allez vas y cours vite !

Il s’est mis à courir sans se retourner, j’ai attendu qu’il soit sorti pour regarder le monstre, mon visage changeant totalement d’expression…ce visage calme gagné peu à peu par la folie. L’ennemis tapé dans mon esprit fêtait déjà ma défaite, et sans répit me défait. Je luttais pour ne pas déraper mais rien à faire, mes épaules ont cédé sous le poids.

Allongez-vous sur le sol…

Monstre : C’est bon je lui ai rien fait à ce gosse vous allez pas m’arrêter pou-

Je l’ai coupé en lui tirant une balle dans le genou, l’avantage c’est que comme la pièce était grande, le bruit du coup serait probablement étouffé à 90%. Puis, je l’ai regardé avec des yeux pleins de fureur :

Non je ne vais pas vous arrêter en effet…

Bien sur il a donc finit par gentiment m’écouter et s’est allongé, enfin…il est tombé au sol. Au cas où le coup de feu ne serait pas passé inaperçu, je devais faire vite mais je ne pars jamais sans m’amuser un peu.
Il s’est risqué à me poser une question. Une question légitime certes, vu que je ne me suis pas annoncé comme l’aurait fait la police, que j’étais seule, armée et que je venais de lui tirer dessus. C’était tellement lassant… :

Monstre : Qu..qui êtes-vous ?

J’ai simplement souris…un sourire diabolique et je me suis approché de lui pour le menotter, il ne bougeait pas et encore heureux vu que le canon de mon arme était pointé sur sa tempe. Je me suis penchée sur lui et lui ai chuchoté d’une voix amusée :

Je viens du ciel et les étoiles entre elles ne parlaient que de toi…d’un fou qui prend plaisir à faire du mal à de petits anges. Tu vois, moi je n’étais rien et voilà qu’aujourd’hui le vent de la galerie froide m’a conduite jusqu’à toi. Je vais être la gardienne du sommeil des petits anges aujourd’hui, ces anges que tu ne pourras plus détruire.

Il a compris que j’étais folle, mais juste un peu tard. J’ai vu dans ses yeux qu’il avait peur et pas la peine de fuir la vérité : il avait raison d’être terrifié. Il me suppliait de le laisser, quel minable…aucun cran.

Arrêtes de geindre tu me file mal de crane …

J’ai posé mon ‘sac à main’ à coté de lui , mais comme j’étais dans une réserve ou il stockait et devait aussi réparer les jouets, j’avais tout ce qu’il me fallait à disposition. Mon petit sac de torture ne serait peut être même pas nécessaire. J’ai mis des gants en cuir noir, puis j’ai sorti un tube de colle et de quoi le maintenir au sol sans bouger : des clous qui trainaient par la. Je lui ai soigneusement collé les lèvres, le coupant ainsi dans sa tirade d’excuses et de supplications en tout genre. Pourquoi lui coller les lèvres ? Vous allez voir…j’ai pris les clous et un marteau qui trainaient, par chance c’était du plancher, c’est plus simple que de la pierre pour une crucifixion. C’est beau l’improvisation !
Pendant que je l’immobilisais, je voyais ses lèvres se déchirer peu à peu sous ses cris de douleur. J’entendais les os se cassaient sous chacun de mes coups et la peau s’arracher, se teintant d’un beau rouge pourpre. Un pur bonheur ! C’est pour ça que je colle toujours les lèvres des bourreaux que je tue, pour les voir se mutiler eux-mêmes sous la douleur que je leur inflige. Il y avait du sang partout et je le regardais pleurer de douleur, avec une immense satisfaction.
Je lui ai en suite mis un bâillon sur la bouche, non pas que je n’aime pas l’entendre pleurer et hurler de douleur au contraire j’adore mais…il fallait éviter un maximum de bruit, et l’entendre crier à plein poumon n’aurait pas vraiment aidé à rester discret, surtout avec le précédent coup de feu. Je devais faire vite.
Il pleurait, gémissant de douleur et de peur. Tout mon corps tremblait d’excitation, ce spectacle était si jouissif ! Ses larmes, ses gémissements de douleur, sa peur, cette pure vengeance : il a créé le mal et c’est le mal qui le brule !
J’ai vu une hache accroché au mur…la tentation était si grande je n’ai pas pu résister. Il hurlait à travers son bâillon, les yeux exorbitaient, pendant que moi je riais aux éclats laissant la hache s’abattre sur ce qui lui servaient à se reproduire et faire du mal aux anges …Il est tombé presque inconscient pendant que moi je ne pouvais plus m’arrêter de rire, cette cacophonie qui me sciait la tête.
J’ai pris le couteau dans ma botte et j’ai commencé à lacérer sa chair, je regardais le sang couler, ses yeux se rouvrir du à la douleur, de nouveau ses gémissement sachant sa fin imminente. Je savourais chacun de ses instants, mon visage possédait par le mal, je me sentais si puissante voyant ses yeux fuir les miens. Mais je n’étais pas satisfaite :

Pourquoi tu ne me regarde pas dans les yeux ?!

J’ai laissé la pointe de mon couteau lui retirer la vue pendant que je le regardais imploser, exploser ! Le mal hurle, je l’entends hurler et c’est si satisfaisant.
Quelques trop longues minutes venaient de s’écouler, alors je me suis penchée sur le monstre à moitié mort pour lui chuchoter :

Ni le ciel ni les étoiles ne m’éloignerons de toi ne t’en fait pas, on se retrouvera en enfer j’en suis sur.

Après avoir écouté encore quelques gémissements et quelques sanglots j’ai retiré le bâillon. Il avait encore la force de me supplier…j’en ai profité pour glisser le canon de mon arme dans sa bouche en lui faisant un immense sourire sadique. Je l’ai regardé bien en face, pour le voir expirer son dernier souffle et j’ai tiré. Le sol était couvert de sang, et mon visage aussi.

