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 John O'Bryan

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MessageSujet: John O'Bryan   John O'Bryan Icon_minitimeJeu 23 Fév - 22:56




John O'Bryan




John O'Bryan 10021811170715684
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John O'Bryan Sans_titre2||FICHE DE PRESENTATION||John O'Bryan Sans_titre2_141





John O'Bryan Ghostvatar
  • Noms: O'Bryan
  • Prénom: John
  • Surnom: JoO'b
  • Age: 27 ans
  • Sexe: Mâle
  • Grade : Sergent
  • Force armée d’appartenance : Us Army Ranger (Terre)
  • Langues parlées Anglais et peu de notion de japonais
  • Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
  • Hobbies/ Activités Sportives: Course à pied, T.I.O.R. (Techniques d'Interventions Opérationnelles Rapprochées), Tir à balle réel.
  • Origine: Américain
John O'Bryan 100208091823897801

  • Caractéristique physique:

    Dans le calme de la campagne et le paysage reposant qu'elle offrait, il n'y avait qu'une seule activité qui attirait davantage l'attention. Un homme, en uniforme militaire, courrait avec un sac sur le dos. Il était en sueur et semblait clairement essoufflé, comme si le défi qu'on lui avait donné était trop haut pour lui. C'était une habitude chez les militaires américains stationné au Japon. Ils n'avaient rien à faire dans la région à part s'entrainer, du coup ils se lançaient des paris etl'homme en question, luttait pour ne pas perdre son fric. Cet homme n'est pas John O'Bryan, celui-ci se trouvait un peu plus loin devant avec le même uniforme et le même sac.

    Il était beaucoup plus à l'aise, ses expirations étaient régulières tout comme le balancement de ses jambes. Il était habitué à courir et à effectuer des exercices de renforcement musculaire comme le démontrait son corps. Il était grand d'environ 1m90 et pesait 87kg, il était imposant, mais heureusement pour lui, ses couleurs venaient adoucir son visage. Par ses couleurs, j'entends sa peau claire, ses cheveux châtains et ses yeux bleus. Chef de groupe de combat, il tenait beaucoup à sa condition physique, voulant toujours montrer l'exemple pour les hommes qu'il guidait.

    Ce n'est que quelques heures plus tard, après que son service soit fini, qu'on put enfin l'apercevoir en civil. Un pantalon décontracte, large et de couleur beige, un t-shirt gris mettant en avant sa musculature et des baskets vertes olives, une montre, une chaine avec un anneau et rien d'autre. Niveau vestimentaire il n'était pas très recherché, plutôt du genre à s'effacer.



  • Caractéristique psychologique:

    Il existe de facette de John, mais au final les deux se rejoignent. D’un côté nous avons le Sergent O’Bryan, chef de groupe de combat qui sait ce qu’il a à faire, comment préserver ses hommes et amener à bien ses objectifs. De l’autre côté nous avons John, un homme d’un calme à toute épreuve, d’une grande discrétion, pas timide, mais quand même très effacé.

    Le premier n'est pas le meilleur tireur qu'on n'est jamais vue, ni le meilleur lutteur qu'on est pu voir, mais sa capacité de meneur d'homme mériterait d'apparaître dans les livres de l'armée. Il connait son équipe par coeur, qui court le plus vite et qui est le meilleur tireur, mais également qui est le plus téméraire. Face à une situation donnée, il sait qui envoyer et comment celui-ci doit s'y prendre pour optimiser les chances de succès de son ou ses objectifs. C'est le genre de personne qui, quand elle parle, donne envie d'être écouté de par cette assurance qui le qualifie quand il est en mission. Pas une seule once d'hésitation et ses moments de réflexion restent très courts. Il a parfaitement conscience que l'inactivité est le pire ennemi du combattant. Charismatique ? C'est peut-être ça, du moins ses hommes considèrent rassurant de l'avoir comme leader.

