1 2 3 SOLEIL! PV kate

Invité

[désolé, c'est pas bien fameux, je ferais mieux la prochaine foi] L'ortho aussi est défaillant. Désolé

Enregistrement numéro 1:

Enregistrement 1

Journal d'un Zombie.

3H du matin 1 Mois après la catastrophe. Je me fais tellement chier que j'ai décidé de raconter à mon magnéto toute cette merde qui nous est tombé dessus, ou plutôt celle qui m'est tombé dessus. Je ne sais pas pourquoi, je ne sais pas comment. Mais je m'en fou. La seule chose qui m'importe, c'est que j'ai réussi à garder mes miches loin des sales gueules de ces morceau de chairs sur pattes. Pourquoi je veux raconter? Parce que, peut-être que d'autre débiles tomberons dessus et vont essayer de ne pas refaire mes erreur. Non, je suis pas une bonne samaritaine, ils peuvent tous crever. Ce que je veux, c'est juste raconter tous ça, pour parler. Pour Remplir cette saloperie de silence qui me vrille les tempes. Ma dernière bouteille de téquila à la main. Je vous salue marie. Et glou et glou. Haha. Bon allons-y. Alors, le premier de ces enfants de dieu que j'ai vu, je l'ai vu dans un moment ou j'étais toute fébrile et innocente tout faible et contractée tandis que mon orifice s'ouvrait de plus en plus. Quelques pervers penserons que j'étais en train de baiser. Et bien non, je chiais, tout simplement, je chiais. Ça faisait quelques heures que la première de ces choses c'était mise a bouffer du beau monde. Je me sentais en sécurité dans mes chiottes avec mon vieux manga déglingué sur les cuisses. Ça m'a apris a fermer le portes a clé. Imaginez vous en train de largueur votre cake pénard devant votre yaoi favoris et que tout d'un coup, la main déchiqueté d'un zombie vous attrape la gorge. Vous feriez quoi à part gueuler comme une truie à l' abattoir. Ça peu paraître drôle, mais ce que m'a sauver, c'est ma brosse à chiottes que je lui ai fourrer dans la gueule avant de me tiré à moitie à walp. Fermer la porte de la salle de bain. Mon armoire. Je sors mon fusil. Rouvrir la porte de la salle de bain. Et pan! Et pan! Pauvre bestiole. La pensée que j'ai eu sur le moment quand la deuxième bestiole est entrée? Un étage, trois-cent mettre, ma moto. En espérant ne pas me péter la cheville, je me suis ruer par le fenêtre ouverte. Et j'ai quand même réussi à me fouler... j'ai boitté jusqu'à ma harley davinson. Et c'était parti pour un tour. Partout, le chaos. Les gens paniqué se faisait bouffer puis se mettaient a bouffer d'autre gens paniqué qui allait bouffer des gus paniqué pour qu'ils aillent bouffer le copain qui panique. Très vite, très très vite. Les faibles crevèrent, avant quand tu crevais, tu crevais point barre mais là... Imaginez trente secondes, à raison de 3 mort par minutes. Si chaque mort se relève, ça fait 180 morts par heures, en continuant comme ça, vous pigez vite pourquoi cette saloperie c'est propagée aussi vite. Toujours est-il que j'étais sur ma motos après avoir remonté mes bas et que je filais à toute vitesse. Les jours qui ont suivis, les semaines furent justes mué par le but de survivre. Braquage de magasins d'armes, fringues bouffe et eau. Tous ce qui risquait de manquer. Les deux conneries que j'ai faite sont, pour le première, de m'être sédentarisée dans un planque, attirant tout les macchabées du coins, la deuxièmes de rester seule. Parce que seule, le mentale tiens moins bien. J'ai errer aussi dans une quête, retrouver mes bourreau et les buter. Mon crime passerais enfin inaperçus dans la merde actuelle. Qu'ils soit vivant ou entre les deux, j'ai qu'un envie c'est le butter. Et... Oh merde. Une de ces saloperies viens de ce ramener. Je reprendrais tous ça plus tard. Mais avant, la moral de cette histoire: quand on vie avec des mort qui veule vous bouffer votre vie, vous qui vouliez crever, vous commencer à aimer la souffrance qui vous prouve que vous êtes en vie.

A quelques pas de là. Kate est assise sur un banc, rangeant son magnéto elle fait face a la créature qui s'approcher v ers elle en boitant et grognant comme un zombie euh... Ce ne serais pas un zombie? A si. Suis-je bête. Toujours est-il que kate. C'est à dire moi. Attendais cette saleté au l'haleine de lépreux et au jolis minois de gangrèné Surtout, je voulais qu'il ramène ses petits copains. J'avais qu'une envie, défoncer du zombie. Parce que si il y a un truc qui est bien la dedans, c'est que ça soulage.