Puis tout c’est terminé, ma fureur s’est éteinte, ma rage, ma haine, ma colère, tout avait disparut pour laisser place à la culpabilité et au dégout de moi-même. Même si il l’avait mérité, je m’en voulais déjà…une fois de plus l’espace d’un instant j’étais devenu comme ces démons que j’arrête.
Je suis redevenu poussière, je serais pas le maitre de l’univers…je me suis retrouvée seule au fond de l’espace. Mais c’est toujours le même film qui passe et ça continue encore et encore, c’est ma vie depuis mes seize ans…ça n’est que le début il faut que je m’y fasse.

C’est à ce moment qu’un vacarme retentissant à fait son entré : des jouets s’étaient déclenchés en tombant au sol. Il y avait quelqu’un, un témoin gênant qui était entrain de s’enfuir. Je me suis retournée brusquement pour voir, mais la seule chose que j’ai vu c’était des cartons qui tombaient encore, probablement pour me ralentir. Avec cette petite fête, la folie m’a distraite, un manque de professionnalisme total. Il allait falloir que je réagisse et vite.
Je me suis lancée à sa poursuite, non pas que je ne pensais l’attraper mais je voulais au moins le voir, pour connaître ma prochaine victime. J’ai donc couru le plus vite possible les cartons ne m’ayant pas vraiment ralenti et j’ai ouvert la porte, mais la seule chose qu’il restait était un portable, probablement le sien. J’ai retiré un de mes gants tachés de sang pour récupérer l’objet avant de redescendre pestant contre moi-même et la personne qui venait de prouver à quel point je suis une incompétente.
J’ai récupéré la balle dans la jambe du monstre, puis j’ai ramassé mes affaires et essuyé le sang sur mon visage. J’ai tout mis dans une des poches de mon sac, puis je suis allée dans le magasin récupérer les vidéos des caméras surveillance avant d’essuyer mes empruntes, et de sortir du magasin comme si de rien était.

J’ai regardé autour de moi si je voyais le fuyard, bien sur il n’y était pas, ou en tout cas personne susceptible de l’être ne se trouvait la, par contre le garçon et sa mère arrivaient escortés par de gentils policiers. J’ai donc pris la fuite moi aussi avant qu’ils ne me repèrent…
Je devais prévenir mon patron et tout bruler : mon sac contenant toutes les preuves compromettantes, mes fringues et le portable après avoir appelé. Sauf que cette fois je ne pourrais pas appeler mon boss pour lui dire que tout c’est bien passé, car tant que le gêneur sera en vie…ma mission ne sera pas terminée.
Apres m’être mis à l’abri et hors de leur vue j’ai pris le téléphone de l’inconnu, il n’y avait pas de photos à mon grands désespoirs mais cet oublie aller m’être très utile pour le retrouver…



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Hayate Totchimaru

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MessageSujet: Re: Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé]   Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé] Icon_minitimeDim 11 Mar - 17:43

Je continuais de courir, sans m'arrêter, conscient d'avoir vu un meurtre, pour le tueur, je devais être un témoin gênant... Courir, encore courir... Sauf qu'une pensée me vient à l'esprit... Si je venais d'échapper a un tueur, dont je ne connaissais ni le visage ni l'apparence... Cette personne pourrait être n'importe qui dans ce centre commercial, une montée d'angoisse montais dans ma gorge, je ne pouvais faire confiance a personne ici... J'avais besoin de quelque chose pour décompresser... Je me mis d'abord à marcher calmement... Enfin le plus calmement possible, afin de ne pas me trahir sur ce que j'ai vue...

En chemin, je regardais autour de moi, un peu nerveusement... Bien que je le cache, ça pouvait un peu ce sentir, puis, la peur commença à monter... Je me retrouvais face à un gros traumatisme de ma part... Une fanfare de clown... Ces horribles personnage qui se pavanait avec un sourire à faire peur... C'était impossible de rire a leurs bêtises, ils faisaient plus peur qu'autre chose selon moi... Je pris la direction inverse et part pour aller dans un petit café assez vaste, où j'étais un habituer, le meilleur endroit selon moi pour se calmer, l'ambiance était très chaleureuse, c'était pas cher et très bon et y avais quotidiennement un musicien, qui travaillais ici et qui jouais du violon... Et même qui jouais très bien !

Alors que je m'assois à ma table habituel, la serveuse, qui travaillais ici depuis l'ouverture... Et où j'étais un des premiers clients, venais s'occuper de moi, toujours avec le sourire.

« Salut Haya ! Oula... ça n'a pas l'air d'aller, tu as un soucis ?

 Non, ça va... Ne t'inquiette pas, juste un peu fatigué par la journée...

D'accord ! Si jamais y a un soucis, tu sais que tu peux venir me voir hein, ok ? »

A ce moment-là, je ris un peu, en disant que 'Oui, t'inquiette pas, j'ai pas oublié...', elle prend ma commande, comme d'habitude, des crêpes, un ou deux pancakes et un thé à la cerise, généralement, c'est toujours ce que je prends. En attendant la commande, je regardais par la fenêtre le ciel, à travers le toit vitrée du centre commercial, en réfléchissant et en pensant à ce qui c'était passer au magasin de jouet,à qui je pourrais expliquer ça, à qui je pourrais raconter ce que j'ai vue... Quand bien même, cette personne ne serait pas le tueur... Ou la tueuse, ce n'était pas dit que c'était une femme...