    Le second est un homme tourmenté par des souvenirs auxquels il est encore et restera toujours attaché. Se contente de sourire quand ses amis explosent de rire, parle peu ou alors avec un grand calme et ne participe guère activement aux soirées. Le fait qu'il ne boit pas n'a rien à voir là-dedans, il est juste de ceux qui n'ont pas ou plus envie de s'ouvrir aux autres. En dehors de son métier, beaucoup disent qu'il vit trop dans le passé, mais à lui cela ne pose aucun problème. Renfermé ? C'est ce qui se dit.



  • Histoire:

    Quoi de plus beau que le fruit de l'union entre deux personnes ? C'est ainsi que deux personnes amoureuses pensaient et cela mena à la naissance de Eva O'Bryan, fruit de l'union entre Jill Fox O'Byran et de John O'Bryan. Le jeune père de famille était comblé et il faisait déjà des plans sur comment il voulait élever sa fille sous l'oreille amusée et attentive de son épouse épuisé. Alors qu'un sourire illuminait son visage, sa femme vint passer sa main sur sa joue. L'homme ce tut, le sourire toujours aux lèvres et le regard qu'ils s'échangèrent tous deux, en disait beaucoup plus que n'importe quel discours. Il voulut lui dire qu'il l'aimait, mais aux yeux de sa bien-aimée, il comprit que c'était autre chose qu'elle voulait avant. C'est pour ça qu'il vint l'embrasser. Le baiser n'a-t-il pas été construit pour couper la parole quand les mots deviennent superflus ?

    C’était un véritable papa gâteux, couvrant sa fille de cadeau au grand désarroi de son épouse. Petit, il avait eu un père quasi-absent de son éducation, il en connaissait le vide et voulait être là pour sa fille. Sa mère avait été formidable et il voulait être, au moins, à sa hauteur pour voir grandir Eva. C’est pourquoi il l’a gâté beaucoup, un peu trop aux goûts de son épouse qui ne pouvait se résilier à lui en vouloir quand il lui faisait les yeux doux et venait la prendre dans ses bras. Le sourire de leur fille était leur cadeau à eux et rien ne valait ce moment.
    S’étant tout deux accordés un jour pour se retrouver ensemble après être allé amener leur fille à l’école. Ils profitèrent grandement de leur journée, passant leur mâtiné au lit à profiter du corps de l’autre. Venant par la suite se taquiner en préparant le repas, Jill osant pousser le vice jusqu’à plonger sa main dans le pot de sauce pour venir l’essuyer sur la joue de son homme. Attrapant le paquet de farine, il ouvrit avec un grand calme, un sourire joueur en coin alors que sa femme, amusée, reculer en l’invitant à ne pas faire ça. Chose inutile puisqu’il la poursuivit avec le paquet pour le lui renverser dessus. Très vite, la cuisine devint une warbzone la plus totale et les éclats de rire, ainsi que les éclats d’aliment, occupaient les lieux en s’implantant très fortement dans la scène. Quelques minutes plus tard, les deux tourtereaux se retrouvèrent assis par terre, la femme dans les bras de son homme, caressant l’alliance de son époux avec un sourire révélateur au visage. Collant sa tête contre John, elle vint fermer les yeux en prononçant dans un soupire d’aise qu’elle était heureuse à ses côtés. Ces simples mots suffirent à le faire frémir, un large sourire aux lèvres alors qu’il lui avouait ses sentiments pour elle. Les jours et les semaines passèrent sans que leur amour ne s’effiloche, leur rituel s’installant de jour en jour. C’était parfait et rien ne semblait pouvoir détruire cela.