Anthropophagie.

Ils sont là. Il furent un puis devinrent deux, de deux, il se firent triplé. Cloné dans un quatuor d'horreur le cinquième naquit. Et comme ces cellules nymphomanes. Il se propagèrent. Se subdivisèrent, semant derrière eux le sang. Ces êtres anthropophagiques. N'entends-tu pas les cris des suppliciés? Les hurlements de ces âmes écorchées, qui grouillent et rampent, se trainant comme des larves. Ces horreurs sacro-saintes nées d'un monde à l'agonie, vomis des cuisses damnées de leurs mères déchirées. Ces petits êtres qui pourrissent, exhalant la déchéance d'un monde de mort. Petits crachats immondes, vomissures véreuses. Enfants de l'Enfer, poupées de son, poupées vaudou. Crachats immondes d'une société lépreuse. Votre âme pourrie par la gangrène. Serpents vicieux, poupées pédophiles. Elles grouillent, ces petites choses. Un mer d'horreurs, de larves. Car c'est ce qu'ils sont, ni plus ni moins que des larves immondes. Enfants de terreurs. Enfant damnés. Bienvenu dans mon cauchemars. Ces petits enfants, espoirs de cannibalisme, engendrent dans ma conscience de bien belles idées. On va le crever des petites mouches à merde. On va les bouffer ces bâtards de truie, petits cochons lépreux. On va les bouffer à s'en éclater les ventre. On boufferas leurs tripes. On va bouffer leurs queues. Sucer leurs os. Faire d'eux de tristes créatures androgynes. Répandre leurs sang plein de pus. je me baignerais dans leur sang. On va vous bouffer. On va vous détruire, mais avant on va s'amuser un peu. On va rigoler les enfants. Car oui, c'est bien 3 enfants qui s'approchent vers moi pour me bouffer, tandis que ma bouche se tord dans un sourire sadique. Je dégaine deux lame et cours vers eux. Dans un mouvement de rotation, je décris avec mes dagues un mouvements de cercles autour de moi, tranchant leur tête qui tombe à terre, toujours pas morts, il continu de courire tandis que leur bouches s'ouvrent et se referment, et que leur ventres ouverts vomissent leurs tripes. Un deuxieme moulinet viens les trancher du cou à l'aine. Pauvre gosse. Un rire fou s'échappe de ma bouche, tandis que je me ravale un rincée de Téquila. Un craquement derrière moi, je me retourne près à massacrer à nouveau.

Enregistrement numéro 1 :