Puis, je me mets à pensée à mon portable... Il n'y avait pas de photo de moi, heureusement, ni même mon nom et je ne l'utilisais uniquement que pour appeler les gars du club de Kendo pour les entraînements et diverse personne... Puis, je me laisse bercer par la musique, ça avait le don de me calmer et de m'apaiser... jusqu'à être ramené à la réalité par l'arriver de ma commande, je paye d'avance pour le plat et commence à manger et boire un peu, savourant a moitié ce que j'ingurgitai...



Je fût ensuite distrait par quelqu'un, que je ne n'avais jamais vue, qui entra au magasin... Au moment ou la musique changeait, je l'observais... elle était plutôt petite... Je dirai dans les 1m50 ou 1m60, des cheveux blonds et de magnifique yeux vert... Je me surpris à rougir, bien qu'elle devait avoir quatre ou cinq ans de plus que moi, je continuais à manger, pendant qu'elle semblait poser des questions à la serveuse... Montrant quelque chose, mais je ne pouvais pas distinguer... Puis, je termine mon 'repas' et regarde par la fenêtre, d'un air mélancolique, chantonnant la chanson du musicien... Avant d'avoir la visite de la femme à ma table.
Je la regarde, distraitement, avant de lui sourire, comme je le fais d'ordinaire, sans aucune mauvaises intentions, mes gestes et paroles respirant la bonne volonté et la gentillesse.

-Il y a un soucis...? En quoi je peux vous aider ?

( Orange : parole Hayate
- Olive : Parole serveuse )
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MessageSujet: Re: Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé]   Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé] Icon_minitimeDim 11 Mar - 23:49

Bien comme je l’ai dit après tout cela, il fallait que je fasse disparaître les preuves, chaque trace de mon passage devait disparaître, comme à chaque fois.
C’est un peu comme si je n’existais pas, aucune preuve de ma présence sur terre ne pouvait être remarquable…un fantôme voilà ce que je suis. Je vous l’accorde c’est triste.

Je me dirigeais donc vers les toilettes du centre commercial…oui finalement je ne suis pas sortie car en y réfléchissant il y avait deux possibilités qui s’offraient à moi : soit le témoin du meurtre était parti à toute vitesse, soit au contraire il se cachait ou essayait de passer inaperçue, pour brouiller les pistes en quelque sorte. S’il était parti c’était donc déjà trop tard pour moi, en revanche s’il essayait de se fondre dans la masse, j’avais encore des chances de le retrouver.
Me voilà partie pour les toilettes, sans grand enthousiasme et avec nonchalance comme à mon habitude. Une fois arrivé j’ai vu une femme de ménage qui nettoyait, ramassait les poubelles etc…Je suis donc entrée dans une des toilettes et m’y suis enfermée.
Comme prévue j’ai tout jeté dans la poubelle, puis j’ai retiré mes habits et en ai mis de nouveaux : une simple robe rouge …bon ok courte, moulante et décolleté mais on va rien dire, des portes jarretelles et des talons. Puis j’ai détaché mes cheveux, pris le portable de l’inconnue et j’ai aussi gardé le mien. Je n’avais pas encore appelé mon boss, donc je devais garder mon téléphone car ma mission n’était pas encore finit. J’ai mis mes anciens habits et toutes preuves potentiellement compromettantes dans la poubelle et j’y ai mis le feu … après quelques minutes je suis sortie en disant à la femme de ménage :

Il y a le feu dans la poubelle…

La pauvre c’est mis à paniquer et à gigoter dans tout les sens, c’était un petit feu de rien du tout pas de quoi en faire un drame cependant. J’ai mis mon manteau noir et je suis sortie avec assurance, avec un immense sourire amusé. Oui je sais je suis une vilaine fille…
J’ai regardé le portable de l’inconnu, et j’ai composé un des numéros au hasard en regardant une bande de clowns ridicules passer. C’est une femme qui a répondu :

Femme : Allo ?

Oui allo, bonjour madame. Excusez-moi de vous déranger mais je viens de trouver ce portable par terre dans le centre commerciale de la ville, et j’aurai voulu le rendre à son propriétaire. Pourriez-vous m’aider ?

Femme : Oh bien sur ! C’est très aimable à vous ! Il appartient à un jeune homme du nom d’Hayate Totchimaru. A l’heure actuelle je pense que vous pouvez le trouver dans le café du centre commercial, vous savez celui pour les jeunes étudiants.

Oui je vois, je vous remercie beaucoup madame.

Femme : Merci a vous, il sera très content j’en suis sur !

J’ai souris sournoisement, l’esprit et le corps en équilibre rien qu’à l’idée de ce que je lui ferai subir une fois que je l’aurai retrouvé… Puis j’ai ajouté de la même manière mais plus doucement, comme si je me parlais à moi même :

Oui …j’en suis sur …

J’ai repris une voix la plus normale possible :

Au revoir et merci de votre aide.

Femme : Au revoir !

J’ai raccroché avec un sourire de satisfaction immense car, s’il n’était pas au café je n’aurai qu’à demander son adresse ce qui sera encore mieux et bien plus simple pour moi.
Je me suis donc dirigée vers le café, que j’avais déjà vu, avec fierté et assurance, contente que tout ça soit bientôt finit. Je pourrai retourner dans ma chambre d’hôtel, seule avec ma vodka chérie…à compter les heures encore et encore, avec cette impression d’être perdue seule à l’autre bout du monde sur ce monde solitaire. Je suis entrée pour retrouver mon amie la vodka au plus vite, celle grâce à qui j’oublie tout, mon passé et mes misères.
J’ai avancé en souriant avec douceur à la serveuse. Et oui comme d’habitude je vais jouer à faire semblant, je vais sourire peut être même rire, enfin je vais vivre :

Bonjour excusez moi mademoiselle je cherche un jeune homme du nom d’Hayate Totchimaru. Pourriez-vous m’aider ?