    Alors qu’il était au boulot, faisant l’inventaire de l’armurerie avec quelques-uns de ses larbins, John reçut un appel de son supérieur. L’annonce qu’il lui fit accéléra son cœur, manquant de lui faire perdre l’équilibre alors que l’un de ses collègues le rattrapa en le voyant chanceler. Sans prendre le temps de se changer, il alla chercher les clés de sa voiture et se dirigea vers le service des urgences où on l’emmenant jusqu’au bloc opératoire. Il y vit sa femme sur le billard, se sentant de nouveau chanceler, les larmes venant remplir ses yeux alors qu’il se laissait lourdement tomber sur la chaise d’attente dans la baie d’observation. Position assise qu’il ne garda pas longtemps puisqu’il se releva dans la foulée pour demander à l’infirmière l’ayant conduit ici, où était sa fille. Elle resta un moment silencieux, la bouche entre-ouverte comme si elle cherchait ses mots, ne sachant pas comment lui expliquer qu’elle était morte dans l’accident de voiture qui c’était produit. John ne voulut y croire, c’est pourquoi il reposa sa question un peu plus fermement, effrayant pratiquement l’infirmière au passage. Elle finit par le conduire jusqu’au chevet de mort de sa fille de 4 ans. Son corps, si frêle, était allongé inerte sur un lit d’hôpital, recouverte par un drap blanc. Le père vint lentement découvrir le visage de sa fille en prenant une grande inspiration. Malgré son visage recouvert de contusion en tout genre, il put reconnaître Eva. C’était bien elle qui était sans vie. Le sergent O’Bryan, ce chef de groupe de combat inébranlable se mit à sangloter comme le plus fragile des enfants, ses joues se recouvrant de larme alors que dans le couloir, on pouvait entendre son désarroi. Tombant à genoux, l’infirmière fut incapable de le rattraper, la chute étant trop dur à supporter même pour lui.

    C’est ce moment que choisi le médecin pour rentrer dans la pièce et venir se présenter au père de famille. Devant les explications de celui-ci, John resta silencieux. L’homme lui assura que tout avait été pour la garder en vie, que s’ils avaient pu le faire, ils l’auraient fait et qu’ils ont vraiment tout tenté pour la réanimer. Une seule question sortit des lèvres du père de famille en deuil.



    « Elle a souffert ? »


    La réponse fut, non, c’était une bien maigre consolation pour le décès de sa fille. Il vint caresser silencieusement son visage, les larmes continuant de couler le long de ses joues. Ses yeux rougit ne pouvant quitter Eva en attendant désespérément qu’elle se réveil. Il le savait, c’était chose impossible, les morts ne se relèvent pas.

    Quelques heures plus tard, on va lui annoncer que sa femme était sortie du bloc, mais on lui conseillait de se préparer psychologiquement avant d’aller la voir. Elle souffrait de plusieurs fractures des os dont le col du fémur droit, le radius gauche et deux côtes. Ses yeux le brûlaient alors qu’il se remit à pleurer au fur et à mesure qu’on lui faisait la liste de l’état de son épouse. Elle avait fait plusieurs arrêts cardiaques, son cerveau ne se faisant ainsi plus irriguer en sang, plusieurs lésions étaient donc possible. À cela on rajoutait le coma dans lequel son corps c’était plongé à cause du trop grand nombre de blessure à supporter et de la violence de l’accident.

    Après l'état de choc dans lequel il se retrouva, il prit une grande inspiration et se décida à aller la voir. Elle aussi était inerte sur un lit, un tuyau dans la bouche, des contusions recouvrant son corps également et les appareils entourant vérifiant son pouls et son rythme cardiaque. Il vint prendre sa main dans la sienne, espérant la sentir la serrer, mais rien ne fut. Ses yeux brûlant étaient encore remplis de larmes et sa voix était tremblante. Le médecin vint en face de lui et lui expliqua la situation qui désespéra d'autant plus le père en deuil.



    « Faut que vous sachiez, qu'actuellement, ses chances de se réveiller un jour sont très minces, de 5% seulement. Son état est vraiment critique, nous avons programmé une seringue pour qu'elle lui injecte à intervalle régulier, une dose de morphine pour ne pas qu'elle souffre. Ses blessures sont nombreuses, beaucoup trop nombreuses pour ce que peut endurer un corps humain. Ce n'est pas tout. Si elle se réveil, elle devra vivre avec une colonne qui a subi un important traumatisme, elle ne pourra plus jamais marcher et elle la fera souffrir pour le reste de sa vie. »


    Le sergent O’bryan comprit le message. Serrant la main de son amour dans la sienne en la fixant du regard, un regard emplit de tristesse. Aux paroles du médecin il ne put que rajouter une chose.