Enregistrement 1 : le journal de H

Il est …4h30 du matin, 1mois après la catastrophe. Je suis, je suis ou d'ailleurs ?...ah oui sur un banc miteux, dans un parc pourrit. Encore une nuit, enfin une matinée où il m’est impossible de dormir.
Après tout ce qui m’est tombé sur la gueule j’ai décidé de raconter cette merveilleuse aventure. Les supers intelligents qui auront réussit à survivre jusque là et qui tomberons dessus pourront en faire ce qu’ils veulent. Sachez juste que j’ai pas fais ça pour vous aidez bande de cons, ce qui peut vous arriver je m’en branle de toute façon on va tous crever ! J’ai passé trop de temps à vouloir sauver les gens maintenant j’en ai marre.
Quoi ? Vous êtes déçue ? Vous vous attendiez à un récit sur « comment tuer le maximum de zombies pour que le monde redevienne celui des bisounours » ? Ah et bien désolée, non en fait même pas désolé allez vous faire foutre si vous êtes pas content, je fais ça pour moi pas pour vous.
Donc ce que je vais expliquer dans ce magnéto, c’est ma rencontre avec ces abominations, ces créatures misérables représentant toute la misère du monde. D’habitude je me confie jamais mais la j’ai plus de musique, la solitude me rend barjo et c’est tellement silencieux que je commence à avoir les oreilles qui saignes et une envie irrépressible de me pendre... Pourtant je vis dans le silence en permanence, je suis toujours seule à cause de mon métier, obliger de laisser les gens que j’aime sans me retourner comme si ils n’avaient jamais existé. Mais d’habitude c’est comme ça parce que JE l’ai décidé…Et puis de toute façon je peux bien vous avouez ma vraie identité… qu’est ce que ça peut bien faire ? Tout le monde et mort et se fiche bien de savoir que le célèbre infiltré H est en fait une femme d’1M50, avec des talons de 12cm. Ah putain ça fait du bien de le sortir enfin !!
Enfin bref, fin de la séquence émotion je vais donc vous expliquez comment ces saletés me sont tombées dessus. J’étais tranquillement entrain de pioncer quand j’ai entendu du bruit, ouais ces sous merdes de l’humanité ne sont pas très discrètes, en plus d’être des traitres. J’ai attrapé mon flingue de dessous mon oreiller et je me suis levée pour voir ce qui se passé. C’est là qu’une de ces choses en putréfactions s’est jetée sur moi. Imaginez ma surprise en voyant leur tronche… Et là, même si je savais pertinemment que ça ne marcherai probablement pas, mais bon on sait jamais. Je lui ai mis un coup de genou dans les boulettes, du moins dans ce qu’il en rester, dégoutant … D’après sa réaction les vestiges de son âme se sont remémorés la douleur que l’on peut ressentir quand on se fait écraser les joyeuses, ce qui le rendit fébrile le quart du quart d’une fraction de seconde. Ça a suffit pour que je puisse tirer sur un, puis deux, puis trois…Je me suis levé et j’ai courue m’enfermer dans les chiottes, pas classe je sais mais c’est l’endroit le plus proche possédant une fenêtre donc, j’ai pas cherché à comprendre. C’est truc en lambeaux me faisaient pitié. Enfin je n’avais pas pitié pour ces trucs, mais pour les humains qu’ils avaient été avant…Finir en zombie faisant le remake de thriller… je trouve ça pitoyable et dégradant pour leur pauvre âme. J’avais l’impression que leur visage me supplié de les tuer. Mais on ne peut pas sauver tout le monde alors, j’ai ouvert la fenêtre et j’ai sauté, comme quoi avoir une taille de lilliputienne ça peut toujours servir. Il n’y a qu’un étage donc j’ai pas demander mon reste en retombant avec la légèreté d’un éléphant en roulade avant. C’était très glamour. J’ai courue vite, très vite, le plus vite possible ignorant le chaos dont j’étais entouré, bon ça à la limite j’avais l’habitude. J’ouvris la portière en assommant un zombie. Head shoot, désolé l’ami. Je monte dans ma porche boxterS, oui être l’objet de l’état ça paie bien. A ce moment la mon seul but c’était de le retrouver, il fallait que je le retrouve ! Il ne pouvait être mort, non je refuse qu’il soit mort… enfin mort ou en standby entre les deux de toute façon au fond c’est pareil. Alors j’ai roulé, pendant des jours braquant les magasins quand j’en avais besoin, comme la plus part des gens qui avaient réussit à survivre et probablement comme vous.
C’est comme ça que je me suis retrouvée ici, attendant ces saletés au QI s’apparentant à celui d’une huitre. Tiens d’ailleurs les voilà je vais devoir vous laisser, nous reprendrons cette formidable discussion plus tard. En attendant comme je suis super sympa je vais tout de même vous donner quelques conseils :
Premièrement, si vous courrez plus vite qu’eux ça peut le faire.
Deuxièmement, vous êtes seuls, complètement, ne vous attaché à rien ni personne. Les sentiments ? Ça n’existe plus, aucune émotion ne doit émaner de votre petit corps insipide.
Et troisièmement, quand vous serait arrivé au stade du deuxièmement… buttez-vous sans aucune hésitation. Une vie en tant que robot se battant uniquement pour vivre une vie qu’il n’a plus est sans intérêt. Bonne chance à vous pauvre petite créature perdue dans cet océan de désespoir qu’est devenu le monde, est bien venu dans un nouveau cauchemar.

Pendant ce temps non loin de moi, alors que je massacre un à un les enfants se trouvant sur ma route, en riant copieusement, Aura se bat également contre ces vomissures de Satan avec un sadisme proche de la folie…Elle me ressemble un peu.
Je n’arrivais pas à avoir de peine pour ses enfants et je ressentais même un certain plaisir à les massacrer un à un. Peut être parce que pour moi ça n’était plus de petites créatures de dieux mais des montres, assez minables d’ailleurs. Ils n’avaient plus rien d’humain et sentir mon sabre découper ce qui leur reste de chair en morceaux est vraiment jouissif…dans ces moments la je ne peux m’empêcher d’avoir un sourire sadique et d’en demander encore et encore jusqu’à ce qu’il n’en reste plus un face à moi… vous êtes prêts ? dans ce cas le carnage peut continuer !

(t'inquiètes c'est très bien par contre désolé mais j'ai pas trop de pratique...je vais essayer de m'améliorer ^^)

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