Vu la tête qu’elle tirait, elle devait se demander ce que voulait une femme comme moi à un étudiant. Peut être a-t-elle du croire que j’étais une prostituée…ou une couguar. J’avais l’impression d’avoir 40ans là… J’ai que 23 ans quand même…faut pas pousser je suis encore jeune merde ! Ou alors elle avait juste peur que je lui pique son petit copain, ou le mec pour qui elle à le Bégin...
J’ai légèrement sortis le portable pour lui montrer et qu’elle comprenne, mais pas assez pour que quelqu’un d’autre le voit. Car si le Hayate en question, voyait le portable il penserait probablement que je suis la tueuse, et partirait en courant avant même que je n’ai eu le temps de lui pondre une formidable excuse.

J’aimerai lui rendre ceci, je l’ai retrouvé par terre.

J’ai souris gentiment, avant de ranger le portable. Tss elle avait l’air soulagée en plus cette blondasse…non mais je vous jure…

Serveuse : Oh oui bien sur il est la bas à la table près de la fenêtre, c’est très gentil à vous.

Elle m’a fait un grand sourire et moi aussi…mais pas pour les mêmes raisons. J’approchais un peu plus de mon but et j’en frissonnais d’impatience.

Je vous remercie.

Serveuse : Oh c’est normal…

* ‘ oh c’est normal’ je t’en foutrais…tsss *

Je me suis levée et me suis dirigée lentement vers le jeune homme avec un sourire aux lèvres et une satisfaction immense…
Dommage que je sois obligée de le tuer il avait l’air jeune : au moins 4 ans de moins que moi, et en plus il était plutôt pas mal. Je pouvais voir sur son visage, malgré le fait qu’il essayait de le cacher, qu’il était bouleversé. Il avait du voir quelque chose, d’horrible…je pense même qu’il devait avoir un peu peur malgré l’atmosphère rassurante du café. Au plus je le regardais au moins j’avais envie de le tuer mais bon…après tout un de plus ou de moins peu importe. Je n’ai pas le droit de penser à ce genre de chose, je suis une machine à tuer les sentiments n’ont pas leurs place.
Je me suis mise face à lui en souriant :

Bonjour… excusez moi de vous déranger vous êtes Hayate Totchimaru ?

J’ai pris un petit air timide et un tontiné fragile pour que mon excuse soit plus crédible. Ça ne lui viendrait pas à l’idée qu’une jeune femme toute mignonne et vulnérable puisse avoir commit de telles horreurs et être une tueuse, même si à ma démarche on pouvait voir que j’avais de l’assurance et du caractère. Il fallait une excuse crédible, facile à comprendre et courte et sans trop entrer dans les détails, sinon il pourrait facilement se dire que j’ai inventé tout ça. Il fallait éviter tout risque de griller ma couverture avant même que je commence. Je lui ai donc dit en sortant son portable :

Je viens de la boutique de jouet de l’autre coté, je voulais un jouet pour ma nièce et en cherchant un vendeur je suis tombée sur ce portable. J’ai téléphoné à un de vos contact pour pouvoir vous le rendre j’espère que vous ne m’en voulez pas trop pour la communication…

Je ne pensais pas m’être fait griller après tout il n’y a qu’une seule phrase ou j’avais menti et très franchement c’était bien plus que crédible : pourquoi j’étais dans la boutique, pourquoi je n’ai pas le jeu que je voulais acheter, faisant donc référence à l’absence de vendeur …vu qu’il était mort bien sur, comment je l’ai retrouvé, et j’avais même réussis à placer des excuses ! Tout était parfait et je lui souriais avec douceur sans vraiment me forcer en fait…
J’osais espérer qu’il m’ait cru, ou du moins suffisamment pour ne pas fuir tout de suite, malgré la perfection de mon petit numéro.



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Hayate Totchimaru

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MessageSujet: Re: Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé]   Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé] Icon_minitimeVen 25 Mai - 1:31

Je regardais la femme, qui, après s'être assise, me sourit... Bien qu'intérieurement, je me demandais ce qu'une femme me voulait, à moi, un simple étudiant...

Bonjour... excusez-moi de vous déranger vous êtes Hayate Totchimaru ?

Je regardais la femme, a l'air de dire 'Comment vous me connaissez... ?', je hoche simplement la tête, ne laissant rien paraître, puis, je la vois sortir mon portable, avec une explication du pourquoi du comment.

Je viens de la boutique de jouet de l'autre côté, je voulais un jouet pour ma nièce et en cherchant un vendeur je suis tombée sur ce portable. J'ai téléphoné à un de vos contact pour pouvoir vous le rendre j'espère que vous ne m'en voulez pas trop pour la communication...

Je fis comme si j'étais content, même si beaucoup de question ce bousculais dans ma tête en silence, ne laissant rien voir, comme 'Comment avait-elle pu tomber sur mon téléphone... ?', puis sourit, en tendant la main pour récupérer mon téléphone portable.

« Je vois... Ne vous inquiétez pas, je comprends que vous aillez appeler pour me retrouver et me rendre mon bien... »

En souriant, content de récupérer son portable, avant de se demander si elle ne serait pas la personne qui aurait tué le vendeur... Frisonnant légèrement, pendant que les musiques changeaient, ce demandant quoi faire... Avant d'entendre que le café allait fermer, vu qu'il y avait parade etc... Je souris en me levant et en prenant mon sac, payant ma note et regardant la femme

« Je vous remercie de m'avoir rendu mon portable... Je dois partir cependant, le café allant fermer. Cependant, si vous le souhaitez, je peux vous aider a trouvé un jouet pour votre nièce, je ne vous y oblige pas... Disons que c'est pour vous remercier pour le portable. »

Disait-il en faisant un sourire respirant la gentillesse... Allant ouvrir la porte et attendant qu'elle passe, usant des bonnes manières qu'on lui a enseignée, la voyant se lever et m'accompagner, en disant qu'elle acceptait mon offre. Ravi de pouvoir aider quelqu'un, j'entreprit de chercher dans les magasins de jouet, avec la femme...