    « En plus de vivre avec le décès de notre fille … »


    Le silence s’installa un moment avant que le médecin n’ose poser la question que John redoutait.


    « Doit-on tout mettre en œuvre pour la maintenir en vie ? En prenant en compte le fait que les chances qu'elle ne se réveil jamais sont très importants.»


    De nouveau le silence s’installa. Quelques minutes où le militaire chercha à se calmer petit à petit. Les larmes toujours aux yeux, il arriva cependant à cesser de les faire couler et demanda au médecin et à l’infirmière de lui laisser un moment. Ils sortirent tous les deux pour laisser à John le temps de faire ses adieux. Il vint embrasser les lèvres inertes de Jill, sa voix tremblante venant s’adresser à elle.


    « Ma chérie … je ne veux pas te voir malheureuse. C’est déjà dur pour moi de te voir dans cet état et de supporter le décès d’Eva, je ne veux pas te voir souffrir davantage. J’en suis incapable, naturellement j’aurais été avec toi jusqu’au bout. Je suis fou d’amour pour toi et rien n’aurait pu changer cela. Je t’aime vraiment de tout mon cœur, mais notre fille a besoin que tu ailles la rejoindre pour t’occuper d’elle.
    S’il te plait, ne résiste pas, ne le fait pas pour moi. Je ne t’en voudrais pas si tu pars, j’espère juste prendre la bonne décision, que tu es d’accord avec moi. Je t’aime … s’il te plait, ne résiste pas … pars pour cesser tes souffrances … pars. »



    De nouveau, le silence s'empara de la pièce, seul le bip régulier de son cœur venait donner une ambiance pesante. Quelques minutes passèrent et, bien qu'il n'en soit pas sûr, John sentit la main de son amour serrer la sienne un très court instant avant qu'un bip continu ne s'empare de la chambre. Le médecin et l'infirmière rentrèrent en hâte dans la pièce, mais face au silence du mari, ils comprirent qu'ils devaient la laisser partir. L'homme en blouse s'approcha du lit et regarda sa montre pour prendre la parole.


    « Heure du décès, 17h52. »


    John repartit en sanglot en plongeant sa tête sur le corps de sa femme. Personne n’osait dire quoi que ce soit, les mots n’existant pas pour réconforter un homme dans ce genre de cas. Il resta un long moment à pleurer sa femme défunte avant de se décider à retourner voir sa fille. Arrivant dans la chambre, il remarqua un homme qu’il ne connaissait pas au chevet de sa fille, celui-ci ne l’ayant pas remarqué. Il avait un pansement à l’arcade et une attelle au poignet, rien de grave. John sentit juste son sang bouillir en entendant ses propos.


    « Je suis désolé ma p'tite, désolé de ne pas avoir vu ta voiture. J'espère que ta maman va bien aller, je suis vraiment désolé pour tout ça, je n'aurai pas dû conduire aussi vite, j'étais juste presser de ... j'étais juste presser. Je ne sais même plus pourquoi j'étais pressé. Je suis vraiment désolé de t'avoir mise dans cet état. »


    John finit par relâcher la porte pour se faire remarquer. L’homme se releva en sursaut, adoptant une attitude visiblement mal à l’aise envers la nouvelle personne qui entra dans la pièce. Le regard de rouge du veuf se porta sur l’individu devant lui. Un regard qui semblait clairement l’effrayer et il avait bien raison. Des envies de meurtres parcouraient librement son esprit.