« Sinon... Vous vous appelez ? J'en ai oublié les bonnes manières, mais... Bon, vous connaissez mon nom. »

Puis, je me gratte l'arrière de la tête, en demandant quel style de jouet la nièce aimait-elle, ça les aiderait pour leurs recherche du cadeau idéal, aillant de tout, des ours en peluche, des jouets style dînette, poupée en plastique ou en porcelaine, etc... Bref, l'embarras du choix était la ! Puis, il voulait en apprendre plus sur la femme... Qui l'intriguait quand même...

« Sinon... Eum... De ou êtes-vous originaire... ? Vous ne semblez pas être japonaise... Vous habitez au Japon où vous êtes en vacances touristiques ? »
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MessageSujet: Re: Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé]   Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé] Icon_minitimeJeu 31 Mai - 22:30

Je lui ai rendu son portable, je ne pense pas qu’il avait de soupçons mais enfin peut importe je ne comptais pas le lâcher…J’ai souris à sa réponse…il n’avait pas l’air méchant au contraire, quel dommage de prendre la vie d’un innocent. Mais bon dommage collatéral, ça arrive.
J’avais chaud. J’ai regardé par la fenêtre, c’était une belle journée. Alors j’ai retiré mon manteau et je l’ai posé sur une chaise. Bon ma tenue était certes peu approprié mais je pense qu’il a déjà du voir des femmes plus dénudées que ça alors peu importe. Je réfléchissais à un moyen de pouvoir l’entrainer dehors ou autre quand il m’apporta la réponse toute prête :

« Je vous remercie de m'avoir rendu mon portable... Je dois partir cependant, le café allant fermer. Cependant, si vous le souhaitez, je peux vous aider a trouvé un jouet pour votre nièce, je ne vous y oblige pas... Disons que c'est pour vous remercier pour le portable. »

J’avais la solution servis sur un plateau d’argent, c’était une occasion a ne pas manquer, du moins ça me ferait au moins gagner du temps. Je l’ai regardais avec un immense sourire joyeux, plongeant mes grands yeux verts pétillants dans les siens. Je veux pas me vanter mais qu’est ce que je jouais bien la comédie ! Croyez moi quand on est vide et mort, c’est dur de sourire, mais je me débrouillais bien, je ne savais faire que ça de toute manière : paraître. Alors c’est ce que je faisais. En même temps ce n’était qu’un sourire…il m’a fallut porter tellement de masque et quand je pense à tout ceux que je n’ai pas été, je sais qu’il faudra que j’en porte encore tellement…En même temps on ne me laisse pas le choix, mon cœur ne bat plus pour que je vive…mais il me maintient seulement en vie pour que je fasse ce pourquoi je suis formatée : mon boulot. Je sais pas si vous saisissait la nuance très subtile qu’il y a entre les deux…
J’ai répondu d’un ton joyeux mais assez timide :

C’est que je ne veux pas abuser de votre temps…

Il s’est levé pour ouvrir la porte alors je l’ai regardé … il avait un sourire magnifique … euh enfin un sourire normal quoi, banale, sans intérêt …hum bref oubliez ! Bon il ne faut pas oublier que pour moi l’univers est une larme, ça me permet d’oublier que je suis incapable d’aimer. Alors ne vous faites pas d’idées.
J’ai donc fait un sourire radieux et calme, lui répondant avec douceur et énergie :

Je vous remercie c’est très aimable à vous.

Je le suivis, le regardant, l’observant, l’analysant, un sourire en coin apparaissant sur mes lèvres rouges alors que je me délectais à la vue de ma nouvelle proie.
J’étais plongeais dans mes pensées noires, explorant les catacombes de mon esprits quand sa question me réveillât :

« Sinon... Vous vous appelez ? J'en ai oublié les bonnes manières, mais... Bon, vous connaissez mon nom. »


j’ai fait un petit sourire amusé pour lui répondre :

Ne vous inquiétez pas pour ça. Mon nom est Kate, Kate Turner. Enchantée.

Je regardais les rayons autour de moi, faisant mine de m’y intéresser quand il me posa une autre question :

« Sinon... Eum... De ou êtes-vous originaire... ? Vous ne semblez pas être japonaise... Vous habitez au Japon où vous êtes en vacances touristiques ? »


Vive l’improvisation ! J’ai répondu assez rapidement, d’un ton aimable et jovial, le regardant dans les yeux.

En effet je suis Américaine. Je suis ici pour rendre visite à de la famille. Et vous ?

Malheureusement tout ça manquait cruellement d’action, je devais régler cette histoire plus vite. Devais-je le tuer maintenant, à la vue de tous et tant pis ? ou attendre patiemment ?



[ - rouge : paroles de Kate
-
orange : paroles de Hayate ]
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MessageSujet: Re: Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé]   Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé] Icon_minitimeDim 3 Juin - 20:05

J'ignorais pourquoi... Mais j'aimais la voix de cette femme... Elle était singulière et... Plutôt attirante, de même que son physique, même si je ne suis pas un pervers. Ainsi, cette femme s’appelait Kate Turner... Sans doute un nom que je n'oublierais pas...

« Ravi de vous rencontré Mademoiselle Kate... Si je peut vous appelez ainsi... » dit-il... Avant d'ajouter, en rougissant un peu « On dois vous le dire souvent, mais... Vous êtes très belle... » puis, il ce mit a pensé *A quoi tu joue Haya... Arrête ton char... Elle est sans doute déjà avec quelqu'un... Bah... Après, ce n'est qu'un compliment...* puis, je notait aussi qu'elle était Américaine et qu'elle était la pour de la famille... Je vois... En même temps, c'est rare les américains qui sont la pour autre chose que la famille et le travail...

« C'est comment l'Amérique ? Je n'y suis jamais aller... J'ai toujours vécue au Japon... A part a ma naissance et durant une partie de mon enfance, ou j’étaie en France... Pour ma part, nationalité Française et Japonaise, orphelin depuis deux ans... »

Je continuais de conversé avec elle, ne pouvant pas m’empêcher d'admiré chaque trait du visage de Kate, la courbes de ces lèvres, la finition du visage.. Bref... Une femme tout bonnement magnifique, avec un sourire au lèvre tout simplement exquis de pouvoir voir... A mon tour, je me mit a sourire... Avec un sourire propre a moi, dont j'avais le secret bien garder...

Puis, je fini par repéré un jouet qui pourrais plaire a la nièce de Kate, je me tend pour l'attraper, malheureusement, un enfant passe par la pour déposé un jouet qu'il avais prit pour jouer avec et s'en va sans regardé, posant ledit jouet sous mon pied... Me faisant tomber sur Kate, mettant quand même mes main pour éviter de l'écraser sous mon poids, même si... Je sentais quelque chose de doux et de chaud a mes lèvres.. En regardant mieux, je vit que j’étais en faite en train d'embrasser Kate, a ce moments... J'ignore ce qui m'arrivais, mais je devenais pour la première fois de ma vie rouge comme une tomate.

Je n'osait pas bouger, n'osait pas respiré... Sans le vouloir, je profitait du baiser avec Kate... J'avais l'impression que le temps c'était arrêter autour de moi, comme si plus rien ne comptait, a part la femme et moi... Cependant, je ne pouvais être sur de rien... Je me demandais quand même... Comment réagissait Kate en ce moment... Devrais-je rompre le baiser... ?

Au même moment, je la sentais agripper doucement ma chemise pour approfondir le baiser... En rougissant d'avantage, je sentait qu'elle me donnais un baiser langoureux... Je ne pu m’empêcher de faire la même chose, en fermant doucement les yeux. Passant une main derrière la nuque de la jeune femme. Répondant à son baiser.
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MessageSujet: Re: Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé]   Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé] Icon_minitimeDim 3 Juin - 21:59

Je le regardais doucement, toujours mon sourire accroché aux lèvres. Ça avait vraiment l’air d’être un gentil garçon…bien évidement au plus je tardais à le tuer au moins j’aurai envie de le faire…c’est alors qu’il m’a répondu :

« Ravi de vous rencontré Mademoiselle Kate... Si je peut vous appelez ainsi... »


Je dois dire que ça m’a légèrement amusée la suite aussi d’ailleurs mais c’est différent :

« On dois vous le dire souvent, mais... Vous êtes très belle... »

Bon alors la je sais pas comment il s’est démerdé cet idiot mais il m’a fait rougir. Pas beaucoup mais suffisamment pour que je me rappelle, ce que signifie le mot compliment. Ça changeait du sang et de la haine, de se sentir un peu femme. Et puis je ne sais pas trop pourquoi mais parler avec lui était si facile, tout était tellement plus simple et agréable…finalement je ressemblais à ces gens que j’avais observé plutôt … J’ai compris pourquoi ils se complaisaient dans ces futilités…parfois les futilités font du bien à l’être. J’ai donc fait mine de répondre timidement, avec un petit sourire gêné :

C’est gentil je vous remercie…et appelez moi simplement Kate il n’y a pas de soucis…

Je lui ai fait un léger clin d’œil complice. Avant qu’il ne me demande :

« C'est comment l'Amérique ? Je n'y suis jamais aller... J'ai toujours vécue au Japon... A part a ma naissance et durant une partie de mon enfance, ou j’étaie en France... Pour ma part, nationalité Française et Japonaise, orphelin depuis deux ans... »


J’ai sourit et l’ai regardé en répondant d’un ton léger :

Et bien disons que l’Amérique c’est plus Disney Land et que le Japon c’est plus…euh…stricte et fade ?

J’ai rit un peu, je voyais qu’il m’observait… Je ne pouvais pas m’empêcher de rougir un peu en sentant son regard sur moi ainsi… Je ne sais pas trop pourquoi il me regardait de cette façon… Ma tenue peut être ? J’ai sourit, amusée à cette idée et flatté aussi faut l’avouer. Je n’avais pas discutais avec quelqu’un normalement, depuis très longtemps. Ça me faisait du bien, même si j’allais devoir le tuer. La vérité c’est que je ne voulais pas le tuer…De toute façon notre relation n’irait certainement pas plus loin, il ne saurait donc jamais que c’était moi qui avait tué cet homme. Et voilà, je commençait à ne plus être objective…Mais en même temps ce n’était pas faux. Je devais réfléchir. Et puis je ne sais rien de sa vie, c’est sur que pour tuer un homme c’est mieux, mais si il avait une tante ou une grand mère qui attendait qu’il rentre ? Bon okay la je cherchais des excuses de merdes pour en pas lui faire de mal…