    « Vous êtes de la famille ? »
    « Je suis le père. »



    L’homme déglutit, le silence s’installa alors qu’un regard lourd d’accusation pesait sur lui. Il présenta ses condoléances, puis ses excuses et décida ensuite de partir pour ne pas le gêner davantage. Les poings de John étaient très fermement serrés, mais il sut résister à l’envie quand le conducteur passa à côté de lui pour quitter la pièce. Il ferma les yeux pour retenir de nouvelles larmes avant de lever le regard vers le plafond.


    « Pas devant notre fille, n’est-ce pas ? »


    Quelques heures plus tard, il demanda à l’un de ses collègues de venir le chercher pour le ramener chez lui. La nuit était passée et le soleil commençait à se lever et John n’avait pas fermé l’œil de la nuit. Le voyage dans la voiture fut des plus silencieux, la conversation totalement absente du trajet jusqu’à être arrivé à destination. Le collègue lui adressant un « On est tous avec toi john » avant que celui-ci ne referme la portière et monte chez lui. Il ouvrit la porte de chez lui, rentra, referma la porte derrière lui puis lança les clés dans le panier destiné à cet effet avant de s’apercevoir qu’il était seul.

    Il passa le reste de la journée devant la télévision, devant les dessins-animés qu’il regardait parfois en compagnie de sa fille. Protecteur au point de surveiller le contenu de ses épisodes qu’elle aimait tant. Il finit par s'endormir sur le canapé. La suite fut simple, il revendit l'appartement et demanda sa mutation le plus loin possible. Il avait besoin de changer de paysage et de ligne téléphonique. Sa belle-mère ne semblait pas vouloir faire le deuil de sa fille et appelait souvent John pour lui demander comment il allait. La réalité c'est qu'elle avait juste besoin de parler. Il ne lui en voulait pas, mais il ne supportait pas cela, pour une fois il voulut être égoïste et abandonner les personnes qui cherchaient à faire le deuil de sa femme. C'est ainsi qu'il se retrouva au Japon, à Tokunosu pour une mutation de 2 ans.






Vous le joueur




  • Votre age IRL 21 ans
  • Quel est le nom du personnage de votre avatar: Chris Redfield
  • Comment avez vous connu le forum? Secret ? =D
  • Première impression? l'est sympa le Design.
  • Des suggestions pour l'améliorer? Validez-moi.
  • Avez vous lu le règlement? Validé par la fana de sucette au citron


    *Danse sur Hangover*
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MessageSujet: Re: John O'Bryan   John O'Bryan Icon_minitimeVen 24 Fév - 2:29

Quelques fautes mais rien de grave même si une petite relecture ne ferait pas de mal
Bon l'histoire et le nombre de lignes j'en parle pas : c'est bien mais c'est trop triiste *sors*

Du coup.... je te valide
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Kino Akitsuna
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Kino Akitsuna


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Âge virtuel: 19 ans
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MessageSujet: Re: John O'Bryan   John O'Bryan Icon_minitimeVen 24 Fév - 19:45

Ta fiche est Très bien ! ( note la majuscule à Très qui signifie que c'est même mieux ... ) En faite, ton histoire m'a même fait verser une larme ... ( Et pour ce crime, la souffrance tu subiras ! Mwahahaha )

Bref, mais ta fiche n'est pas parfaite : En effet, il manque à plusieurs reprise des mots, ou encore des phrases qui n'emploient pas le bon verbe. C'est notamment ce qui m'a le plus dérangé je peux même te ressortir la phrase: " C'est ainsi que deux personnes amoureuses pensaient et cela mena à la naissance de Eva O'Bryan " j'aurais plutôt écrit : " C'est aussi ce que deux personnes amoureuses pensaient et cela mena à la naissance de Eva O'Bryan " M'enfin rien de bien grave.

Tu sais bien écrire néanmoins, et même si ton personnage évoque le Grosbillisme en puissance ( mec musclé, calculateur, calme et charismatique ... ) J'ai confiance en toi. Promets moi seulement que ton personnage auras quelques défauts dans tes rps ...

Bref, Tu es Validé !
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MessageSujet: Re: John O'Bryan   John O'Bryan Icon_minitime

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