* La H tu déconne…reprend toi ma fille…*

Puis il m’a sourit mais pas comme d’habitude…ce sourire il était…je ne sais pas, je ne pouvais pas le décrire. J’ai rougis instantanément et très fortement, le salaud il pourrait se venter de m’avoir fait rougir de la sorte. J’en ai même détourné légèrement le regard, le maudissant tellement j’étais gênée et honteuse…pendant que je blasphémais et m’énervais contre moi même, un événement vint me sortir de mes pensées…Je me suis retrouvée lèvres contre lèvres avec lui. J’ai d’abord ouvert de grands yeux, surprise par la situation. Mes grands yeux verts plongeant dans les siens et mes joues se teintant dangereusement de rouges, un frisson parcourant tout mon corps…L’esprit et le corps en équilibre je le contemplais, incapable de bouger ou de réagir. Il était tombé cet idiot…Mais il était si beau. Ce sentiment qui me bouleverse je ne peux pas l’expliquer, ni même l’exprimer. Une fois l’effet de surprise passé je l’ai finalement regardé les yeux mi-clos, mon visage devenant bien plus doux, mais toujours aussi rouge. J’ai alors lentement glissé ma langue entre les lèvres du jeune homme, lui donnant un doux baiser langoureux. Il a passé sa main derrière ma nuque et je n’ai pas pu m’empêcher de passer mes bras autour de son cou pour le serrer contre moi. Je savourai la sensation de ses lèvres brûlantes contre les miennes, de sa langue dansant avec la mienne, comme la douceur d’une course lente. Je me suis serrée contre lui, c’était tellement bien. Ma poitrine se collât contre son torse puissant, j’étais si fragile et vulnérable dans ses bras musclés, contre cet homme. Mes mains étant dans son dos pour le serrer contre moi, j’agrippais doucement sa chemise, comme si j’avais peur qu’il s’en aille, qu’il recule, qu’il disparaisse… et je ne le voulais pas. Je voulais qu’il reste avec moi. J’aimais tellement ce sentiment, je ne voulais pas que ça s’arrête, pas encore. Pour la première fois, et depuis très longtemps je me sentais protégée et en sécurité…Je me sentais libre et tellement bien…Plus rien n'avait d’importance…
Mais qu’est ce qui m’arrivait …



[ - rouge : paroles de Kate
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orange : pensées de Kate
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orange : paroles d'Hayate ]
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MessageSujet: Re: Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé]   Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé] Icon_minitimeMar 26 Juin - 20:13

Ce genre de situation... Vous ne savez pas comment réagir. Et bien, c'était un peut mon cas, je me retrouvais sur une jeune femme tout a fait sublime, devant qui des hommes aurais envie d’être a ma place, la sensation du baiser est... Indescriptible, le style de baiser que vous ne souhaiteriez pas quitter pour tout l'or du monde, qui donne l'impression que le temps lui même c'est arrêter pour vous laisser le plaisir d'apprécier le moment présent...

J'ignorais moi même ce qui m'arrivais, j’étais en train d'embrasser langoureusement, de donner mon premier baiser a une femme, un peu plus âgé que moi, sans doute de 21 ans, que je ne reverrais sans doute pas... Mais bizarrement, je m'en contre-fiche, j'avais un étrange sentiment qui s’emparait de moi, je ne voulais plus la quitté... Et j'avais l'impression que ce sentiment était partager, en la sentant agripper ma chemise pour pas que je m'en aille, elle avais un air de femme qu'on a envie de protéger, qu'on avais envie de l'avoir a ces côtés pour la chérir et l'aimer... L'amour... ? Était-ce sa qui m'arrivais... ?

Je fut sortie de ma rêverie avec Kate lorsque j’entendis le commerçant dire a des client en caisse, que le magasin allais fermé... En rougissant fortement, je me relève, en tenant Kate contre moi, mon corps et mes bras m'interdisait de la lâcher, c'était la première fois que je me sentait aussi bien et aussi a l'aise avec quelqu'un... Je ne voulais pas que sa ce termine maintenant... Puis, je me rappelle qu'elle a une nièce qui dois l'attendre... Ne sachant pas comment réagir maintenant...

je fut finalement obliger de la lâcher, en entendant que j'avais un SMS sur mon téléphone, en rougissant, je regarde... Et vois que c'est ma tante... J'avais quasiment 1h de retard ! Il ce mord la lèvre... Puis, range son portable en quittant le magasin, sans lâcher Kate, ne sachant pas comment abordé la chose... N'osant pas la regardé ou autre d'ailleurs, étant assez timide pour le coup...

Il s'explique finalement qu'il est attendu par sa famille et qu'ils s’inquiète... Bien qu'il dit sa avec tristesse... Espérant la revoir un jour... Il lui donne un papier, en souriant timidement, ou ce trouvais son numéro de téléphone... Commençant a partir... Ce retournant pour la regardé, mais il ne la vois plus, alors qu'il avais a peine fait une demi-douzaine de pas... Triste, il repart chez lui, allant directement dans sa chambre, pour regardé le ciel, qui ce déclinais en un coucher de soleil... Le visage de la jeune femme lui revenant en tête... En fermant les yeux, il la revoyais...

Que lui arrivait-il... ? Était-ce de l'amour... ?
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MessageSujet: Re: Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé]   Le début de l'angoisse et d'une rencontre inoubliable... [PV : Kate Turner]/[Terminé] Icon_minitimeJeu 28 Juin - 20:02

Je crois que je ne m’étais jamais sentie aussi bien depuis très longtemps, mais une chose est sure je n’ai jamais été aussi rouge de ma vie. C’était comme une flèche traversant ma peau, mais dont la douleur est un ravissement pour l’âme Je ne sais pas pourquoi je l’ai embrassé comme ça… Une envie, une pulsion qui n’avait aucune raison de ne pas être assouvie… Enfin si, une seule raison et pas des moindres : je devais le tuer… Mais bon, pour si peu on va pas chipoter. Je l’ai donc embrassé et à ma grande surprise il a fait de même… Il m’a même serré fort contre lui. Pourquoi ? Je n’en sais absolument rien, mais il l’a fait. Rien ne l’y obligeait pourtant, j’étais et suis toujours une parfaite inconnue pour lui. C’était d’ailleurs probablement pour ça : le fait qu’on ne se connaisse absolument pas, qui rendait chaque geste si intense. On aurait dit une vraie comédie romantique. Vous savez ce genre de film tellement réaliste et pas du tout exagéré. Le genre de film qui me donnent direct envie d’aller jeter des fleurs partout dans la rue en mangeant des Kinder et en marchant sur des nuages à dos d’éléphant rose… Il faut être un peu objectif, la vie n’est jamais aussi simple que dans un film. Mais cette réalité que je voulais si dure, était finalement un peu plus douce cette fois. Et cette impression que j’avais d’être à la place d’une actrice, d’un de ces mauvais films ne me déplaisait pas, bien au contraire. Pardonnez moi dieu du cinéma, à l’avenir avant de critiquer un de vos enfants je réfléchirais davantage…
Ses lèvres avaient un gout exquis, elles étaient si douces je ne pouvais plus m’arrêter de les dévorer avec gourmandise et tellement d’envie. Les yeux clos et blottit contre le torse du jeune homme, je ne cessais de rougir…on aurait dit une adolescente qui embrasse pour la première fois un garçon. Et vous savez ce qui est le pire dans tout ça ? C’est que je n’en avais même pas honte. Aucun baiser n’avait été plus ardent que celui-ci et aucune étreinte plus passionnée. Et ce n’était pourtant qu’un simple baiser…
Puis la voix du caissier le déconcentrât et par conséquent moi aussi. Moi qui espérais encore quelques secondes de bonheur, je n’en ai pas eu le droit. Comme on dit ‘toute les bonnes choses ont une fin…’, ce que je peux détester cette phrase. Faut dire qu’elle est souvent d’actualité pour moi.
Il m’a aidé à me relever, il rougissait et ça m’a fait sourire pour deux raisons. La première : j’étais aussi rouge que lui et la deuxième : il était craquant avec ses joues rouges et son petit air timide sur le visage. Gêné, il a regardé son portable qui avait sonné…je l’ai laissé faire après tout, que pouvais-je bien faire d’autre maintenant ? Je m’en voulais de m’être laissé aller de la sorte et d’avoir manqué autant de professionnalisme. Je sais que pour vous c’est une réaction humaine, après tout il était beau, gentil, poli et attentionné, l’homme parfait à première vue et un baiser n’engageait à rien. Bref pas de quoi culpabiliser… et pourtant. Je savais que je n’aurai pas dut, dans mon travail pas de place pour ce genre de futilités…oui vous avez bien compris, futilités. Cependant je n’arrivais pas à regretter mon geste.
Il s’est mordu la lèvre, j’ai traduis ça par une pointe de tristesse, de la gêne… il avait l’air un peu dégouté. Il m’a gardé contre lui étrangement, il ne voulais vraiment pas me lâcher et ça n’était pas pour me déplaire. Mon petit cœur meurtrie n’arrivait pas à résister à la douceur de cet homme, malgré le fait que ma tête proclame le contraire.
Il m’a dit qu’il devait s’en aller, j’ai donc compris sa réaction précédente. J’étais déçue c’est vrai. Et puis que devais-je faire au sujet de ma mission ? Il m’a tendu son numéro de téléphone, ça m’a bien sur fait rougir, comme chacun de ses gestes à peu près…ce qui m’agace je dois dire. Je l’ai pris en faisant un petit air timide, le même que le sien. Il ne devait pas avoir l’habitude de donner son numéro comme ça à une inconnue et surtout plus âgée. Je l’ai remercier en souriant très timidement puis il est parti.
Plusieurs choses me sont venues à l’esprit, tout d’abord : je ne voulais pas qu’il parte. Ne me demandez pas pourquoi je ne le sais pas moi même. Puis que j’étais conne de m’être laissé aller comme ça, que je n’aurai jamais dut. En suite, que j’étais ridicule et pour finir, ma mission : je devais le tuer ou non ? Alors que la galerie marchande était pleine de monde, et mes supérieurs s’occuperaient du reste, ce qui compliquerait grandement les choses ?
Tout se bousculait dans ma tête, mais je devais vite me décider et faire le vide. J’ai posé ma main sur la cross d’un de mes Beretta à ma cuisse, caché par ma robe rouge et je l’ai regardé partir… j’étais prête à dégainer, mais je n’ai pas pu m’y résoudre, il y avait bien trop de contre et pas assez de pour.
Il ne saurait jamais qui j’étais et je ne le reverrais plus. Il n’y avait donc aucun soucis. J’ai fais mine de remettre ma robe en place et je me suis tournée rapidement en disparaissant dans une des allées, au milieu de la foule. Je marchais d’un pas nonchalant écoutant de nouveau les rires des gens et leur superficialité observant de ma tête baissée les futilités qui les amusaient, et qui m’avaient moi même amusée plutôt. Je me trouvais pathétique…Pourtant j’étais triste, il était parti et j’étais triste. J’ai regardé le papier avec son numéro, puis j’ai décidé de ne plus être pathétique et de me reprendre. J’ai serré le papier dans ma main qui s’est formé en une petite boule…je l’ai serré très fort dans ma main mordant ma lèvre avec intensité…puis mon visage à finalement retrouvé sa froideur et sa dureté. J’ai lâché négligemment le petit papier. Il m’avait déjà probablement oublié de toute manière ou en tout cas il m’oublierait vite. Je suis le genre de personne qui ne marque pas vraiment les mémoires, c’est d’ailleurs le but recherché. J’ai pris mon portable. J’ai appelé mon boss et les seuls mots qui sont sorti de ma bouche ont été :

C’est fait.

Personne ne saurait qu’il était encore en vie, ce petit mensonge ne me couterait donc rien. J’ai raccroché en jetant le portable dans la poubelle la plus proche puis j’ai disparut dans la foule et de la galerie.


H ne fera plus jamais de telles bêtises. Mais H sait évaluer les risques et si il en avait été un trop grand danger, elle l’aurait tué…non sans peine, mais elle l’aurait sans doute fait.





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